Sujet : la double contrainte | | Posté le 29-01-2009 à 14:53:34
| bonjour à tous, j'ai fais une découverte intéressent dernièrement, la double contrainte. Depuis mon plus jeune âge j'y ai eu droit, ma mère me disait que je me souvenais encore. "tu n'est qu'un rat.."..moi je répondais mais non je ne suis pas un rat "tu n'est qu'un chat" moi je répondais mais non je ne suis pas un chat "tu n'est qu'un être humain" moi je répondais mais non je ne suis pas qu'un être humain, "alors tu n'est qu'un chat".. ce traitement j'y avais droit de la part de ma mère qui riait avec délice a ma frustration car aucun réponse ne me convenait quoi que je pouvais dire j'avais tord..la solution finale serait été de dire que je suis tout simplement "arcane". En couple je l'ai vécu aussi, on dit ce que nos parents nous ont appris on le répète. Même sur ce forum, nous l'avons vécu, car dans tout les cas si on réagissait on avait tord et si on réagissait pas on avait tord aussi. D'ou le terme double contrainte. voici la définition de Wikipédia
Citation :
Double contrainte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, Rechercher La double contrainte exprime deux contraintes qui s'opposent : l'obligation de chacune contenant une interdiction de l'autre, ce qui rend la situation a priori insoluble. Ce terme est une traduction propre au français de double bind ( « double lien » ), mais dans un premier temps il était question d'injonctions paradoxales. Cette notion est proposée en 1956 dans le contexte de la présentation d'une théorie des causes de la schizophrénie sous l'impulsion de Gregory Bateson . L'élaboration de ce principe coïncide avec la création de l'école de Palo Alto et elle est intimement liée à l'étude scientifique des mécanismes de la communication dans les systèmes. Les débouchés les plus connus sont les thérapies familiale et systémique, Exemples classiques (voir aussi la partie #Exemples) : * Dans le contexte familial : des parents exigent chacun un lien exclusif de la part d'un enfant, ce qui le soumet à deux demandes oppressantes qui se contrarient. * Dans la communication : le langage paradoxal peut contenir deux demandes qui s'opposent comme « Soyez spontané ! », ou « sois un grand mon petit ». Paul Watzlawick propose l'exemple d'un panneau autoroutier indiquant "ignorez ce panneau". Sommaire [masquer] * 1 La théorie o 1.1 Histoire o 1.2 Définition générale o 1.3 En situation + 1.3.1 La schizophrénie + 1.3.2 Le mutisme + 1.3.3 Généralisation o 1.4 Distinctions + 1.4.1 Dilemme + 1.4.2 Contraintes + 1.4.3 Paradoxe o 1.5 Solutions + 1.5.1 Niveaux de lecture # 1.5.1.1 Mise en abime + 1.5.2 Conséquence méthodologique + 1.5.3 Théorie des contextes + 1.5.4 Méta-communication * 2 Domaines d'études o 2.1 Philosophie * 3 Exemples o 3.1 Représentation de la notion o 3.2 Exemples culturel, indépendants de la notion + 3.2.1 Littérature + 3.2.2 Humour + 3.2.3 Images * 4 Notes et références * 5 Voir aussi o 5.1 Bibliographie o 5.2 Articles connexes o 5.3 Liens externes La théorie [modifier] Histoire [modifier] L'expression du principe de double contrainte proprement dit n'apparaît que dans les années 1950. Pourtant, l'exposition de cette situation est l'une des bases de la dramaturgie depuis l'antiquité (dans Antigone par exemple), mais seules des expressions du paradoxe avaient jusque là été exposées. Le principe de double contrainte trouve son inspiration dans l'étude des mécanismes des systèmes. (Concrètement le lien se fait dans le cadre des réunions inter-disciplinaire des conférences de Macy auxquelles participe l'anthropologue Gregory Bateson dès 1942. Ces conférences servent à travailler les théories de la communication, notamment à travers l'étude du principe d'homéostasie, et elles déboucheront entre autre en 1948 sur l'élaboration de la cybernétique.) Gregory Bateson utilise cette base à laquelle il a contribué pour pousser plus