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Abraxas
[sujet déplacé de pélerin]

Il était une fois un Sage, qui vivait au sommet d'une haute colline. Ce Sage était tres rénommé, et beaucoup de personnes venaient auprès de lui pour obtenir réponses et enseignements spirituels.

Un jour, le Sage dit à quatre de ces meilleurs disciples :

"Allez dans la cour, et attrapez chacun un poulet!".

Les éleves revinrent alors avec un poulet.

Le Sage leur dit alors :
"Voici votre leçon, je veux que chacun d'entre vous, égorge son poulet, mais attention, personne ne doit vous voir ou soupçonner que vous avez égorgé ce poulet!"

sur ces mots, les disciples partirent...

Rapidement, un premier revint...et à lui comme au suivant, le sage demanda de raconter leur histoire...

le premier donc, lui dit :
"je suis allé au fond la forêt, m'assurant que personne ne m'avait suivi et j'egorgea le poulet".

le second lui dit :
"je suis allé de par chez moi, dans les montagnes, et j'ai atteint des lieu connu de personnes, et j'egorgea l'animal."

le troisieme lui dit :
"je suis allé sur une ile lointaine avec le bateau de mon frère, et loin des regards, j'egorgea le poulet"..

Enfin, le quatrième, revint bien plus tard que les autres...avec le poulet, toujours en vie.

Le sage, lui demanda "pourquoi reviens tu avec ce poulet vivant auprès de moi?"

le disciple répondit :
"maitre, je suis allé, au fond des forêts, au sommet des plus hautes montagnes, sur les iles les plus lointaines, j'y suis allé, le jour, la nuit, je me suis même enfoncé dans les plus terribles grottes, jamais je n'ai pu faire ce que vous demandiez!!"

"Dis moi la raison de cela jeune éleve."

"et bien voilà, où que j'allais, dès que j'allais egorger le poulet, même loin du monde et de ses regards, toujours, je sentais, la bête me regarder et me fixer des yeux et de l'âme."

.....



Abraxas
[sujet déplacé de Glingal]

Les savants aveugles et l'éléphant




Ils étaient six savants hindous,
Aveugles et sages, face à un éléphant
Qu'ils ne pouvaient voir de leurs yeux,
Mais avec soin, ils l'explorèrent.

Le premier tâtant de ses mains
Les défenses d'ivoire, dit:
«Cet éléphant, cette merveille,
Me semble bien être une lance»

Le deuxième, explorant de la bête les flancs,
Larges, immenses, s'écria «Aha»
Et conclut que l'animal
n'était autre qu'un mur.

Le troisième, ayant atteint l'une des pattes,
Dit: «Mais c'est très simple,
Cette créature, sans aucun doute,
Ressemble à un arbre».

Le quatrième ayant trouvé la trompe,
La saisit, la secoua,
Certain, disait-il, que ce prétendu éléphant
Était tout simplement... un serpent.

Le cinquième ayant palpé l'oreille,
Et l'ayant parcouru de ses doigts,
S'écria: «J'ai trouvé la réponse, amis,
Un éléphant, c'est comme un éventail!»

Le sixième ayant découvert la queue de l'animal,
S'y était agrippé et dit sa conviction
Que son avis était le bon:
La créature ressemblait à une corde.

Ainsi, ces hommes sans vue ni horizon,
Démontrèrent haut et fort
Que chacun avait, en partie, raison
Mais, aussi, que tous avaient tort.
Abraxas
[sujet déplacé de Morpheus]

il etait une fois, un savant tres cultive qui partait pour un long voyage. il embarqua sur un bateau et s'isola dans sa cabine, avec tous ses livres et ses sujets d'etudes.
un soir, l'un des marin entra dans sa cabine, pour voir si tout se passais bien, et le savant lui proposa de s'asseoir et de rester un peu, pour discuter, la compagnie des livres manque parfois de chaleur...

le marin fut rejouit de pouvoir ecouter cet homme passionnant, plein de science et si envieux de partager ses connaissances.

