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pelerin sur le sentier
QUATRE


Le Tao est le vide, mais le vide est inépuisable.
C'est un abîme vertigineux.
Insondable.
De lui sont sortis tous ceux qui vivent.


Le Tao est vide ; si l'on en fait usage, il paraît inépuisable.
Ô qu'il est profond ! Il semble le patriarche de tous les êtres.


(le Tao, est l’Infini, le Grand Néant, la Source de tout. Suivre la voie du Tao, c’est suivre le Chemin de ce qu’il est, de l’infini. Cela étant, il faut devenir le Tao, l’Infini, ne s’arpente pas, car c’est un chemin sans fin… Enfin être le Tao est une Force, car il est toutes Forces, et le Sage s’identifiant à lui est tout puissant, et infini.)

Eternellement, il émousse ce qui est aigu, dénoue le fil des existences, fait jaillir la lumière.
Du rien, crée toute chose.


Il émousse sa subtilité, il se dégage de tous liens, il tempère sa splendeur, il s'assimile à la poussière.


(Emousser, c’est diminuer la force et la Vitalité. Ici on parle du Tao et non du Sage, de l’effet du tao sur celui qui aspire à le devenir. Comme toujours, le Tao Te King, est un livre sur la Voie et la Vertu, un livre d’enseignement, et non d’explications, ainsi, il donne des principes et des recommandations… « Pratiquer » la Tao, c’est retrouver la Ligne, et non les courbes et entremêlements que sont nos Vies. Les nœuds, par la pratique de la paix, du « non-agir », de l’équilibre, sont défaits. La ligne refaite, la Parfaite Lumière de l’Ame peut se propager dans l’Aspirant. Emousser, la subtilité, l’aigu c’est retrouver la simplicité, nécessaire à tous progrès spirituel. Tempérer, encore une fois, c’est l’équilibre, le juste milieu, le calme. « du rien crée toute chose ; s’assimile à la poussière », il est aussi bien le Grand que le Petit, et je pense que dans cette image à la poussière, on peut voir, encore un retour à la simplicité, à la base, à l’unité première… « 1000 choses », sera toujours une chose + une autre + une autre…etc. jusqu’à mille. L’un réside en tout, et le Sage, ne doit pas vivre dans le multiple et dans le complexe, mais dans l’un et le simple.)

Sa pureté est indicible. Il n'a pas de commencement.
Il est. Nul ne l'a engendré.
Il était déjà là quand naquit le maître du ciel.


Ô qu'il est pur !
Il semble subsister éternellement.
J'ignore de qui il est fils ; il semble avoir précédé le maître du ciel.


(Nous avons simplement ici, la notion d’Eternel Présent… « si » Eternel, que « la chose » qu’il l’a engendré semble lui succédait, et non le précedait. Il n’a nul Père, car il est Tout, et est l’origine de Tout. En parler c’est déjà fauter…)

Le Tao n’est rien, et tout vient de lui, il est Eternel, il est la Perfection. Il est Tout.
pelerin sur le sentier
Aphorisme DEUX ET TROIS.

DEUX


Le monde discerne la beauté, et, par là le laid se révèle.
Le monde reconnaît le bien et, par là le mal se révèle.
Car l'être et le non-être s'engendrent sans fin.


Dans le monde, lorsque tous les hommes ont su apprécier la beauté (morale), alors la laideur (du vice) a paru. Lorsque tous les hommes ont su apprécier le bien, alors le mal a paru.
C'est pourquoi l'être et le non-être naissent l'un de l'autre


J’interprète cela de cette manière : La connaissance d’une chose, engendrera la connaissance de son opposé, par l’intelligence. Dévoiler la notion de Vérité, et vous découvrez alors la notion de mensonge… trouvez une chose belle, vous en trouverez une autre laide. Il est ici question « du monde » qui est opposé au sage taoïste, qui lui, évite ces considérations, qui individualise, sépare, et éloigne de l’Un. Car enfin cela est dans la Loi, toute chose a deux pôles et Lao Tseu l’exprime ensuite).


