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yumi255
Bonsoir, ou Bonjour :3

De ce que j'ai lu tu serais médium. Peut être pourras-tu m'éclairer.
J'ai une " capacité " à pouvoir communiquer avec les esprits, parfois les voir.
Seulement, je ne sais si c'est liée ou non, c'est le pourquoi j’espère que tu pourra m'éclairer :

Il y a quelque mois, le soir, je me met à pleurer. je souffrait tellement a cet instant, comme si on m'avait dit que quelqu'un avec qui j'étais très proche, été morte. Le lendemain, Une amie à ma mère appel chez nous, et nous annonce que l'un de ses frères, c'est suicider. Grand choque.

A peine un mois plus tard, même chose, un soir je me met a pleurer. Et le lendemain, ce fut de nouveau cette même amis qui nous appela : Son autre frère c'était suicider, laissant deux enfants avec leurs mère ( enfant de bas age ). Cette fois ci, j'en parle à ma mère qui a du mal à me croire.

Seulement, je crois environ deux mois après, en plein repas, je met a pleurer. Bien sur, ma mère a paniquée. Et cette fois, je savais que le lendemain, nous allions apprendre que quelqu'un étais mort. Je l'ai prévenu, mais elle ne ma pas cru... ça n a pas manquer. Le lendemain, j’apprends que c'est la mère d'un ami a ma mère qui est décéder d'une maladie, apparemment incurable.

C'est quelque expériences, assez troublante pour moi, pour vous donner un aperçu de mes " capacité " ( que je considère comme une malédiction ). es ce que ce ci, que je ressente une pareil douleur, peu être lier à des esprits ?

Merci de ta réponse.
Dalaha
++

Durant le mois d’août 2002, je suis allée avec maman et mes enfants, quelques jours chez ma grand-mère .
L’instant de nos retrouvailles est encore très vivants dans mes ressentis.

Lorsque je l’ai revue après plus de deux d’éloignement, mon cœur s’est serrer ; Elle avait physiquement beaucoup changée. Je n’ai rien laisser paraître, et me suis avancez tout sourire et plein d’amour pour cette femme qui m’avait élevée.
Ma grand-mère de son coté , aura un recul en me voyant, et avec son tact coutumier me fera remarquer mes changements physique ; Elle dira : C’est quoi cette mèche blanche ! , on dirait une gitane …
Cet accueil me fit l’effet d’une douche froide. Je me suis dit, que le séjour commençais bien, et que ma patience serait très certainement mise à rude épreuve…

Au bout de deux jours, la vrai personnalité de ma grand-mère reprend le dessus. Elle est impatiente avec les enfants. Ses menus sont certes équilibrés, mais berk, pour des petits.
J’ai l’impression qu’elle prend un malin plaisir à ne pas leurs faire plaisirs.
Ces attitudes avec mes enfants me pèsent, des souvenirs d’enfance reviennent en force.
Je sens qu’il vaut mieux que j’aille m’isoler, sinon, je risquerait de me fâcher avec elle. Je laisse maman en lui disant, qu’il vaut mieux que je m’éloigne quelques minutes ; Maman comprend, et me fait oui de la tête.
Je descend au sous-sols, et m’installe au volant de la voiture de maman. J’allume le radio cassette et, met une musique relaxante.
Je rentre en moi-même en écoutant la mélodie, mes tensions s’évanouissent. Je suis dans un ressentis de relâchement lorsque, quelque chose appuie avec force sur l’arrière de la voiture.
Je me sent m'enfoncée dans le dossier du siège, je sursaute, et instinctivement regarde ce qui aurait pût provoquer cela ; Je ne vois rien. Je sort de la voiture pour regarder derrière ; Il n’y a rien.
Je me réinstalle derrière le volant, et reçoit l’image vivante de mon grand-père.
Naturellement, je commence à lui parler. Je reconnais ses patiences, car il a supporté un esprit de contradictions à la limite de l’absurdité, pendant presque cinquante ans. Je lui demande son aide pour rester calme le temps de mon séjour. Je me sens entendue, et ressens une sérénité s’installée.

Cet été là ; Suite a ce contact, ils se manifestera de différentes façons, au moment ou mes patiences arrivaient à échéances.
Ma grand-mère, ma mère et moi-même avons durant ce séjour pût constatée, certaines
“ bizarreries ”…

A partir de cet été 2002, je rentrerais dans l’arène, et entamerais de vrais discutions avec ma grand-mère, sur des sujets théosophiques, et ésotériques.
  • Nos conversations sont pour moi, une façon de lui démontrer ses fermetures.