a la fin de la soiree, alors que le marin s'appretait a partir, le savant lui demanda:
-dites moi: avez vous etudie cette science passionante qu'est la geologie?
-la geologie? qu'est-ce donc que cela?
-c'est la science de la terre
-ah non! je n'ai jamais ete a l'ecole, je n'ai rien etudie de tout cela...
-quel dommage! s'exclama le savant, vous avez perdu un quart de votre vie

le marin s'en retourna tout penaud dans sa banquette en pensant:"si un homme aussi cultive, aussi savant que ce professeur dit que j'ai perdu un quart de ma vie, ce doit certainement etre vrai, j'ai reelement perdu un quart de ma vie. quel dommage".

le lendemain, le marin revint s'asseoir dans la cabine du savant pour ecouter ses histoires, toutes plus passionantes les unes que les autres.
a la fin de la soiree, le savant lui demanda:
-dites moi: avez vous etudie l'oceanologie?
-euh??? mais qu'est-ce donc que cela?
-c'est la science de la mer, des courants marins et des poissons qui y vivent.
-ah non professeur, je n'ai jamais ete a l'ecole, je n'ai jamais rien etudie de cela.
- ah, quel grand dommage, c'est la moitie de votre vie que vous avez perdu ainsi!

le marin s'en retourna dans ses quartiers tout decontenance en pensant:"si un savant aussi cultive que ce professeur dit que j'ai perdu la moitie de ma vie, ce doit etre vrai sans aucun doute, j'ai perdu la moitie de ma vie".

le lendemain soir, le marin s'en retourna dans la cabine du savant pour ecouter ses histoire, et, a nouveau, alors qu'il s'appretait a partir, le professeur lui demanda:
-marin, avez vous etudie la meteorologie?
-euh? mais qu'est-ce donc que cela?
-c'est la science de l'air, du vent et de la pluie.
-eh non, comme je vous l'ai deja dit, je ne suis jamais alle a l'ecole, je n'ai jamais rien etudie.
-quel grand dommage de ne pas avoir etudie la meteorologie, c'est les trois quart de votre vie que vous avez perdu!

encore une fois, notre marin s'en retourna tout penaud en pensant: si un homme aussi savant, aussi erudit et plein de connaissance que ce proffesseur dit que j'ai perdu les trois quarts de ma vie, ce doit etre vrai sans l'ombre d'un doute: j'ai effectivement perdu les trois quart de ma vie.

le jours suivant, le marin entra en courant dans la cabine du professeur et lui demanda:
-savant professeur, savant professeur, avez vous etudie la nageologie?
-que voulez-vous dire, marin? je ne vous comprend pas?
-savant professeur, avez vous nager?
-et bien je n'ai jamais essaye, pour tout vous dire, en consequence de quoi, je crains bien que non, je ne sait pas nager.
-ah, quel dommage irreparable, tres certainement, c'est votre vie entiere que vous avez perdu! le bateau vient de se fracasser contre un recif,et le naufrage est imminent! ceux qui savent nager pourront sans doute rejoindre la terre ferme que l'on aperceoit et qui ne se trouve qu'a quelques miles d'ici, mais les autres sont condamnes a mourir noye. savant professeur, c'est avec grand regret que je vous dit: sans aucun doute, c'est votre vie entiere qui est perdue!

...

l'on peut etudier toutes les sciences du monde, toutes les "logies" imagineables, si l'on etudie pas la nageologie, ces etudes sont inutiles.
plus fort encore, on peut etudier la nageologie pendant des annees, on peut lire et ecrire des traites sur ce sujet et briller d'intelligence en en parlant, mais si l'on ne se jette jamais a l'eau pour en etudier l'aspect pratique, la theorie en devient inutile et sans objet.
Abraxas
[sujet déplacé de Smookie]

Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se
douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser
des Souhaits".

Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de
se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté
de lui.

Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur
serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes
percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.

« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à
coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures
succulentes.

L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui
tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la
fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur
le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette
journée extraordinaire.

« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait
qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »

Un tigre surgit aussitot et le dévora."

Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.

Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées
négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par
elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.



ce petit texte révéle les possibilité infini de notre pouvoir sur la vie, je vous invite à y réflechir, car il est vrai que nous avons ce pouvoir, bien qu'il ne soit pas aussi démonstratif que dans l'exemple sité, nos voeux peuvent se réalisé, mais son évidement dépandant de notre état d'esprit.

a vos claviers cher reflexioniste*, (*j'ai inventé ce mot, et pourquoi pas...)



[Reponse de Sol]


Sol a écrit :

Salut Smooki,

Eh oui, tous nos désirs se réalisent, les meilleurs comme les pires, même s'ils se réalisent souvent à retardement, dans les incarnations futures.
A plus grande échelle, nous pouvons affirmer que le monde actuel, aussi dégénéré soit-il, est finalement celui que l'ensemble des humains a souhaité installer.
Bien sûr, souvent nous ne voyons pas les conséquences de tel ou tel désir. Nous ne savons pas nous projeter dans le long terme. Ainsi par exemple dans cette petite histoire, notre homme, quand il souhaite voir apparaître une table de mets succulents, ignore sans doute qu'une fois le ventre plein il aura mal à l'estomac, il tombera de fatigue et pire, ses idées seront embrouillées et il sera vulnérable aux pensées néfastes. Quant à la jeune fille ça risque même de dévier encore plus fortement

A bientôt,
Sol
Sol
Les foulards blancs

Un jour dans une belle villa, un jeune homme entre dans une dispute monstrueuse avec son père. Pris de rage, il l'insulte, prend la voiture et s'enfuit à toute vitesse dans la grande allée bordée d'arbres. Il calomnie son père au village, et quitte définitivement les lieux.

Les mois passent... et le jeune homme commence à regréter son geste... au bout de six mois, il pense continuellement à la dispute avec son père, à ses insultes, et il commence à avoir des remords. Les remords grandissent, il y pense jour et nuit, et il décide de demander pardon.

Comme il n'ose pas le faire en face, il écrit une lettre à son père pour lui expliquer à quel point il regrette, et le supplie de le pardonner. Il termine ainsi : "J'ai bien trop peur de revenir et que tu me dises non. Alors, donne moi s'il te plaît la réponse avec un foulard blanc. Je vais venir mercredi à la maison, et je prendrai la grande allée bordée de peupliers. Si tu veux bien me pardonner, accroche un foulard blanc dans le dernier arbre. Si je ne vois pas de foulard, je repartirai et ne reviendrai jamais plus".

Le mercredi, le jeune homme est en voiture avec un ami à lui, devant le grand portail qui mène à la villa. C'est son ami qui conduit et le jeune homme lui dit : "J'ai bien trop peur pour ouvrir les yeux. Je vais les fermer, et tu vas rouler le long de l'allée bordée de peupliers. Arrivés au bout, tu me diras s'il y a un foulard blanc dans le dernier arbre".

La voiture roule doucement... le jeune homme garde les yeux fermés... enfin la voiture s'arrête. Il demande alors angoissé au conducteur :
_ Alors, y a-t-il un foulard blanc accroché dans l'arbre ?
_ Non. Il y en a des milliers. Dans tous les arbres.


Sol
Abraxas
Amitié

Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour, il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour, il n'avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit : Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais comme avant. Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après le lui retirer, mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique. Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur. Montre à tes amis combien tu les aimes. (...)

Donne aux gens plus que ce qu'ils attendent et fais-le avec goût. Ne te moque pas des rêves des autres car c'est la seule façon de vivre la vie. Ne juge pas les autres à travers leurs proches. Rappelle-toi que le plus grand amour et les plus grands succès comportent des risques majeurs. Ne permet pas qu'un petit différend abîme une grande amitié.
pelerin sur le sentier
Le Maître de Go

Un jour, un très célèbre Maître de Go se rendit en visite dans le club d’une petite ville. Les joueurs étonnés et ravis, l’invitèrent immédiatement dans le meilleur restaurant de la ville et lui offrirent un festin.

