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Fils du desert
une anecdote a toi serai la bienvenue !

plein d'amour!
Mallory
Dans une expérience psi, comme on en fait ici courrament ensemble pour s'amuser... Il y a des facteurs à prendre en compte....

Voici quelques extraits interessants d'un texte portant sur le remote Viewing et les expériences menées par un scientifique américain ayant participé au projet Stargate:



Introduction

Le compte-rendu proposé ici est de première main. Il a été rédigé par une équipe composée de chercheurs qui travaillent ensemble depuis plus de 25 ans. Nous nous focaliserons sur des démonstrations de vision à distance qui ont été menées devant des caméras de télévision.

La première d’entre elles fut dirigée par la production LMNO en Californie qui réalisait un show national américain nommé « put to the test » (Mise à l’épreuve) diffusé sur ABC en novembre 1995. Depuis cette première emission, Joseph McMoneagle a participé à 43 démonstrations de vision à distance en direct devant des caméras de télévision dans six pays. Dans 35 d’entre elles, il y eut des concordances suffisantes avec le lieux et les descriptions données par le sujet pour que les images sélectionnées aient été facilement placées à la première place si la méthode de classement par rang en aveugle, habituellement à l’usage dans le laboratoire, avait été utilisée.

Dans une série japonaises filmée en cinq fois et diffusée depuis deux ans, la majorité des cibles était des personnes disparues dont seulement le nom et la date de naissance étaient connus. Dans certains des cas, l’endroit où les personnes avaient été vues pour la dernière fois était connu, et les recherches intensives effectuées par la police et des agences de détectives privés depuis 5 ou 7 ans n’avaient rien donné. Les seuls éléments donnés pour le tournage des démonstrations de vision à distance, menées dans l’Etat de Virginie, furent donc les noms et les dates de naissance de ces personnes. Ces informations furent placées dans des enveloppes cachetées et il fut demandé à Joseph de fournir une description complète de ces personnes, leur âge, le lieu où elles se trouvaient et la manière de les retrouver au Japon. Joseph n’était testé qu’avec le contenu des enveloppes cachetées ; La consigne donnée était :

« Cette enveloppe contient des informations correspondant à une personne disparue, merci de nous fournir des informations complémentaires sur cette personne et sur sa localisation actuelle ».

Les informations recueillies par ces expériences de vision à distance étaient envoyées au Japon à une agence de détectives privés, utilisée pour rechercher ces personnes disparues. Les résultats devaient être ensuite diffusés à la télévision. Joe ne recevait aucun feedback avant que l’émission donnant les résultats de ses recherches ne soit diffusée au Japon, et cela pendant parfois plusieurs mois. Sur les sept personnes disparues, cinq ont été localisées uniquement par les éléments recueillis à travers les expériences de vision à distance. Tous les détails des recherches et l’utilisation des éléments amenés par ces expériences étaient clairement exposés et démontrés dans le film officiel, et servait de feedback. Les personnes retrouvées avaient pour certaines d’entre elles disparu depuis 7 ans et jusqu’à 30 ans. Dans deux de ces cas, il a été reconnu à la télévision japonaise que ni la police ni les détectives privés n’avaient pu localiser ces personnes. Joe les avait localisées de sa salle à manger, située en Virginie, en se concentrant sur des informations mises dans des enveloppes cachetées pendant des expériences de vision à distance.Les éléments recueillis sur deux autres cas d’enfants disparus ont été retournés à la police ce qui leur a fourni des pistes solides. Ces deux cas sont maintenant considérés comme des cas criminels suite aux informations obtenues par vision à distance. Ils ne seront plus cités ou utilisés pour ce genre d’expérience au Japon. Joe a été mis au défi trois fois, durant l’émission diffusée en direct, par un groupe de sceptiques participant au programme. Ils ont dit avoir été pris en photo quelque part à Tokyo à un endroit situé sur le chemin du studio et demandaient à Joe de localiser cet emplacement. Il l’a fait avec énormément de précision au pour les trois. Dans le dernier cas, il a pratiquement nommé l’endroit : « J’ai envie d’appeler ce lieu l’Arène des Sports tout en sachant que ce n’est pas vraiment ce qu’il est. » Dans la réalité ce lieu est « l’Arène des sports automobiles ».

