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aleister.c
quelques mots tout d'abord au sujet de la chasse....

j'habite dans la cambrousse normande, et nous abritons nombre de représentants de cette race curieuse que sont "les chasseurs"

je ne peux m'empecher de les séparer en 2 sous-espèces, le "bon" et le "mauvais" chasseur.... je laisse a chacun le soin de plonger dans ses souvenirs télévisuels pour y retrouver le suprème sketche des inconnus....

blague à part, il y a certe des chasseurs qui "tirent"........... (et les autochtones qui en parlent insistent lourdement sur les points de suspension qui endisent long)

il y a aussi des chasseurs qui respectent scrupuleusement les regles imposées par les federation de chasses, qui sont conscient du role qu'ils jouent dans le maintient de l'équilibre de l'écosystème... certains allant même jusqu'a râler auprès de la fédération parce que celle-ci autorise trois lièvres dans la saison par chasseur... et que celon eux c'est beaucoup trop...

précisons que ces mêmes chasseurs sont souvent de sortie, hors période de chasse, pour participer a des comptages de population, pour poser des appats contenant des vaccins, c'est ainsi que la rage a été éradiquée de notre pays, pour disposer de nouriture a l'intention de certaines especes fragiles,
en ce qui concerne les sangliers, qui pullulent par chez nous, la suppression de la chasse aurai pour effet direct l'obligation de monter un plan de controle des populations, ou seuls les gardes forestiers auraient le droit, mais surtout l'obligation d'en abbatre plusieurs centaines par année si l'on ne veut pas d'effet nuisible sur les cultures , pas d'accident routiers répétés, pas trop d'incidence sur la nature en général.....

enfin, dans le but d'alléger encore l'image qu'on se fait d'eux, j'ai toujours en tête ce chasseur que je connais bien et qui revient souvent le dimanche soir, avec parfois juste une pauvre grive, parfois même rien du tout, et qui vous raconte, le sourire jusqu'au oreilles, les 5 lièvres qu'il a su approcher a moins de 10 metres, avec sa chienne bien placée, en arret et attendant le signal du maitre, que tel lièvre avait une forme particulière d'oreille, que tel autre devait être déja bien agé etc.... et quand vous lui dite: ben t'en a même pas tiré un seul? t'es nul ou quoi? il vous répond... ben non, cette année on a droit qu'a un seul, alors j'attend un peu, et puis c'est la traque qui est marrante, et le contact avec la nature etc...

on est parfaitement en droit de ne pas aimer cette activité, mais elle a tout de même une utilité, et certain sont quand même respectables....
je ne chasse pas, je n'en ressent pas du tout le besoin... mais je cohabite sans probleme avec certains chasseurs.... et puis un bon paté de lievre, c'est tout de même quelque-chose!!!



bon, maintenant, c'est sur la grippe aviaire que j'ai des choses a dire....

comme vous le savez déja, j'ai passé de long mois en thailande, ou ce virus a déja fait pas mal de dégats... enfin pas mal, c'est relatifs

des millions de poulets ont été massacré au bénéfice du doute... ces millions-la n'étaient pas tous contaminés...

depuis les quelques courtes années ou l'on parle de ce virus, c'est moins de 300 humains qui en sont mort... le sida fait plus de ravage, l'artériosclérose (maladie de riche suralimentés) encore plus, et l'automobile bien plus encore....

bon, il est vrai que les millions de poulets sacrifiés sur l'autel de la prudence ont sans doute contribué a maintenir le nombre de victime humaine en dessous des 300...

j'ai tout de même l'impression qu'on essaye de maintenir un climat de peur et de malaise en surmédiatisant cette histoire...

quoique j'ai des doutes... si tel était le cas, pourquoi ne pas relayer en europe les "info" que j'ai pu lire en asie???