loin dans le cadre plus précis de la communication humaine. Il étudie alors le « paradoxe de l'abstraction dans la communication » (avec le financement de la fondation Rockefeller de 1952 a 1954), puis il travaille sur « l'étude de la communication chez les schizophrènes » (avec le financement de la fondation Macy de 1954 a 1956). Pour mener à bien ces recherches il réunit une équipe au sein du Veterans Administration Hospital de Palo Alto. Elle est à l'origine composée de l'étudiant en communication Jay Haley, de l'étudiant en psychiatrie William Fry et de l'anthropologue John Weakland. Cette équipe publiera en 1956 Vers une théorie de la schizophrénie qui marque la première expression de ce principe de double contrainte. Cette nouvelle approche qui reste liée aux avancées scientifiques en matière de systémique sera ensuite désignée comme une école de pensée, on parlera alors de l'École de Palo Alto. Elle est donc issue du même projet que celui qui a permis de présenter la notion de double contrainte, (parfois nommé projet Bateson), et ces "participants" forgeront ultérieurement l'expression de la théorie systémique en sciences humaines et poseront les bases de la thérapie familiale. Définition générale [modifier] Une double contrainte désigne deux obligations qui se contrarient en s'interdisant mutuellement. En termes de logique, elle exprime l'impossibilité que peut engendrer une situation où le paradoxe est imposé. Ce schémas peut être identifié en éthologie, en anthropologie, en entreprise, ou en communication internationale.[1] On le présente au niveau des relations humaines comme un ensemble de deux ordres (explicites ou implicites) intimés à quelqu'un qui ne peut en satisfaire un sans violer l'autre, par exemple les obligations conjointes de faire et ne pas faire une même chose. Gregory Bateson l'exprime ainsi : « vous êtes damné si vous le faites, et vous êtes damné si vous ne le faites pas ». Une retranscription proposé est : Si tu ne fais pas A, tu ne (survivras pas, ne seras pas en sécurité, n'auras pas de plaisir, etc.) Mais si tu fais A, tu ne (survivras pas, ne seras pas en sécurité, n'auras pas de plaisir, etc.). [2] La double contrainte exprime donc le fait d'être acculé à une situation impossible, le problème étant que le fait de dépasser l'absurdité soit intimé comme une obligation. To bind, dans l'expression « double-bind » signifie « coller », « accrocher », allusion à deux ordres impossibles à exécuter. L'anti-psychiatrie de Laing et Cooper utilise le nom de knot (« nœud » qui évoque bien cette situation d'enfermement. En situation [modifier] La schizophrénie [modifier] Dans Vers une théorie de la schizophrénie il est question d'injonctions paradoxales dans un milieu familial où règne une communication pathologique. Ces injonctions paradoxales visent une "victime émissaire" qui doit en quelque sorte assumer le défaut de communication, en être l'incarnation. Dans ce cadre d'étude la victime est le membre "schizophrénique" du système, et l'idée sous-jacente est de mettre en évidence la façon dont la schizophrènie, donc le dédoublement de la personnalité, est à la fois un mécanisme de défense pour faire face à un contexte d'impossibilité, et un ultime moyen de maintenir la cohésion du groupe en tentant d'assumer l'incohérence du contexte. Le mutisme [modifier] La double contrainte a tendance à entrainer un blocage de la communication. C'est un symptôme typique de la schizophrénie que de tenter de ne pas communiquer, et un effet logique dans la mesure où le schizophrène doit assumer le défaut de communication de son environnement. C'est pourtant une réponse qui est impossible, puisque le "charabia" du "schizophrénien", le retrait ou le silence verbal ou postural même est une communication Généralisation [modifier] A partir de la mise en évidence par l'étude de la communication autour de la schizophrénie, l'identification