    Un jour du mois de Décembre 2002, ma mère me raconta le rêve étrange qu’elle avait fait.
    Elle me dira avoir vu son père dans ce qu’il lui a semblé être : un champ de bataille.
    Elle me dira : il se sentait perdus et avait peur.
    Je lui demanderais de me décrire le lieu. Elle me dira qu’il faisait sombre, comme la nuit. Qu’il y avait des corps allongés et des flammes. Elle avait ressentit un sentiment d’oppression et d’insécurité.
    Après avoir analysés son rêve avec elle, Il m’est apparut clairement qu’elle avait" Peut être" eut un contact avec son esprit.

    Pendant plus de six mois, nous n’aurons pas d’autres manifestations, ni expérience.

    Juillet 2003 : Nous avons décider de passé quelques jours chez ma grand-mère. Maman, mon frère et deux de mes enfants partent en voiture. De mon coté, comme il n ‘y pas assez de place dans la voiture, je part la veille, et prend le train de nuit avec mon fils.
    Durant cet nuit là, je vivrais une expérience liés à mon grand-père.

  • Je suis dans un endroit qui me fait pensé au moyen age. Les maisons sont de couleurs beige sale,
    le sol est pavés. J’ai l’impression d’être dans une brume peu épaisse. J’avance, mais je ne sais pas où ? Je vais.
    Autour de moi, je distingue des formes humaines, je les vois floues. Elles sont pour la plupart courbés ou assises. Je me sens glissé dans une rue qui descend. Je m’arrête et scrute l’endroit.
    Derrière moi, il y a un pont en pierre. Je fixe mon attention au-delà du pont, mais je n’arrive pas a voir. C’est tout gris, comme si c’était vide.
    Je reprend mon chemin , puis vois un homme assis sur une sorte de petit tabouret couleur chêne. Je m’en approche et le ressens familier, mais pas par son physique.
    Il est atrophié. A partir des genoux, il n’y a plus de membres.
    Il me montre de la tète le pont ; J’entend en moi-même sa demande.
    Je le prend sur mon dos et me dirige vers le pont . Je ressens son poids, mais je ressens ma volonté de l’aider, comme une force accompagnatrice.
    Je suis au trois quart du pont. Je distingue mieux ce que j’avait pensé être du vide ; En fait c’est un passage. J’avance avec de plus en plus de difficulté, je sens comme un champ de force me repousser.
    Je ne suis plus qu’a environ 1 mètre, lorsque le poids de mon passager s’évanouie, il n’est plus là. Il c’est évaporé.
    Une joie très intense me remplie, puis plus rien.

    Lorsque je me suis réveillée, cette expérience m’est revenue en images et en ressentis. Au fond de moi, j’ai eut la certitude d’avoir aidée mon grand-père …

    Durant cet été là, il n’y a eut aucune manifestations ou « bizarreries ». Depuis, nous n’avons plus eut de contact….

    Mes compréhensions et Leurs messages.


    Lorsque l’esprit dans l’âme ne sait pas suffisamment ouvert dans sa vie terrestre, il n’a pas assez d’énergie pour rejoindre ses continuités.
    Pour qu’il puisse retrouver des clartés ; Il recrée un lieu attaché à une époque, qui correspondra à l'esprit de son âme, ou, dans cet étape, une partie de son esprit avait commencé à entrevoir le chemin de la lumière.

  • Avant de pouvoir être aidé à traverser l’eau, il recréer dans un entre-monde, le souvenir qui était le sien et y médite un certain temps…

  • Le passage s’effectue soit par un pont ou un bateau, tous dépend l’élévation dans les compréhensions, et la destination….



    Un récepteur conscient guide l’esprit survivant.


    J’ai vécut d’autres formes de contact. Certains m’ont ramener dans des actes et des lieux du passés.
    Ces endroits avaient des fortes empreintes ; Ils étaient chargés négativement par des égregores de pensées et d’actes formulés.

  • Ces égregores peuvent imprégnés et contrôlés le mental des personnes sensibles et faibles.
    Ils ce perpétuent et s’amplifient aux travers des âmes déséquilibrés.


    J’ai constater que la plupart de mes expériences avec l’antre monde ont été provoqués par les esprits. C’est Eux qui m’appellent.
    C’est les liens créer de leurs vivants, qui activent les déplacements ; Comme une forme de reconnaissance.

