Sujet :

la depression

arcane
   Posté le 20-04-2007 à 16:09:45   

un sacré sujet que voilà, mais chacun d'entre vous à surement connu quelqu'un qui a vécu cela?..

Ma tante et ma grand-mère ont été touché, c'est une maladie qui peut arrivé tout à chacun suite à choc du à une séparation, changement de vie brutal, accident, perte d'un emploi, deuil.

Cela peut se revelé par différentes manière (dans la durée..) certaine apathie ne rien faire, fatigue chronique, mal de dos, et parfois des problème intestinaux, ralentissement des capacité psychique, concentration, même de mémoire, sentiment de cupabilité.

certain cas grave peut nécessité l'hospitalisation de la personne touché, peut être reveleur d'autre problème comme une dyslexie non dynanostiqué ou autres qui peut déprécié la personne.


http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9pression_(m%C3%A9decine)#D.C3.A9pressions_masqu.C3.A9es

Citation :


La dépression est un trouble de l'humeur ou un trouble psychique pouvant résulter de l'interaction d'un ensemble de facteurs biologiques (déséquilibre dans la chimie des neurotransmetteurs du cerveau), psychologiques et sociaux (ex : divorce, chômage,etc...). Il s'agit d'une affection médicale à haut risque, pouvant parfois mener au suicide, sous diagnostiquée, sous-estimée et sous-traitée.

Elle est caractérisée par la persistance des symptômes suivants :

Troubles du sommeil ;
Manque d'énergie, de motivation ;
Irritabilité ;
Mal de vivre.


voilà les des erreurs qu'on dis souvent au depressif, c'est bouge toi ect..alors que c'est pas vraiment une histoire de volonté, d'après ce que j'ai pu comprendre en ayant contact avec des depressifs.

voilà le chat de jade
piece_of_infinity
   Posté le 11-05-2007 à 18:51:27   

Personnellement, je ne suis pas dépressif en tant que tel mais on m'a dit que je me trouvais dans un "état dépressif" (ce qui se situerait "avant" la dépression).

arcane a écrit :


voilà les des erreurs qu'on dis souvent au depressif, c'est bouge toi ect..alors que c'est pas vraiment une histoire de volonté, d'après ce que j'ai pu comprendre en ayant contact avec des depressifs.


Si c'est un manque de volonté alors il est plus ou moins inconscient qu'autre chose... Nous, autant que l'extérieur (les gens et les situations), nous "forçons" à rester dans notre situation mais c'est dur de s'en rendre compte parce que celui qui s'en rend compte ne peut que sortir de cet état d'être, il me semble. Mais il ne s'agit jamais seulement de soi ou seulement des autres.
C'est clair qu'en ce qui concerne ce genre de commentaire "bouge-toi",... c'est dur à gérer parce qu'on ne peut pas expliquer tout ça à la personne, le fait qu'on a l'impression d'être bloqué,...
Et même si c'était de la paresse, par exemple, qu'est-ce que la paresse pour quelqu'un qui a toujours été paresseux... ?
Silence
   Posté le 21-05-2007 à 21:08:46   

Je crois au contraire que c'est bon que nos amis nous forcent à nous bouger dans ce genre de situation. Bien-sûr puisqu'on est déprimé on a pas envie ! On est comme empêtré dans des sables mouvants... Mais c'est exactement comme ça qu'on sort d'une dépression.

Personnellement, j'ai fait une seule dépression dans ma vie, elle a duré trois mois, mais les dégats causés à mon corps pendant ces trois petits mois ont mis des années à guérir. Migraines très violentes, hyper-tension, problèmes de santé divers... Il m'a fallu du temps pour comprendre que tous mes soucis de santé provenaient simplement de cette dépression... le pire c'est l'effet à retardement : j'étais déjà plus déprimé quand j'ai commencé à être malade ! C'est aussi là que j'ai découvert que la médecine occidentale ça valait pas un clou. Avant j'avais confiance. Mais quand les médecins sont incapables de savoir où est le problème, et finalement te traite avec une certaine désinvolture... ça fait drôle... N'importe quel spirituel aurait vu que c'était mon âme qui avait eu mal, et que c'était les échos de sa douleur que mon corps recevait.


Seulement voilà... la science nous déresponsabilise.
Si on commence à dire à un dépressif que bon voilà, il peut rien y faire, c'est sûr que ça va pas l'aider. Pareil pour toutes les maladies. Si j'avais compris ma part de responsabilité dans mes problèmes de santé, je m'en serais sorti plus tôt.

C'est vrai c'est sans doute dur à entendre comme ça :
"Si t'es malade, c'est de ta faute"
Et pourtant combien plus dur est la situation de quelqu'un qui "attend" une solution extérieur, un remède miracle, un diagnostique pertinent d'un médecin suivi d'une prescription médicamenteuse adéquate.