Le difficile et le facile s'accomplissent l'un par l'autre.
Le long et le court se complètent.
Le haut et le bas reposent l'un sur l'autre.
Le son et le silence créent l'harmonie.
L'avant et l'après se suivent.
Le tout et le rien ont le même visage.


Le difficile et le facile se produisent mutuellement.
Le long et le court se donnent mutuellement leur forme.
Le haut et le bas montrent mutuellement leur inégalité.
Les tons et la voix s'accordent mutuellement.
L'antériorité et la postériorité sont la conséquence l'une de l'autre.


(Nous avons ici, l’énoncé d’un Principe Universels, celui de Polarité, que je mets ici :
"Tout est Double ; toute chose possède des pôles ; tout a deux
extrêmes ; semblable et dissemblable ont la même
signification ; les pôles opposés ont une nature identique mais
des degrés différents ; les extrêmes se touchent ; toutes les
vérités ne sont que des demi-vérités ; tous les paradoxes
peuvent être conciliés."
LE KYBALION.
Je souligne les mots « mutuel », « complètent », et « l’un sur l’autre ». L’Unité se trouve, dans l’union des opposés, dans la fusion des deux aspect d’une même chose. Enfin, il utilise les notions, de difficulté ; longueur ; correspondance (haut et bas, aussi une longueur, mais le « reposent l’un sur l’autre » appuie cette nuance de correspondance, tout comme le « montrent mutuellement leur inégalité », différence, mais d’une même chose, juste une différence de degré). Et puis, le Son , le Verbe origine de la création, et le Temps et, enfin ce retour, ce rappel constant à l’unité, l’éternel, l’infini,(n’apparaissant que dans une traduction.
Je récapitule : longueur (dimension), haut et bas (lien), Son (moyen, processus), temps (là où s’inscrit tout cela), mais cela sous l égide d’un même chose, le tout et le rien, Dieu, que nous sommes lui, mais que nous sommes son image).


C'est pourquoi le Sage s'abstient de toute action.
Impassible, il enseigne par son silence.


De là vient que le saint homme fait son occupation du non-agir.
Il fait consister ses instructions dans le silence.


(C’est donc pour éviter, cette séparation, l’individualisme, pour favoriser le retour à l’un que le Sage taoïste n’agit pas…et plutôt que voir cela comme la non action… je pense qu’il faut comprendre que le Sage, s’inscrit dans la Loi, dans l’un, et évite de tout séparer. . Le « fait son occupation du non agir » souligne qu’il ne s’agit pas ne rien faire, le Sage, n’est pas là à attendre que le temps passe…disons qu’il ne produit pas de Karma. Et il est l’Unique, le Silence, et par là enseigne. On enseigne ce que l’on est, et le Sage taoïste, lui est Un avec Dieu.
Une petite histoire pour illustrer ce fait d’enseigner ce que nous sommes :
« un jour une femme emmène son fils voir le Mahatma Gandhi, et lui dit, Mon fils ne cesse de manger des sucreries, et il ne m’écoute pas, refuse d’arrêter malgré mes recommandations ! Vous, qui est sage, et qui faites figure d’autorité, dites lui, je sais qu’il vous écoutera ! Gandhi, lui dit alors, revenez dans quinze jours. La femme s’exécute et reviens quinze jours plus tard. Gandhi dit alors au garçon : « ne mange pas de sucre ». La femme alors lui demanda pourquoi ne pas lui avoir dit la première fois. Gandhi lui dit alors : « il y a quinze jours, je mangeais encore du sucre. »)


Les hommes, autour de lui, agissent.
Il ne leur refuse pas son aide.


Alors tous les êtres se mettent en mouvement, et il ne leur refuse rien.