en europe, le virus se transmet surtout entre les volatiles, et d'eux vers l'homme, mais on pense qu'il ne se transmet pas a d'autres especes, qu'il ne se transmet pas non plus d'homme a homme

alors, info ou intox? ce qui suis, je l'ai lu dans le bangkok post, journal presque indépendant du pouvoir en place, a grand tirage, quotidien en anglais...
je rappelle que la majorités de leurs sources d'informations sont visées par l'AFP......

donc, en thailande, le virus se transmet d'homme a homme, il y a eu le cas de 2 petites filles, qui celon l'enquete sanitaire, n'avaient jamais été en contact avec des poulets ou oiseau sauvages, ni avec leurs excrements, mais seulement avec leur grand-mère qui elle avait été contaminée dans un élevage intensif de volailles....

ensuite, toujours en thailande, le virus se transmet a d'autres espèces, principalement, le singe, plusieurs ont été trouvé mort dans des temples et l'autopsie confirme qu'ils étaient contaminés par le H5N1... il y a aussi le cas de tigres, a bangkok, il y a des tigres dans 3 endroit distinct: le zoo de la ville, le palais du roi et un centre d'étude scientifique, les tigres ne circulent jamais d'un endroit a l'autre mais les 3 lieu ont vu certains de leurs pensionnaires contaminés... ils ont donc nécéssairement été contaminé par 3 voies distinctes... les journalistes ne donnaient aucune piste... je me demande encore si oui ou non un tigre en captivité mange de la viande de poulet...

enfin, il y a presque 2 ans, on parlait beaucoup de la grippe aviaire, pour la seconde fois en relation avec ce pays... c'etait, pour la seconde fois juste au début de la saison touristique, et les mauvaises langues et paranos locaux y voyaient l'oeuvre de désinformation des états-unis etc....

toujours est-il qu'il fut simplement impossible d'acheter du poulet au marché ou en magasin pendant pres de 3 semaines, le temps que les autorités s'assurent que tout les volatilles suspects soient abattues et incinérées... si un paysan s'était risqué a vendre ses poulet sur le marché de son village, il s'exposait au risque de se faire embarquer par la police et d'avoir a payer une amende bien salée, c'est un fait que j'ai pu constater que la police était présente sur les marchés a cette époque...

enfin voila quoi, je ne sait trop quoi en penser, mais ça semble certain qu'il y ai un mensonge quelque part, soit dans notre presse, soit dans la leur....... peut-être dans les 2... et le plus curieux c'est que c'est toujours l'AFP qui chaperonne l'information de base..... bon, je dois dire qu'ils ont un "concurent" (vraiment concurent???) qui sont l'agence reuters.... mais je n'ai pas encore trouvé d'équivalent asiatique de ces 2 agences, ça m'a franchement étonné quand j'ai réalisé cette histoire, mais c'est ainsi....
Abraxas
Salut,

A mon avis que le virus soit transporté par les oiseaux ou non ça n'est pas le problème, on sait parfaitement que de nombreux virus sont transporté par des animaux ou des insectes en Europe (comme par exemple le moustique, la tique etc...) et le plus grand sac à virus ça reste quand même l'homme.

Les virus mutent tous très rapidement, et un jour viendra certainement ce que tout le monde redoute, c'est à dire un virus mortel, rapide et sans cure qui se propage par voie respiratoire... C'est comme ça depuis toujours, l'homme à toujours été exposé aux virus et à a lentement appris a les combattre.

A mon avis, le seul problème qu'on a c'est que notre système immunitaire n'est plus habitué à se défendre, soit on a pas assez de maladie, alors le corps invente lui-même des maladies (comme les allergies par exemple) ou alors le corps reçoit trop d'aide médicamenteuse (en particulier antibiotique) et non seulement il perd ainsi sa capacité d'adaptation face aux virus, mais en plus ceux-ci développe une immunité contre les médicaments...

Juste un mot pour terminer sur les chasseurs, personnellement je ne comprend pas comment on peut prendre plaisir a tuer des animaux sans défense avec un fusil ???