de la double contrainte est devenue un outil de compréhension des systèmes de communication. Dans les familles elle est identifiée directement, et c'est le défaut de communication originel que tenteront de résoudre les thérapies familiales et autres thérapies systémiques. Selon cette méthode, ce sont les rouages de la communication du groupe qui, s'ils sont coincés, peuvent entrainer des défauts de communication qui sont à l'origine des pathologies individuelles. Distinctions [modifier] Dilemme [modifier] Un dilemme est un choix difficile ou problématique mais possible. Ce qui pose problème est la nécessité de choisir entre des attracteurs d'intensité presque égale. Mais il n'y a ni injonction ni paradoxe, ce n'est donc pas une double contrainte. Le dilemme est imagé par la nécessite de choisir entre un sac d'avoine et un baquet d'eau dans l'exemple de l'âne de Buridan. Pour arriver à une situation de double contrainte il faudrait par exemple que l'âne sache qu'il est contraint à boire et à manger, mais qu'il sache aussi qu'il est battu quant il boit par ce qu'il ne mange pas, et qu'il est battu quand il mange parce qu'il ne boit pas. Contraintes [modifier] Les termes font qu'on a tendance à assimiler la double contrainte à deux contraintes, à une autorité qui pousse à dépasser un dilemme, ou encore à des contraintes qui s'opposent. Mais la double contrainte de la notion doit contenir des injonctions paradoxales, autrement dit une contrainte à l'absurdité. Un exemple de contraintes opposables est proposé par William Styron dans Le Choix de Sophie[3], où une mère doit choisir lequel de ses deux enfants pourra survivre sous peine que les deux soient tués. Bien que fort, cet exemple ne contient pas de paradoxe logique mais une obligation à faire un choix contre nature. Paradoxe [modifier] Le paradoxe exprime une chose illogique, plutôt cachée par une logique apparente mais fausse. C'est un illogisme en soi, mais ce n'est que s'il est imposé que l'on peut parler de double contrainte. Un exemple de paradoxe est proposé par Jorge Luis Borges dans son recueil intitulé L'auteur [4]. Il imagine un pays dont l'art de la cartographie est à ce point poussé à bout, que la carte du pays recouvre le pays dans son ensemble. Il n'y a pas de contrainte associée à cet exemple, ce n'est donc pas une double contrainte. Solutions [modifier] Niveaux de lecture [modifier] Paul Watzlawick explique qu'on ne sort d'une boucle paradoxale (double contrainte) que par un recadrage, permettant une lecture de la situation à un niveau différent. La double contrainte étant une situation insoluble directement, sa résolution passe par un changement de niveau ou d'échelle. Par exemple communiquer l'absurde de la situation peut être une façon de dépasser cette situation. Mise en abime [modifier] L'impossibilité de communiquer est souvent associé à la double contrainte, comme un effet émergent, ou comme un verrouillage supplémentaire de la situation. Il s'agit alors d'un autre niveau de double contrainte où l'interdiction de communiquer s'oppose au besoin naturel et irrépressible de le faire. Communiquer l'interdit de communiquer est une porte de sortie de ce nouveau niveau de double contrainte, mais c'est aussi une double contrainte en soi. Mais il existe encore des niveaux de lectures. Quel est le sujet interdit? tous? Quel est le type de communication interdite? les mots seulement? l'interdit s'applique-t-il à tout interlocuteur? y compris imaginaire? etc... Mais plutôt que de pousser l'analyse de cette façon, c'est la créativité, l'humour, ou tout ce qui permet la spontanéité qui est le mode de résolution recommandé et proposé aux personnes qui doivent y faire face, car cela crée nécessairement un espace de possibilité, d'autant plus investi que le besoin est grand. Conséquence méthodologique [modifier] Un moyen de sortir de ce mécanisme est donc