    En conclusion, je pense qu'après la mort physique,il y a une survivance de l'esprit, de l'âme dans les descendances, de la conscience, et que l'accumulations de nos énergies, c'est à dire ce que nous avons ensemencées déterminent nos prochaines destinations.



    ****************************

    Que pensez-vous ou qu'avez vous vécues qui correspondraient avec ces expériences ...

    Merci pour vos intérêts sur le sujet
  • Dalaha
    suivit


    Mon grand-père est décédé d’un cancer généralisé le treize février 2000.

    Trois jours avant son départ, j’ai ressentit au plus profond de moi, sa décision de cessé le combat. J’ai vécut en images ressentit, sa décision libératrice.
    Ma première réaction a été d’appeler ma grand-mère .
    En pleurant ; Je lui ai demander d’être sincère avec moi .
    Ma grand-mère est restée quelques secondes sans voix, car a la demande de mon grand-père, nous n’étions pas censé savoir la gravité de son état.
    Elle va me demander : pourquoi ? tu pleures…
    Je lui dirais : je l’ai ressentit prêt à partir.
    Ma grand-mère éclata en sanglot, puis me fera part de la gravité de son mal, en me demandant de ne rien montrer…

    La veille de son décès, j’ai reçu des messages sous guidances ; Ils étaient reliés à nos façons d’appréhender la perte d’êtres aimés.
    Lorsque, après les avoirs relus, j’en ai compris les profondeurs, l’image de mon grand-père est revenue en force, accompagnée d’un sanglot.
    Puis, j’ai ressentit comme une légèreté m’imprégner, les images de Leurs messages ont prient vies dans mon esprit. Je l’ai libéré.

    Le jour de sa mort, ma grand-mère nous prévient. Ma mère, mon frère et moi-même prenons la route. Huit cents kilomètres plus tard, nous arrivons : il est onze heures du matin, nous sommes le quatorze février.
    Ma grand-mère étant épuisés émotionnellement et physiquement ; Nous décidons d’attendre le lendemain, pour le visiter .
    La famille est réunis au grand complet. *Il est dommage que de tels réunions, n’existent qu’en de tels occasions…

    La sœur de ma mère est arrivée avant nous ; Elle a eut le temps d’aller voir son père.
    Elle nous prévient de son état de senteur ; Apparemment, son corps sent déjà très fort.
    Ma grand- mère éclate en sanglot, je l’a prend dans mes bras, en essayant de l’apaiser avec des mots.
    Ce que j’ai reçu, je le lui retransmet à ma façon ; Je lui envois les images de ses émotions.

    Nous sommes le quinze février, il est quinze heures. Je suis avec ma grand-mère et ma mère dans le couloir qui mène à la pièce où, est allongé mon grand-père.
    Je sens de temps en temps, ma grand-mère pesée de tout son poids sur mon bras, elle a quelques défaillances.
    En moi , j’appèle des forces à l’aide. Pour ma grand-mère, je demande à être assistés pour pouvoir mieux la soutenir dans cette épreuve. En moi, je ressens une autre énergie, elle est une confiance rassurante.
    Avec apaisement, je guide ma grand-mère auprès du corps de mon grand-père.

    C’est la première fois pour moi que je vois quelqu’un de mort. Pour mon arrière-grand-père, j’étais trop petite, et pour mon arrière-grand-mère, je n’en ai pas eut les possibilités.

    Je me sens bizarre, je ne ressens plus de chagrin, mais me perçoit dans une attitude d’études.
    Je le fixe, son teint est gris. J’essais de trouver une once de vie en lui. Il n’y a rien.
  • Il Sent parce qu’il est partit ; Où es t-il ?…

    Sur le trajet du retour, j’analyse ce que j’ai ressentit . Me demandant encore une fois ; Où est-ce qu’il peut être ?…

    Il est vingt heures trente, ma mère décide d’aller se coucher. Mon cousin, mon frère et moi-même descendons au sous-sols.
    Nous discutons de nos souvenirs communs, nous retrouvons nos âmes d’enfants. Les deux heures suivantes passent rapidement.
    Plongés tous trois dans nos souvenirs imagés, un silence s’installe…

    Je suis la première à sortir de mes souvenirs, quelque chose m’a réveillée ; Oui, mais quoi ?…
    Je ressens comme une présence, l’image vivante de mon grand-père arrive dans mon esprit. En moi, je demande : Est-ce toi ?…
    Je le sens et le vois passer devant moi, il n’est pas une image, il est une onde.
    Il se dirige vers l’escalier, instinctivement, je le suis. Je le ressens monter les marches.