Non ! Je vous le dis : il faut reconquérir sa santé ! Si quand on est malade, on nous dit que c'est de notre faute, c'est génial ! Parce que si c'est de notre faute, ça veut dire qu'on peut faire quelque chose ! Ca veut dire que nous ne sommes plus impuissant face à nos maux !

Vous vous rendez compte qu'il a suffit que je comprenne enfin que c'était ma faute si je faisais des migraines pour plus en faire ?

Bien-sûr des coups durs dans la vie ça existe. Parfois le destin nous joue des tours. Mais raison de plus pour apprendre dès aujourd'hui à contrôler ses émotions négatives.

On peut mentalement "expirer" n'importe laquelle des émotions. On fait partir dans notre souffle ces énergies stagnantes ou négatives, n'importe qui peut faire ça.
Sol
   Posté le 23-05-2007 à 17:56:25   

Bonjour tout le monde,

Eh oui, tout est dans l'âme. Les médecins reconnaissent vaguement que certains troubles physiques naissent d'abord dans la tête, mais ils rajoutent quand même que "ça dépend". Non, ça ne dépend pas, c'est une règle absolue. Toute perturbation physique est la matérialisation d'une perturbation psychique. Personnellement je ne crois pas en la médecine officielle, pas plus que je ne crois en la science, ou en la politique, ou dans l'art contemporain, ni dans aucune quelconque invention de la mentalité moderne. Pour la santé, je n'ai confiance que dans les remèdes simples et naturels. Et le remède miracle, celui contre lequel presque aucune maladie ne peut résister, c'est le jeûne. Un jeûne de quarante jours vous nettoie l'organisme de fond en comble, c'est une deuxième naissance. Personnellement je ne l'ai jamais fait sur une si longue durée, je me suis contentée de jeûnes de six à dix jours, eh bien le regain en énergie et en force vitale est foudroyant !

L'un de mes collègues (qui a 22 ans) a appris hier de la part de son médecin qu'il faisait justement une "dépression". Et il m'a dit que ce soir, il allait acheter des somnifères à la pharmacie. Je lui ai bien entendu fortement déconseillé toutes ces cochonneries car on en devient beaucoup trop vite dépendant, si bien que la situation finale est pire encore que la situation initiale. Je lui ai conseillé plutôt de boire des infusions très chaudes le soir, mais il a fait la grimace. Pourtant l'eau chaude dilate les tissus et aide à la détente générale du corps. C'est simple, efficace et naturel. Vu comme il a méprisé ce conseil, je n'ai même pas osé lui conseiller d'allumer simplement une bougie et de la regarder briller dans le noir.

La médecine moderne soigne les conséquences, mais pas les causes. Elle ne soigne donc rien du tout... C'est bizarre, tout de même. La mort n'a jamais été autant diabolisée, on repousse sans cesse l'espérance de vie, et c'est considéré comme un immense progrès. Et paradoxalement, on n'a jamais autant méprisé la vie. C'est encore un aspect du triomphe de la quantité sur la qualité : vivre vieux est aujourd'hui plus important que vivre bien. L'univers mental est désormais complètement parasité, et rester en bonne santé relève de l'exploit. Espérons que ça change dans les siècles à venir...

A bientôt,
Sol
Silence
   Posté le 23-05-2007 à 19:16:18   

C'est même pire : les médicaments font toujours plus de mal que de bien. Quand on soigne une partie de notre corps avec un médicament, on abîme au moins deux ou trois autres parties. Déjà il faut savoir que presque tous les médicaments endommagent le foie, même de la bête aspirine. De toute façon je vous apprends rien : il suffit de regarder la liste de tous les effets indésirables, liste plus longue que celle concernant les pathologies traitées.
Les médicaments pour la tête, c'est encore pire ! Je comprends même pas comment on peut vendre des anti-dépresseurs ! Ca n'a jamais guéri personne ! J'ai un ami qui a eu besoin d'en prendre un moment dans sa vie, et dans les effets indésirables il y a : "Risque de survenue d'idées suicidaires". Incroyable. Je vois pas en quoi c'est anti-dépresseur si ça donne envie de se foutre en l'air ! Ces médicaments n'ont qu'un but : annihiler toute conscience, une fois que vous êtes des veaux, vous ne pensez plus à rien. Par contre c'est pratique, parce que vous pouvez aller travailler (à la chaine par exemple, ou faire de la manutention) sans vous plaindre. C'est bien monté comme arnaque !
Dans le même genre de médicaments honteux, y'a ceux pour traiter les hyper-actifs que les anglo-saxons essaient de nous refourguer. Vous avez un enfant trop turbulent, hop, vous en faite un drogué complètement légumisé, et aux USA, les parents n'ont même pas le droit de s'opposer à ça ! Ils sont obligé d'en donner à leur enfant si le medecin scolaire les a prescrit... Surtout que ces médicaments là laissent des sequelles à vie...