Mais d'un autre coté, il existe aussi des chasseurs qui chasse dans des domaines privés et qui ont un rôle utile pour l'environnement:
- D'abord parce que si ces domaines de chasses privés ne pouvaient pas être rentabilisé avec la chasse, les propriétaires tenteraient certainement de faire pousser quelques choses, et c'est la forêt qui fait vivre bon nombre d'animaux.
- Ensuite parce qu'il existe tout un tas de "nuisible" comme les sangliers par exemple, qui pullulent (pas de prédateur depuis la disparition d'asterix et obelix) et qui ne sont pas forcement bon pour l'environnement.

On le voit le problème de la chasse est une problème complexe, évidemment la chasse aux oiseaux migrateurs avec leurres dans des parc public, n'est pas vraiment la même que la chasse aux sangliers dans des domaines privés. On ne peut pas pas non plus tout mettre dans le même panier.

Donc je modère le propos, en me faisant encore une fois l'avocat du diable, ne dites pas " A bas la chasse et les chasseurs du dimanche" mais plutôt " A bas la chasse sans conscience écologique".


Grüß

Abra
Solomon Kane
LES OISEAUX MIGRATEURS PROPAGERONT-ILS LA GRIPPE AVIAIRE?
Par Pierre le Hir
Paru dans Le Monde du 13 septembre 2005

Le virus mortel de la grippe aviaire, qui sévit dans plusieurs pays d'Asie, pourrait être propagé par les oiseaux sauvages au Moyen-Orient, en Europe, en Asie du Sud et en Afrique. C'est une mise en garde passablement alarmiste qu'a adressée, le 31 aout, l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) des Nations unies.

"Les oiseaux provenant de Sibérie - où le virus H5N1 a été récemment détecté - pourraient, à terme, transporter le virus vers la mer Caspienne et la mer Noire. Ces régions, ainsi que les pays balkaniques, pourraient offrir au virus une porte d'entrée vers l'Europe centrale" , poursuit la FAO. Et de se dire "préoccupée par le fait que les pays pauvres du sud-est de l'Europe, où les oiseaux sauvages se mêlent à ceux du nord de l'Europe, seraient dans l'incapacité de détecter et de gérer d'éventuelles flambées de grippe aviaire." L'Agence francaise de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) se montre plus rassurante. Sur le territoire national, estime-t-elle dans un avis rendu public le 25 aout, le risque de contamination d'élevages domestiques par des oiseaux migrateurs est "modéré pour les élevages en plein air de canards, faible pour les élevages en plein air de l'espèce Gallus gallus -poulets-, inconnu pour les autres productions -gibier, pintades, dindes, autruches- " .

Qui croire ? Les oiseaux de passage sont-ils, ou non, de possibles passeurs de virus ? La carte des grandes voies migratoires de l'avifaune fournit, pour l'Europe et la France en particulier, quelques éléments de réponse. L'Europe occidentale est traversée par un axe de migration qui, partant d'une aire géographique s'étendant de l'ouest de la Sibérie à la Scandinavie, file vers le sud-ouest - en survolant au passage la France - pour rejoindre l'Afrique. C'est cette route qu'empruntent plusieurs espèces de canards (dont le canard siffleur Anas pénélope et la sarcelle d'hiver Anas crecca ) et d'oies (comme l'oie rieuse Anser albifrons ), mais aussi divers échassiers (tels que le combattant varie Philomachus pugnax ) et passereaux (bruants, pouillots...), fuyant à tire-d'aile les frimas nordiques. Certains hivernent en Europe, d'autres poussent jusqu'au-delà du détroit de Gibraltar.

Le risque d'introduction directe du virus par des oiseaux sauvages, à partir des foyers asiatiques, sur le sol francais, est toutefois jugé de "nul à negligeable" par les experts consultés par l'Afssa. La plupart des migrateurs observés dans nos contrées proviennent en effet de la partie la plus occidentale de la Sibérie.