    Mon cousin et mon frère m’appelle. Voyant leurs visages surpris par mon comportement, je leurs dirait simplement : j’ai ressentis la présence du grand-père, il a monter les escaliers.
    Environ dix minutes après, je suis aller me coucher.

    Au réveil, ma mère va me parler de son rêve : Dans son songe, Elle entend quelqu’un taper à la porte qui descend au sous-sols. Elle se dirige vers la porte et l’ouvre. Elle voit son père qui lui dit : Je ne suis plus chez moi.
    Elle lui répond : pourquoi tu dit cela ? papa, tu seras toujours chez toi .
    Son souvenir de rêve s’est fini sur cet phrase.
    Je vais raconter à ma mère, ce que j’ai vu et ressentit la veille. Puis, je vais lui confirmer qu’elle n’a pas rêvé, qu’elle était effectivement avec l’esprit imagé de son père.

    L’avant veille de la mise en bière, ma grand-mère voudra retourner le voir. Je vais décider de l’accompagnée pour la soutenir.
    Il est treize heures trente ; C’est maman qui conduit, je suis placée sur le siège derrière ma grand-mère. Le trajet est silencieux .
    Cela fait peut être dix minutes que nous roulons, lorsque je ressens comme une douce vague de chaleur touchée ma joue gauche ; Instinctivement, je tourne la tête pour regarder.
    Il n’y a rien de visible, pourtant, j’ai senti quelque chose….

    Nous arrivons. Ma mère et moi accompagnons ma grand-mère, auprès du corps de mon grand-père .
    Nous sommes toutes les trois dans nos pensées, devant le corps inanimé, lorsque de nouveau, je ressens une douce chaleur m’effleurée la joue.
    J’en suis sure maintenant, mon grand-père est là. Il nous a accompagné.
    Ma grand –mère constate que ça couleur de teint et la senteur de son corps, c’est encore aggravé. Cette constatation lui procure une autre crise de larmes. Je la prend dans mes bras, et essaye de lui envoyer un peu de force.
    Je ressens à coté de moi, comme un tourbillon d’une douce chaleur.
    (Il essaye de communiquer, de se manifester, mais ma grand-mère n’est pas prête pour le percevoir.)
    Se sentant fiévreuse, ma grand-mère, nous demanda de partir. Sur le trajet du retour, je n’ai pas sentie sa présence.

    Le lendemain, maman et moi accompagnons ma tante, et mon oncle pour assistés à la fermeture du cercueil. Ma grand-mère est restée, car elle attend son docteur.
    Dès mon arrivé dans la salle, mon regard c’est porté sur le visage de mon grand-père.
    C’est étrange, quelque chose a changer, mais je n’arrive pas réellement à définir quoi ?…
    Je me tourne du coté de ma tante et de ma mère, et demande leurs avis.
    Je leurs dit : Vous n’avez pas l’impression que son visage a changé ?….
    Ma tante se rapproche du corps de son père, et trouve les mots que je cherchais.
    « Son teint est redevenu normal ». Ma tante décide d’allé se renseigner auprès des services, savoir, si ? il aurait été préparé. ..
    Quelque dix- minutes plus tard, elle reviendra avec un visage songeur. Apparemment personne n’a touché au corps.
  • Ma tante qui est infirmière de profession, restera un long moment abasourdie par cet énigme…

    Les hommes du crématorium, ainsi que des amis de la famille, portent son corps dans le cercueil. Puis après un dernier regard, ils en scellent le couvercle .
    Ma mère me donne un coup de coude, je la regarde avec étonnement. Elle a des yeux remplis de stupeur ; Elle fixe le cercueil.

    Je lui demande : qu’est-ce qu’il y a ?…
    Elle me répond : regarde ! Ton grand-père tourne autour du cercueil….
  • Pour ma part, je n’ai rien vue…

    Lorsque nous sommes rentrés, ma grand-mère nous a parlée de son état ; Elle avait un zona.
    Son docteur lui a appris, que son mal était très certainement lié à son épreuve.

    Profitant d’un sujet à la fois relié à un état d’esprit et à une matière, ma tante fait part à sa mère, du changement « Miraculeux » de l’état de son père.
    Maman et moi confirmons ces dires…
    Ma grand-mère est perplexe ; Ses cheminements d’idées l’amène à dire qu’il y a surement eût une erreur dans le personnel.
    Ma tante qui elle s’est renseignée, et qui plus est, a quelques notions dans ces domaines, essaye de trouver une explication, qui selon elle touchait des domaines surnaturel…
    Ma grand-mère ne veut pas en entendre parler, et clos le sujet.