(Toutefois, le Sage taoïste, comme l’Adepte, le Sannyasin, ou le Boddhisattva, ne se retire pas du monde, il aide ici bas. Comme Le Un, il est dans le Monde, en chaque chose. On n’est Un, dans la Manifestation, que dans le Multiple, et le Sage taoïste, sait qu’auprès de son Père, il doit être auprès de tous et de tout. Le « alors » peut être réaffirmé que le mouvement, la création naît du Silence…)

Il crée sans s'approprier et oeuvre sans rien attendre.
Il ne s'attache pas à ses oeuvres.
Et, par là, il les rend éternelles.


Il les produit et ne se les approprie pas.
Il les perfectionne et ne compte pas sur eux.
Ses mérites étant accomplis, il ne s'y attache pas.
Il ne s'attache pas à ses mérites ; c'est pourquoi ils ne le quittent point.


(il crée selon la Loi, en ne faisant qu’un dans le Plan Divin. Il fait, car cela doit être. Et ses actes sont au monde, et pas à lui, ou, à tout et à lui aussi, mais sans appartenance, ni possession. Ses actions sont « du » monde, et pas « de » lui même. Il ne s’attache pas car ainsi il ferait renaître la dualité, et en distinguant une chose de lui même, il ne serait plus Un. Il donne de manière totalement désintéressé, ses œuvres sont celles de Dieu, il en est sa main, et tout ce qu’il fait, s’inscrit dans l’éternel.)


TROIS


Il ne faut pas exalter les hommes de mérite afin de ne pas éveiller de ressentiments.
Il ne faut ni priser les biens rares, car ce serait inciter au vol, ni exhiber les choses enviables, pour ne pas troubler les cœurs.


En n'exaltant pas les sages, on empêche le peuple de se disputer.
En ne prisant pas les biens d'une acquisition difficile, on empêche le peuple de se livrer au vol.
En ne regardant point des objets propres à exciter des désirs, on empêche que le cœur du peuple ne se trouble.


(je rappelle la définition du mot exaltation… : élévation à un très haut degré d’un sentiment, d’un état affectif. Ou encore une surexcitation intellectuelle… Une chose à avoir à l’esprit, c’est que le Tao Të king, donne aussi des recommandations d’orientation de la Société à son époque… et disons, que la bonne Voie, s’applique autant à l’homme qu’à toute autre chose…par la Loi de Correspondance, et d’universalité de Dieu, présent en toute chose.
Ainsi ce début d’aphorisme découle de la non action, il conseille la Paix, le calme. Nous voyons les méthodes qui la trouble, l’euphorie, l’emportement sentimental, puis la tentation (des biens, mais de toutes autres choses, qui touche le cœur). Il y a aussi là l’idée de ne pas donner à autrui, de ne pas montrer à autrui ce qu’il ne saurait contrôler ou ce face à quoi il ne saurait pas rester intègre et en paix. Il applique la voie du Sage taoïste a tous, mais là je remarque, que alors, il s’agirait de faire emprunter à autrui, une voie, sans que celui ci « consente consciemment », mais c’est la Voie du Tao, celle de Dieu, l’Eternel ; et La Voie de Dieu, est la Voie de Tout, seul le désir nous fait regarder ailleurs, encore vers mère plutôt que vers Père.)


Aussi, le Sage, dans son gouvernement, fait le vide dans le cœur de ses sujets.
Il détruit en eux désir et passion qui peuvent les troubler, mais veille à bien les nourrir.
Il doit affaiblir leur volonté tout en fortifiant leur corps.


En ne regardant point des objets propres à exciter des désirs, on empêche que le cœur du peuple ne se trouble.
C'est pourquoi, lorsque le saint homme gouverne, il vide son cœur, il remplit son ventre (son intérieur), il affaiblit sa volonté, et il fortifie ses os.