d'identifier des repères stables (des évidences qui sont extérieures à l'impossibilité). À partir d’une double-contrainte, il est toujours possible d’identifier (dans la durée) – et pour le moins de chercher (dans l’immédiat) - une trilogie d’éléments (pièces mécaniques, points de vues abstraits, attitude pertinente, …) permettant de sortir d’une situation apparemment insoluble. Théorie des contextes [modifier] Un autre élément est d'élever le niveau d'analyse pour sortir du cadre de l'absurdité, ce qui introduit la notion de contexte : La généralisation de la méthode scientifique ci-avant définie suppose la modélisation préalable : il est difficile de manier des idées abstraites sans recours aux outils de communication technique : la résolution de la double-contrainte fait avantageusement appel à la théorie des contextes (approche issue de l'échec de la théorie naïve des ensembles). Méta-communication [modifier] La métacommunication, autrement dit communiquer sur la communication, est un terme récurent pour exprimer un moyen de faire face à une situation de double contrainte. Domaines d'études [modifier] Philosophie [modifier] Une “utilisation” particulière du double bind peut être également citée dans l'œuvre de Jacques Derrida, et dans celle de ses lecteurs ou “disciples” (Geoffrey Bennington, Paul de Man) et qui a connu une fortune diverse dans le champ des Cultural studies aux États-Unis. L'idée est qu'il y a un écart, un vide, un passage, entre l'intention et la réception de l'intention. C'est le sens même de la différence. Si X écrit une lettre (la graphie est justement le révélateur de cet écart) à Y, le contexte et l'intention de X ne pourra en aucun cas être perceptible à Y, il y va de la Poste. Par conséquent la lecture crée son propre contexte. Et Y peut bien lire les mots de X alors que X est mort. Il apparaît ainsi impossible qu'un texte ou une lettre soit hors-contexte, et la citation même ne peut être faite ailleurs que dans un autre contexte. Un énoncé existe s'il peut être répété, dans l'altérité, ce qu'on nomme itérabilité. Ceci montre également que toute production de texte désigne implicitement qu'il n'y a pas de début absolu, et donc pas d'Absolu qui ne soit lui-même itérable, sujet à être ramené à un état antérieur. Cette passion de Derrida pour le texte[5] fonde une grande partie de son travail de déconstruction. Cela se repère dans le sérieux, le jeu de mot, le titre, autant de catégories qui mettent en œuvre ce qu'il appelle la « double bande », ou la « contrebande ». La cristallisation de l'opposition qu'a pu susciter la déconstruction derridienne est très explicitement perceptible dans le conflit qui l'opposa à la théorie linguistique performative de John Austin et de son disciple John Searle[6]. Exemples [modifier] Représentation de la notion [modifier] (à référencer) * Par Gregory Bateson : o une mère demande : « Bah alors, tu ne m'embrasses pas ? ». Le fils s'exécute mais la mère réagit par un mouvement de raideur et de recul. Le discours verbal et le discours corporel sont paradoxaux et il n'y a pas moyen de satisfaire l'un sans ignorer l'autre. C'est le départ de l'idée de son film pris à Bali. L'enfant est pris entre deux ordres et ne peut obéir à l'un sans désobéir à l'autre. * Par Paul Watzlawick : o Un panneau autoroutier indiquant "ignorez ce panneau". (Si les automobilistes le prennent en compte, ils ne l'ignorent pas, et s'ils choisissent de l'ignorer, ils le prennent en compte). o Une mère rend visite à son enfant et lui offre deux cravates, une bleue et une rouge. À la visite suivante, l'enfant se présente avec la cravate rouge. La mère lui dit: "tu n'aimes pas la cravate bleue"? À la visite suivante, l'enfant se présente avec la cravate bleue. La mère lui dit: "tu n'aimes pas la cravate rouge"? À la visite suivante encore, l'enfant se présente avec les cravates bleue et rouge à la fois