La dernière expérience, américaine, a été menée pour la National Geographic Channel en mars 2004 pour être diffusée à l’automne de la même année. Nous allons décrire cet expérience en détail.


L’intention, l’attention et l’attente

Ces termes sont par définition imprécis. Plutôt que de tenter de formuler des définitions en fonction de la vision à distance, nous décrirons des cas qui peuvent sembler exceptionnel, par rapport à ces notions, dans des démonstrations publiques et dans le programme du gouvernement américain. Nous rappelons au lecteur que ces idées sont qualitatives et espérons qu’elles pourront inspirer des tests quantitatifs de ces concepts.

Il semble y avoir une particularité dans le fait de mener des démonstrations de vision à distance dans les médias. Les conditions psychosociales, l’ego des participants, les stimulations financières contribuent certainement aux réussites. Nous nous focaliserons néanmoins ici sur l’attention, l’intention et l’attente.

L’attention

Parmi les trois concepts de ce paragraphe, l’attention est peut-être celui dont il est le plus aisé de discuter en ce qui concerne les démonstrations réussies et les expériences menées en laboratoire.

Une partie de l’attention est manifeste et clairement visible durant une expérience. les participants sont concentrés sur la démonstration de vision à distance en premier lieu et ne sont pas occupés simultanément par d’autres activités. Nous pensons toutefois que l’attention peut avoir une signification beaucoup plus profonde. Sur le plan qualitatif, les vingt années du programme du gouvernement américain ont donné lieu à des résultats concluants. Il existeun certain nombre d’explications qui permttent de comprendre qu’il l’ait été également au niveau quantitatif. On nous a dit par exemple que la théorie de l’observation pouvait suggérer que ces succès ont eu lieu grâce au secret du programme (1). Cependant nous pensons qu’il peut y avoir d’autres raisons plus probables. Par exemple, nous avons rarement fait appel à des participants dits « non-sélectionnés », à l’inverse de nombreux laboratoires menant des recherches psi.Nous nous sommes plutôt focalisés sur quelques individus aptes à produire des phénomènes psi dans des conditions de laboratoire, et nous avons travaillé avec eux, quelquefois pendant plus de trente ans. Rien que ceci pourrait déjà peut-être justifier le succès manifeste.

L’attention est à notre avis le meilleur candidat pour être l’élément majeur contribuant aux réussites. Nous allons l’illustrer par quelques exemples. Alors qu’on nous demandait de mener des séances de vision à distance contre des cibles militaires ou secrètes (2), en vue d’application, toutes les personnes du laboratoire cessaient leurs activités pour se concentrer sur le travail en cours. A l’échelle du programme dans son ensemble, ceci signifiait que 12 personnes cessaient ce qu’elles faisaient afin de consacrer tous leurs efforts afin de fournir le meilleur des environnements pour mener la session à bien. Souvent, un ou plusieurs voyants devaient dans ces cas-là traversesaientr les Etats Unis par avion pour se rendre en Californie. Il est clair que l’attention était donc fortement accrue. Cette même sorte d’attention était à l’oeuvre lors des recherches en laboratoire.Par opposition, nous avons mené une série de 75 expériences en laboratoire qui n’ont montré que peu de preuve de la vision à distance (May, Spottiswoode, & Faith, 2000). Qu’y avait-il de différent ?