  • Maman et moi en discutons. Il est clair que de différentes façons, il nous a montré sa survivance. Nous ne pouvons pas niés, ni faire abstractions de ce que nous avons vues et ressentis.
    Ils nous faut en comprendre les raisons….

    Mon grand-père fut incinéré le lendemain. Tous les amis, les relations et la famille étaient là.
    Mon grand-père était un homme apprécié. Ayant trop vécus la guerre dans sa jeunesse, il avait durant le reste de sa vie, essayé d’être un homme de paix …

    ----------------
    Environ six mois plus tard, je suis au téléphone avec ma grand-mère.
    Son chagrin lui pèse, elle est à la limite d’une dépression. J’essaye de lui remonter le moral en lui montrant les réalités. Il faut que je lui fasse comprendre, qu’elle pleure sur elle-même.
    Mes mots sont : Il est partit avant toi, c’était sa destinée. Tu es là et nous sommes là. Tu es peut être seule dans ta maison, mais nos pensées de cœur sont avec toi.
    A peine ma phrase achevée, j’ entend un badaboum…
    J’entend ma grand-mère poussée un petit cris de surprise, et dire : Qu’est ce que c’est ce bruit ?…
    Je lui demande : d’où ça vient ?…
    Elle me répond, que le bruit c’est produit dans les escalier qui mènent au sous-sol.
    Elle me dit d’attendre, qu’elle va allée voir…
    Environ cinq minutes après, elle reprend le combinée. Elle me dit qu’elle ne comprend pas. Personne n'a put rentrés, ou sortir du sous-sols, car la porte est fermée à clés. Elle est perplexe, parce qu’elle ne sait pas avec quel image associé le son.
    Restant avec cet énigme, nous finissons notre conversation.

    Une semaine après, je la rappèle. Après quelques échanges ; Ma grand-mère me confie, qu’elle
    A remarquée des choses étrange, qu’elle aimerait mon avis.
    Je lui demande plus d’explications. Elle me dit que ça télé s’allume toute seule, que le son s’amplifie ou diminue, sans qu’elle ne touche à rien.
    L’image de mon grand-père vient à mon esprit ; Mais, je ne lui dit pas, car ces choses là lui font peur.
  • Pour ses convictions, il n’y a rien après la mort. Alors, je me vois mal lui dire, qu’apparemment L’esprit de papy tente d’entrer en contact avec elle. Elle va le refusée.
    Je vais tenter de lui expliquer ce phénomène en modifiant le mot esprit, par les mots ondes magnétique, puis essayerai de lui faire remarquer que sa solitude pouvait lui permettre de remarquer des choses, qu’avant elle n’avait pas le temps de voir…
    Ma grand-mère se contente de mes explications, d’une certaine façon cela l’arrange, et la soulage…

    Environ trois mois après ces manifestations, je suis au téléphone avec ma grand-mère.
    Dans la conversation, elle m’apprend, qu’elle a trouvée d’où proviennent ces manifestations
    « diabolique ».
    Dans l’instant, je n’ai pas compris ce qu’elle me disait, puis je me suis souvenus des appels de mon grand-père.
    Ma première question a été spontanée, je n’ai pas pût m’empêcher de lui demander ; Pourquoi ?
    Tu y vois quelque chose de diabolique …
    Elle me répondra très catégorique, que tous ce qui touchait de prés ou de loin le non-visible, étaient obligatoirement reliés avec satan.



    D’une certaine façon, je me suis sentie visée par ces propos, car elle savait pertinemment, mais en partie, ce que je vivais depuis longtemps. Malgré le pic, je n’ai rien dit, et lui ai demandée ce qu’elle pensait avoir compris…
    Elle me prétextera avoir trouvé des vieux 33 tours ayant en couverture des symboles satanique.
    En entendant ces propos, des souvenirs d’adolescence me sont revenus. Je lui dirait : ce sont les disques de hard rock et d’heavy métal a mon frère, et alors ?…
    Elle me répondra ; Ce sont ces objets qui ont provoqué les manifestations.