Après quoi tous se retrvouvèrent au club pour écouter l’enseignement du Maître, lequel demanda : « Savez-vous ce que je vais dire ce soir ? ».
Les joueurs répondirent « non » d’une seule voix.
Le Maître se mit à crier : « Bande d’imbéciles ! Je ne vais pas me fatiguer pour des idiots pareils ». Puis il tournat les talons et s’en alla.

Les joueurs, consternés, lui coururent après, tentèrent de l’apaiser et le prièrent de reprendre la leçon. Après de nombreux salamalecs, le Maître s’adoucit et accepta de rester à condition que la leçon ait lieu le lendemain.

Ainsi le Maître put jouïr d’une bonne nuit de sommeil dans l’hôtel le plus cher de la ville, puis d’un bon petit déjeuner, d’un excellent repas et d’une sieste délicieuse tandis que les joueurs remplissaient les obligations de leurs emplois respectifs.
Enfin le soir l’assemblée se réunit à nouveau. Le Maître scruta chacun avant de demander : « Savez-vous ce que je vais dire ce soir ? ».
Cette fois, chacun répondit « oui ». Ce que voyant, le Maître s’écria : « Si vous savez déjà, je n’ai plus rien à dire ! » et il tourna les talons.
Une fois de plus, les joueurs le rattrapèrent, s’excusèrent de leur stupidité et réussirent à le convaincre de rester.

Ainsi le Maître put profiter d’une nouvelle nuit de sommeil, d’un petit déjeuner et ainsi de suite jusqu’au soir.
Devant l’assistance, le Maître ouvrit les bras et demanda : « Savez-vous ce que je vais dire ce soir ? ». Les joueurs étaient troublés et la moitié dit « oui », tandis que l’autre répondit « non ». Le Maître s’exclama : « Alors que ceux qui savent enseignent à ceux qui ne savent pas ! » et il partit.
Les joueurs furent si surpris que personne ne songea à le rattrapper.

Ecrit par Anne Tombarello, adaptée d’une histoire persane.
Publié à l’origine dans Gospell 5, la revue du 41ième Congrès européen de Go (Marseille 1997).
Sol
Le puits

Un homme décide de creuser un puits. Il descend à trois mètres de profondeur, mais ne trouvant pas d'eau, il décide d'aller creuser un peu plus loin.
Cent mètres plus loin, il descend jusqu'à quatre mètres de profondeur. Toujours pas d'eau. Il abandonne et s'en va plus loin.
Deux cents mètres plus loin, il creuse jusqu'à trois ou quatre mètres de profondeur. Toujours rien. Agacé, il abandonne définitivement.

Un vieux maître, qui avait suivi toute l'histoire, dit alors à ses disciples :
"Vous voyez cet homme ? S'il avait creusé dix mètres au premier endroit, il aurait trouvé de l'eau".


Sol
Abraxas
Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.

Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci:

"Enterrons la divinité de l'homme dans la terre."

Mais Brahma répondit : "Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera."

Alors les dieux répliquèrent : "Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans."

Mais Brahma répondit à nouveau : "Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface."

Alors les dieux mineurs conclurent : "Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour."

Alors Brahma dit : "Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher."

Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui."
Abraxas
LE COMBAT INTERIEUR

Un vieil homme Cherokee apprend la vie à son petit fils.

"Un combat a lieu à l'intérieur de moi, dit-il au garçon. Un combat terrible entre deux loups. L'un est mauvais : il est colère, envie, chagrin, regret, avidité, arrogance, apitoiement sur soi-même, culpabilité, ressentiment, infériorité, mensonges, vanité, supériorité et ego.
L'autre est bon : il est joie, paix, amour, espoir, sérénité, humilité, bonté, bienveillance, empathie, générosité, vérité, compassion et foi. Le même combat a lieu en toi-même et à l'intérieur de tout le monde."

Le petit-fils réfléchit pendant une minute puis demanda à son grand père :

"Quel sera le loup qui vaincra ?"

Le vieux Cherokee répondit simplement : "Celui que tu nourris."
 
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