Cette étude avait été menée par deux expérimentateurs confirmés (l’un à Palo Alto et l’autre à Los Angeles) et cinq voyants expérimentés dispersés à travers tous les Etats Unis. Plutôt que de les rassembler tous au LRF (Laboratoire de Recherche Fondamentale), nous avons conçu une procédure complexe basée sur internet. Pour chaque expérience l’expérimentateur travaillait environ une heure et le voyant seulement 15 minutes par une interview téléphonique. Puis tous les participants retournaient à leurs activités quotidiennes. Il y avait certainement une intense attention durant environ une heure mais après l’expérience nous avons tous ressenti une différence considérable entre ce genre d’attention et ce qui était la routine dans le précédent programme gouvernemental. Par exemple, un appel téléphonique programmé à un voyant pouvait interrompre celui-ci alors qu’il était en train d’écrire un article, de calculer ses impôts, ou de déjeuner...La pensée du sujet aurait pu être : « Eh bien, je terminerai ce que je faisais lorsque la séance sera terminée ». Il est difficile et peut être dangereusement trompeur d’attribuer l’échec apparent d’une expérience psi à une analyse a posteriori telle que celle proposée ci-dessus. Cependant, nous avons le sentiment qu’il est important d’essayer d’ouvrir un dialogue sur ce qui pourrait être un sujet important mais délicat : l’attention.

Les exemples de réussite qui vont être présentés ont été sélectionnés au sein d’un large ensemble de données obtenues dans des circonstances similaires. Jusqu’à présent, nous n’avons eu qu’une seule expérience malheureuse dont l’échec pourrait être attribué à un manque d’attention.Si vous désirez vraiment comprendre la différence entre l’attention dans les expériences de vision à distance exprimée dans le projet militaire, et le niveau plus commun d’attention exprimé dans la série expérimentale, nous vous recommandons de lire la page à ce sujet de « the Stargate Chronicles ». (3)

L’intention et l’attente

Nous englobons ces deux concepts dans le même paragraphe car leurs différences sont subtiles mais essentielles. Ce que nous voulons exprimer par l’attente est ce que la totalité de l’équipe désire consciemment (et même peut-être inconsciemment) à propos du résultat. La peur du psi ou une attente plus faible fait partie de connaissances du psi (4) et de la littérature (Tart, 1984) depuis quelque temps. Si Tart a raison, quand nous attendons ouvertement une grande réussite d’une expérience, nous pouvons inconsciemment en être effrayés et ainsi abaisser notre "degré d’attente" pour cette raison.

Une anecdote de laboratoire pourrait également illustrer la notion d’attente. Un étudiant en post-doc rejoignit le programme gouvernemental américain tardivement. Le reste du personnel du laboratoire avait une attente élevée quant à la réussite dans les expériences que nous tentions depuis presque vingt ans. Cet étudiant était, de façon compréhensible, sceptique sur notre taux de réussite et particulièrement lorsqu’il eut appris que nous avions un problème inversé de « fonds de tiroirs ». C’est-à-dire que nous avions réalisé un certain nombre d’études significatives mais cependant non publiées (5). L’attente de ce nouvel étudiant post-doc quant à la réussite n’était pas aussi importante que celle des autres membres du laboratoire. Il peut sembler évident qu’une attente importante soit un ingrédient nécessaire pour le succès d’une activité quelle qu’elle soit, à plus forte raison pour la vision à distance. Nous ne connaissons pas par contre le degré de l’impact sur la vision à distance. Nous avons vu des expériences de vision à distance de grande qualité menées devant des personnes qui avaient de grandes attentes d’échec. L’intention rattachée à l’attente peut être différente. Nous pourrions, par exemple, réunir des personnes ayant l’intention de gagner à la loterie mais l’attente de gagner pourrait être plutôt faible. L’intention, quand elle est mêlée à l’attente, peut être utilisée pour excuser un échec potentiel. Par exemple, le spectre de la lumière fluorescente est mauvais, l’expérimentateur n’est pas arrivé à temps ou il y a eu trop de bruit à l’extérieur, etc. Il est possible de passer outre ces excuses en adoptant une attitude indifférente, en se disant que toutes ces choses extérieures n’ont tout simplement pas d’importance.


Pour lire le texte en entier, voici le lien: http://www.metapsychique.org/Le-role-eventuel-de-l-intention-de.html?var_recherche=attention
 
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