"Diabolisation"

"Les flux d'oiseaux migrateurs de Sibérie orientale, de Chine et de Mongolie ont lieu plutôt vers l'Océanie, l'Asie du Sud-Est et l'Inde, ceux de Sibérie occidentale plutôt vers la mer Caspienne, la péninsule arabique, le Sinaï, l'Ethiopie et plus généralement l'Afrique" , précisent les mêmes experts. Le danger, souligne Frédéric Archaux, ornithologue au centre de Nogent-sur-Vernisson (Loiret) du Cemagref (Institut de recherche pour l'ingénierie de l'agriculture et de l'environnement), serait que l'épizootie continue de gagner du terrain, en remontant vers le nord ou en se déplacant vers l'ouest. "Le risque de voir arriver en Europe des oiseaux sauvages originaires de zones contaminées serait alors beaucoup plus sérieux" , explique-t-il. Mais la crainte principale est celle d'une introduction indirecte du virus, à partir de zones d'hivernage africaines. Ce risque, considèrent les experts, est "réel" . De multiples espèces nichant en Europe prennent leurs quartiers d'hiver en Afrique. C'est le cas des deux espèces d'hirondelles communes en France, l'hirondelle de fenêtre (Delicon urbica ) et l'hirondelle de cheminée (Hirundo rustica ), de la cigogne blanche Ciconia ciconia, du martinet noir (Apus apus), du coucou gris (Cuculus canorus ), ou encore de petits passereaux des marais comme le phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobae nus).

"Des flux importants de populations d'oiseaux d'Europe occidentale, appartenant à des espèces très diversifiées, migrent vers des zones africaines où elles peuvent cohabiter pendant l'hivernage avec des populations d'oiseaux d'Europe de l'est, de Russie et d'Asie, rendant l'intercontamination possible, notamment lors des rassemblements autour des plans d'eau" , décrit le groupe d'expertise réuni par l'Afssa. Un brassage à grande échelle peut alors se produire.
Des campagnes de baguage menées par le Centre de recherches sur la biologie des populations d'oiseaux (CRBPO) ont montré, relate Frederic Jiguet, spécialiste de la biodiversité au Museum national d'histoire naturelle, que des sarcelles baguées au Mali pouvaient être retrouvées en Sibérie, à quelque 10 000 km de distance, à vol d'oiseau.

Encore faudrait-il que des volatiles malades, contaminés par un virus hautement pathogène, soient capables d'effectuer de longs et harassants trajets. Une éventualité jugée "très peu probable" par l'Afssa . "Il n'a, a ce jour, jamais été décrit dans les conditions naturelles d'oiseaux sauvages vivants et porteurs sains de virus aviaires hautement pathogènes" , indique-t-elle.
Tous les cas identifiés jusqu'ici concernaient des animaux morts. Seuls des virus faiblement pathogènes - au demeurant déjà pràsents chez les espèces d'avifaune autochtones - ont été isolés chez des oiseaux sauvages vivants. "Jusqu'à preuve du contraire, le virus de la grippe aviaire est une souche domestique. Les oiseaux sauvages en sont les victimes, pas les coupables" , observe Michel Gauthier-Clerc, vétérinaire à la station biologique de la Tour-du-Valat, fondation de recherche installée en Camargue. Selon lui, il convient plutôt d'incriminer "les exportations de volailles mal controlées", ou encore "le trafic d'oiseaux sauvages".

Beaucoup de chercheurs partagent cette opinion. L'hypothèse d'une propagation du virus par les oiseaux migrateurs relève de simples "conjectures" que n'étaye aucune étude scientifique, estime Martin Williams, ornithologue à Hongkong. "La propagation en Asie du H5N1, argumente-t-il, ne correspond pas aux itinéraires ni aux périodes migratoires." Et de redouter une "diabolisation" des oiseaux sauvages, qui mettrait à mal les efforts entrepris pour préserver certaines espèces. Son collègue sud-coréen Nial Moores, président de Birds Korea, met en garde les autorités contre "le risque d'abattre des millions d'oiseaux sauvages inutilement".