Par contre je te corrige Sol : la médecine n'allonge même pas notre espérance de vie. C'est encore une arnaque, un coup de l'obscurantisme scientifique. J'ai vu un reportage une fois, c'était en Asie, je sais plus où, sûrement au Vietnam vu que c'était en pleine forêt vierge. On y voyait un petit village de vieux (je crois que j'ai déjà raconté cette histoire sur ce forum mais je sais plus où). Ils étaient presque tous centenaires, ils vivaient dans des cabanes sans eau sans électricité. Ils n'avaient ni le confort moderne, ni la technologie, ni de médicament, et pourtant ! Ils avaient tous la forme ! Ils parlaient, riaient et étaient parfaitement autonomes ! Une santé qui ferait pâlir nos vieux de 70 ans.

Bon y'a pas que du mauvais non plus dans la médecine. Les épidémies ont quand même été enrayées. Il y a des interventions chirurgicales qui sauvent. Mais la médecine des médicaments, très peu pour moi.

Message édité le 23-05-2007 à 19:16:57 par Silence
Lilwenn
   Posté le 26-12-2007 à 23:55:11   

je suis d'accord avec Sol sur les remèdes à base de plante.
N'oublions pas que la plupart des médicaments qui nous sont prescrits sont la reproduction de certaines molécules issues des plantes, qui une fois isolées sont synthétisées chimiquement.
La phytotérapie est bien plus intéressante et efficace, car en plus de l'action médicinale qu'elle procure, elle nous offre également vitamines et minéraux naturels qui aident le corps à se ressourcer.
C'est également un remède naturel, ce qui fait qu'il est bien accepté et bien assimilé par l'organisme.
Ajoutons que de préparer nous-mêmes notre remède est un pas vers la guérison car nous sommes dans une pensée positive, celle de guérir.

La nature nous offre une quantité de richesse que notre monde moderne nous fait malheureusement oublié. Je pense que nous choissisons également la facilité. Plus facile et plus rapide d'avaler une pillule avec un verre d'eau que de se concocter une infusion, une décoction ou autre.
Pour les dépressions, on conseille les tisanes de camomille. La camomille aide pour les problèmes digestifs (l'estomac est le centre de nos émotions), lutte également contre les tensions nerveuses, c'est un anti pasmodique, elle réduit l'irritabilité et favorise le sommeil.
Personnellement, je ne connais pas un seul médicament capable de contenir toutes ces intéractions, ni de médicament qui a long terme n'assassine pas votre estomac.

Autre petit conseil pour les personnes qui sont dépressives ou qui sentent que la dépression va arriver. Ne vous isoler surtout pas. Vous allez me répondre, facile à dire, pas facile à faire.
De mon expérience personnelle, j'ai frôler la dépression au mois de février 2007, ça arrive sans crier gare, je perdais le sommeil. Je me suis forcée à sortir, quitte à ne pas dormir, j'ai préférée passer des nuits blanches dehors que toute seule chez moi.(hors de question pour moi de m'empiffrer d'anti-dépresseurs).
Je définirais la dépression comme une situation dans laquelle à un moment donné, nous ne trouvons plus de solution, où nous abandonnons tout espoir. Toute cause est perdue et nous nous replions sur nous mêmes de fatigue, d'épuisement, on se sent souvent incompris et par conséquent seul au monde.

A mon sens l'être humain est fait pour communiquer et partager.
Autant que la nature nous apporte une richesse incroyable, l'humanité nous apporte une énergie considérable. N'oublions pas que nous sommes des milliards sur terre. Que nous sommes uniques les uns et les autres, de part notre passé, notre présent et notre futur que nous construisons. Il ne faut pas hésiter à communiquer et à échanger notre ressenti, nos émotions et notre histoire avec le monde qui nous entoure.
Quelle grande richesse que de comprendre les différences de perception d'un individu à un autre, face à une situation unique.

Ce fût une période difficile pour moi qui a durée 3 mois, dur dur quand on ne dort pas et que l'on enchaîne les journées de travail.
Paradoxalement, j'ai rencontré tellement de personnes géniales, pleines d'énergies et d'empathies, que j'en garde également un souvenir mémorable, même si les 3/4 des rencontres que j'ai faites furent éphémères. (Pour anecdote, un soir j'ai rencontré une personne avec qui j'ai discuté de 19H jusqu'à midi le lendemain. Je ne l'ai jamais recroisé et pourtant cette personne connait toute ma vie, et elle m'a apprise beaucoup sur moi).
J'ai également gagné un véritable ami à rajouter mon répertoire.
Hé puis j'ai aussi consolée des personnes qui à leur tour m'ont dévoilé leur vie.
Ce mode de vie nocturne fut ma guérison.

On peut dans son existence, à un moment donné ne plus avoir goût à rien, et même si nous avons l'impressions que tout s'arrête, la vie à l'extérieur continue et nous devons nous y raccrocher.
La nature autant que l'humanité foisonne de diversité.
Sachons l'utiliser intelligemment. Donnons autant que nous pouvons, apprenons à recevoir et partageons.