au cou et sa mère lui dit: "Ce n'est pas étonnant que tu sois placé en pédopsychiatrie" Exemples culturel, indépendants de la notion [modifier] Littérature [modifier] * Isaac Asimov utilise cette notion dans la nouvelle Cercle Vicieux (dans I, Robot) : un robot se retrouve avec une programmation qui l'oblige à se protéger et à obéir à un ordre qui lui demande de se détruire. * Dostoievski utilise un principe qui s'apparente à la double contrainte (qui lui est postérieure) notamment dans L'idiot : Il met ses personnages dans des situations impossibles et observe leurs réactions et actions. Humour [modifier] * Un exemple plusieurs fois utilisé pour présenter avec dérision un jeu de prise de contrôle (dans la BD Asterix en Corse, ou encore dans le film Dobermann, ...) " Elle te plait ma sœur ? " (Sur un ton inquisiteur) " Non, non. " " Quoi elle te plait pas ma sœur? " (De façon encore plus accusatrice) " Si, si ... " " Comment ça elle te plait, retenez-moi je vais le tuer ! ". Images [modifier] * L’antipsychiatrie de Ronald Laing et David Cooper a rendu le "Double Bind" en "knot " (nœud) pour évoquer l’idée d’un enfermement. * La couverture du livre de Yves Barel ( "Le paradoxe et le système", PUG, Grenoble, 1979) présente l’image d’une personne montant un escalier entre deux murs, sans ouverture, pour cette même idée d’enfermement. Notes et références [modifier] 1. ↑ D'après l'ouvrage L’influence des paradoxes de Bateson en Sciences humaines (source [archive]) 2. ↑ Expression de Robert Dilts (source [archive]) 3. ↑ Le Choix de Sophie, 1979 , Ed. Gallimard, coll. Folio, pp. 864-867. 4. ↑ L'auteur trad. Paris, Gallimard, 1960. 5. ↑ « Il n'y a pas de hors-texte », dit-il dans La dissémination 6. ↑ Voir le livre de Derrida, Limited Inc, Paris, Galilée, 1990. Voir aussi [modifier] Bibliographie [modifier] * (fr)} Jean-Jacques Wittezaele, La double contrainte. L'héritage des paradoxes de Bateson, 2008. (ISBN 280415713X) * (en) Carlos E. Sluki & Donald C. Ransom (ed.), Double Bind: The Foundation of the Communicational Approach to the Family, Grune & Stratton, New York, 1976. Articles connexes [modifier] * Psychosomatique la double contrainte est citée explicitement au niveau du sous-titre États psychosomatiques * Théorie des contextes * Communication * Systémique * Approche systémique * École de Palo Alto * Paradoxe |
Et vous avez déjà vécu de telle expérience ? qu'avez-vous fait?.. Autre histoire que j'ai lu sur un maitre zen qui dit que si son apprenti dis que c'est un bâton il se fera battre par le bâton, mais si il ignore que c'est un bâton il se fera battre aussi quel à la solution qu'il trouve? il décide que le bâton en question est un instrument de musique, donc il ne se fera pas battre arcane |
| | Posté le 04-02-2009 à 17:10:58
| arcane a écrit :
Et vous avez déjà vécu de telle expérience ? qu'avez-vous fait?.. |
Bonsoir arcane, Oui bien sûr! Je connais la confusion... Et sur le même sujet voici une autre manière de voir la chose. http://nltours.centerblog.net/6221111-Qu-est-ce-que-le-mental- Il faut libérer le mental réactif puis faire fusionner "Mental et Emotionnel" Bonne expérience, Vital ---------- PS: Silence à écrit De toute façon, rien ne nous oblige à jouer avec les règles d'un autre C'est une règle que je m'applique d'abord! ce qui m'évite le jugement sur les autres et de tomber dans le hors sujet inutile du "mort à liste"... Electron libre
Edité le 08-02-2009 à 08:00:17 par Vital |
| | Posté le 05-02-2009 à 10:08:30
| Ben tu sais, en communication, j'aime bien les exposer à voix haute ces doubles contraintes. Si on me pose une question piège, je dis que je vais pas y répondre, parce que si je dis ceci, on va me reprocher quelque chose, et si je dis cela, on va me reprocher une autre chose. Ca oblige l'interlocuteur à changer d'attitude. De toute façon, rien ne nous oblige à jouer avec les règles d'un autre. |
|
|
|