( Ainsi il applique son principe, et empêche l’exaltation, et aussi l’expérience de celle ci. La paix devient la condition sine qua non, et le Sage va jusqu’à détruire émotion et passion (attention, car il ne s’agit pas des sentiments…nuance primordiale).
Emotion = trouble de la paix, effet passager… et sentiment = état durable. Et une précision : un trouble n’est pas forcement un mal, une émotion de Joie, est un trouble…
Il conseille deux méthodes : La paix, qui fait disparaître toute source d’exaltation, et le même résultat, par la suppression de l’objet du désir, afin que celui ci se fane, et se meure.
Toutefois, le Sage ne rend par terne les cœurs, mais les nourris. Dans une traduction ces recommandations sont pour le peuple, et dans l’autre, principalement au Sage. Mais ces recommandations doivent s’appliquer aux deux, car la Voie du Tao est la Voie de l’Infini, et rien ne saurait l’être dans la Voie, s’il ne trouvait pas vérité en toutes choses.
Enfin, il est question de Volonté, et de son affaiblissement. Concernant le Sage je pense qu’il s’agit toujours de recherche de la Paix, et de ne pas tomber durant la recherche d’une Volonté Une avec Dieu, dans une Volonté qui ne ferait que renforcer l’ego et l’esprit séparateur. Il ne s’agit d’avoir une volonté « faible », mais une volonté maîtrisée. Volonté affaiblie pour le peuple, car il ne saurait la maîtriser, et l’utiliserais à de mauvaises fins, viles et personnelles. Mais il fortifie le corps, pour ce à quoi est destiné le peuple : le travail et le bien de l’empire. Le Sage lui veillant au bien du peuple. Toujours, cet aspect de Paix, et de ne pas faire action, qui défavorisait cette paix.)


Il doit obtenir que le peuple soit ignorant mais satisfait et que la classe cultivée n'ose agir.
S'il pratique le non-agir, l'harmonie est préservée.
L'ordre est maintenu.
L'empire gardé.


Il s'étudie constamment à rendre le peuple ignorant et exempt de désirs.
Il fait en sorte que ceux qui ont du savoir n'osent pas agir.
Il pratique le non-agir, et alors il n'y a rien qui ne soit bien gouverné.


(Encore mis en avant, le principe de non-action. Il y a toujours cette voie de laisser le peuple dans l’ignorance… cela est une idée forte de tout temps jusqu’au temps des lumières (en occident)… (je mettrais ici des citation que je n'ai pas sous la main) . Le sage doit toujours favoriser la Paix. Je pense que le sage n’est pas dans la classe cultivée, car bien noter que c’est le sage qui écrit ce texte, et qui le donne à ceux qui aspirent à le devenir. Enfin il faut bien sur veiller au maintien de la Voie, car le peuple sûrement ne la comprend pas (car toujours pris en Mère, et si imprégné dans l’exaltation potentielle). Il est question dans les deux traductions de ne pas « oser » pour les gens cultivés. J’aimerais avoir le mot d’origine… mais étant présent dans deux traductions, je ne pense pas qu’il s’agissent de faire peur, ou de dissuader…mais toujours d’inhiber l’exaltation et de pratiquer le non-agir. Il y a l’apparition, d’une conviction profonde que la Voie est LA Voie, et que celle ci doit être maintenu, que le Plan Divin, doit se réaliser, « sur la terre comme aux cieux ». Et la Vie de tous, inclus dans le Plan de Dieu, ne peut que réussir, l’harmonie devient omniprésente. N’est pas l’émotion excessive et le désir incontrôlé qui poussent tant à la faute ?


Voilà...

Message édité le 10-02-2006 à 21:37:17 par pelerin sur le sentier
pelerin sur le sentier
Voici le commentaire que j'ai fais dans le post sur le Tao dans la partie les grand mouvement esoteriques pour le Premier Aphorisme

j'insère l'integralité non fragmenté de la version CVL .

UN


La voie que l'on peut définir n'est pas le Tao, la Voie éternelle.
Le nom que l'on peut prononcer n'est pas le Nom éternel.
Ce qui ne porte pas de nom, le non-être, est l'origine du ciel et de la terre.
Ce qui porte un nom est la mère de tout ce que nous percevons, choses et êtres.
Ainsi à celui qui est sans passion se révèle l'inconnaissable, le mystère sans nom.
Celui qui est habité par le feu de la passion a une vision bornée.
Désir et non désir, ces deux états procèdent d'une même origine. Seuls leurs noms diffèrent. Ils sont l'Obscurité et le Mystère.
Mais en vérité c'est au plus profond de cette obscurité que se trouve la porte.
La porte de l'absolu du merveilleux. Le Tao.