Pour en avoir le coeur net, l'Union européenne a décidé de mettre en place une surveillance épidémiologique renforcée, pour une quinzaine d'espèces sauvages - canards, mouettes, goélands et petits échassiers - considérées, en fonction de leur origine géographique, de leur nombre et des risques de contact avec les élevages domestiques, comme les plus menacantes.

Les oiseaux migrateurs propageront-ils la grippe ? Depuis la nouvelle alerte au virus de la peste aviaire, les experts réexaminent la carte des voies migratoires. Le risque d'introduction en Europe est jugé de "nul à negligeable" pour les espèces venues d'Asie. Mais il est "réel" pour celles qui cotoient des volatiles malades lors de leur hivernage en Afrique

Polémique entre écologistes et chasseurs

La menace de la grippe aviaire relance la querelle des "appelants", ces oiseaux captifs que les chasseurs utilisent comme leurres vivants pour attirer, dans leur ligne de mire, leurs congénères sauvages. "Trente espèces d'oiseaux, dont vingt de canards, sont autorisées comme appelants, y compris des espèces en déclin telles que l'alouette ou le vanneau huppé. Cette pratique est extrêmement néfaste à l'avifaune (...). Elle présente également des risques sanitaires : les appelants sont manipulés, mis en contact direct avec les oiseaux sauvages, puis repris et remis en élevage" , proteste la fédération France Nature Environnement. Le mouvement Chasse, pêche, nature et traditions (CPNT) dénonce, de son côté, "l'extrémisme anti-chasse de certaines associations écologistes" . Selon lui, "il faut permettre un retour à des périodes de chasse plus longues" . Ce qui "constitue une application du principe de précaution grâce aux prélevements sur les oiseaux migrateurs" , notamment les sujets "fragilisés" et "potentiellement propagateurs" du virus.

Mon commentaire

Ce dernier paragraphe m'a encore fait hérisser les poils du corps. Ces foutus chasseurs, si on les écoutait, ils tireraient à vue sur tout ce qui bouge toute l'année... Faut-il rappeler que des groupes de braconniers se foutent éperdumment des dates d'ouverture et s'en vont tuer des populations entières pendant leurs nidifications ? (cf. en Camargue au mois d'aout...) . Faut-il évoquer les menaces faites aux randonneurs et aux écologistes sur divers sites à problèmes ? ( exemple : le col de l'Escarègne en Ardèche...) Bref, un chasseur qui conteste, c'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité... A bas la chasse et les chasseurs du dimanche...
Solomon Kane
Bonjour à tous, ami(e)s du forum !

Je vois que la rédaction des messages a baissé d'un cran. C'est signe que tout le monde doit être occupé à vaquer à ses occupations ! J'ouvre ici un nouveau sujet consacré à l'épidémie de grippe aviaire dont les débuts remontent à l'année 2003 en Indonésie. Je ne vais pas refaire l'historique du phénomène : il est acquis que les autorités indonésiennes ont été très laxistes au moment où le virus s'est déclaré, permettant non seulement son échappée belle vers des pays voisins mais, de surcroit, autorisant la mutation du virus en une souche plus coriace et transmissible à l'homme. Et voilà bien la plus grande crainte de la communauté internationale : une ultime mutation en une sorte de "super-virus" qui entrainerait une contamination rapide d'homme à homme. Le spectre d'une pandémie mondiale n'est donc toujours pas écarté même si les spécialistes se veulent rassurants. Sans tomber dans un scénario catastrophe, il demeure tout de même quelques éventualités dont il est nécessaire de s'inquiéter. Tout particulièrement en ce qui concerne les flux migratoires à l'approche de l'hiver. Pour rappelle, une pandémie entrainerait le décès de plusieurs millions de personnes dans le monde en un laps de temps très court avant que les scientifiques soient en mesure d'endiguer la propagation de la maladie. En cette fin d'ère, on se demande quand même à quelle sauce on va être mangé ? Qui veut donc la peau de l'homme ? Bush ? les Illuminatis ? les Annunakis ? ou bien pourquoi pas le H5N1 ?

Dav
 
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