UN


La voie qui peut être exprimée par la parole n'est pas la Voie éternelle ; le nom qui peut être nommé n'est pas le Nom éternel.


( ici nous avons, l'enoncé de ce qu'est le grand tout..ou plutot, Celui dont rien ne peut etre dit)

(L'être) sans nom est l'origine du ciel et de la terre ; avec un nom, il est la mère de toutes choses.


(il a un nom car il a manifesté, c'est Adi, le Dieu UN, celui dont rien ne peut etre dit revelé, et celui ci, etant, le tout, est, il est le pere, et devient mere, la creation accompli.)

C'est pourquoi, lorsqu'on est constamment exempt de passions, on voit son essence spirituelle ; lorsqu'on a constamment des passions, on le voit sous une forme bornée.


(quand nous n'avons plus de passions, plus d'emotions incontrolé, nous ne sommes plus sous le règne de Mère, et alors notre regard est tourné vers Notre Père, notre regard est limpide, nous sommes son reflet, calme et eternel, nous Voyons l'Ame, l'etre immortel, Le Vrai Soi. Quand nous avons des emotions, celles ci colorent notre vision...ainsi donc nous voyons notre père de maniere fausse, bornée).

Ces deux choses ont une même origine et reçoivent des noms différents.


(essence spirituelle et passion, toutes deux originaires de Pere et de Mère, l'une appartenant à l'un l'autre à la deuxième, mais aussi toutes deux de pere, et toutes deux de mère, nous Sommes le Fils, n'est de l'union de l'Esprit et de la Matière. Elles reçoivent des noms differents car elles sont dissemblables, l'une se tourne vers Père, l'autre vers Mère).

On les appelle toutes deux profondes. Elles sont profondes, doublement profondes. C'est la porte de toutes les choses spirituelles.


( Elles sont toutes deux "en" nous, representent deux paliers d'evolution, la conquete de l'etre incarné, des passions, puis celle du Vrai Soi, deux palier vers Le Père. Doublement profondes, car a mon avis...elles sont expressions d'Atman (alors appelée Atma), cette expression, ces "rayons d'Atman"(=Atma), irradie l'etre, et :
1°) se stabilise en l'Ame, vehicule de Buddhi.
2°) se stabilise en Kama Rupa(corps de desir), Dernier corps concret, vehicule de l'Ame. le corps physique souvent n'etant pas considéré comme un principe à part entière, mais un outils de perception et de croissance des corps astral et mental.)


Message édité le 11-02-2006 à 22:33:10 par pelerin sur le sentier
pelerin sur le sentier
Dans ce sujet, je vais mettre mes commentaires des 81 aphorismes de ce livre... je les rajouterais au fur et à mesure...

Je pars de deux traductions,

l'une de Conradin Von Lauer (en bleu foncé )
et l'autre de Stanislas Julien (en rouge foncé bizarre )

Merci à eux...car je suis pas aller leur demander ! ! !

Mes commentaires sont en vert .

Je me permettrais aussi de completer mes commentaires...d'une couleur que j'indiquerais par la suite ; et enfin, une fois que j'aurais fini, je ferais une synthèse sur la Voie du Tao a travers ce livre...mais ça on a le temps..

y'a du travail!!


J'espere que ça apportera quelque chose à autrui, notamment des reponses sur le Chemin à suivre vers L'Eternel! en tout cas, il y a éléments à reflechir.

Désolé pour l'aspect éclaté, que donnent mes commentaires insérés.

j'insererais des adresses net ou trouver ces traductions.



Des commentaires, que j'augmenterais avec le temps, et j'espère que ceci prendront du sens et de la profondeur...que je puisse utiliser le terme "meditations sur le Tao te king..."
 
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