    A ces mots, je me suis dit ; Bon, là soit j’ai manqué un truc, ou alors, elle tombe dans la folie douce.
    Je lui dit : depuis le temps que mon frère a acheté ces disques, il y a longtemps que tu aurais dut te rendre compte de quelque chose, non ?…

    Et là, elle me révéla le « truc » que j’avais manquée. Elle me dira qu’en fait, mon frère avait depuis très longtemps prêtés ses disques à une amie, et qui parce qu’elle déménageait, les lui avait rapportés . Elle avait constaté que le retour des disques étaient dans le même temps, que les premières bizarreries…
    Ma réponse est spontanée, je lui dis : Il est vrai que puisse que le non visible est obligatoirement satanique, cela ne peut être que cela.
    Puisque pour toi, tu es convaincue, que les manifestations sont négatives, se sont surement ces disques vieux de plus de 15 ans qui t’ont provoqués des témoignages de présence .
    C’est vraiment n’importe quoi …

    Ma grand-mère entend mes derniers mots et dit ; Pourquoi ? tu dit cela…

    A ce moment là : deux choix s’offrent à moi . Soit je la laisse dans sa négative bêtise, ou alors, je lui dévoile mes pensées profondes.
    J’opte pour la première solution. Car comment ? faire comprendre à une personne, qui ne veut pas comprendre…
    Je ne répond pas à sa question, change de sujet, puis, lui dit au revoir...

    Peu de temps avant l’anniversaire du décès de mon grand-père, Mon frère me fait part d’un phénomène inexplicable, pour ma grand-mère et lui.
    Je lui demande, ce qu’il veut dire ?…
    Il me raconte alors, sa conversation téléphonique du matin, avec elle.

    Il me dit : Ce matin, je téléphonais à la grand-mère comme chaque dimanche. Lorsque ; J’ai entendu distinctement comme un coup de fusils, qui aurait été tirée dans sa maison…
    Je lui demande si notre grand-mère a trouvée ce qu’était ce bruit ?…
    Il me répond qu’elle est même sortie de chez elle, pour voir autour de la maison, mais qu’elle n’avait rien vue de spéciale ; Il rajoutera qu’elle était plus que déroutée.
    Je lui demande alors, les sujets de sa conversation. Sa réponse confirmera ce que je ressentais.
    Le sujet était mon grand-père ; Et apparemment, d’après les dires de mon frère, ces propos étaient assez méchant.
  • J’ai compris que du stade chagrin, elle était passée à l’étape colère de rester seule. Je me suis dit que c’était peut être le moment de lui apprendre, que l’esprit de son mari était chez elle…
    Là, elle n’avait plus les disques « satanique » puisqu’elle les avaient brûler . Elle n’avait plus de bouc émissaire, pour ces manifestations.

    En peu de mots, j’explique à mon frère ce qu’il ne comprend pas. Puis, je décide d’appelée ma grand-mère.


    Je sais comment elle perçoit les domaines des esprits, donc ; Je vais attendre qu’elle me parle de cette manifestation, la première .
    Je fait celle qui n’est au courant de rien , et, l’appelle d’un ton serein.

    Après quelques banalités, ma grand-mère amorce le sujet en disant : tu as vus ton frère aujourd’hui ?…
    Pour éviter de mentir, je répond par une autre question : Pourquoi ?…
    Elle me dit : Ce matin, ils nous est arrivé une chose étrange.
    Hypocritement je lui dit ; Ha bon ! Comment cela, étrange ?…
    Elle me raconte alors, ce que mon frère m’a plus ou moins dit. Elle conclue en disant : Ce bruit est venue de nul part.

    C’est avec une certaine délectation que je vais lui dire ; Tu es sure d’avoir brûler tous les disques ?…
    Elle me répond après quelques secondes…
    Oui, il n’y en a plus.

    Je lui dit ; Est ce que tu as envie d’entendre, ce que j’en pense ?…
    Elle me répond que Oui. Donc, je vais lui expliquer, les faits, que maman et moi avons vues et ressentis. Je lui rappellerais, le bruit dans l’escalier du sous-sol, six mois auparavant. Et, conclurait en disant : L’esprit de papy est revenu dans ta maison. Tu le pleures et le retient.

    Ma grand-mère me dit : Il est mort, donc il n’existe plus.

    Je lui répond : Ce serait dommage.
    Elle me demande ce que mes mots veulent dires.

    Je lui dit ce que je ressens : Nous sommes vivants dans nos chair, mais nous le sommes aussi dans notre intériorité.
    L’usure de nos corps est liés à différents facteurs intérieures, mais surtout extérieures. L’immortalités de chair est des mutations pour d’autres évolutions. Notre immortalité consciente est la lumière de notre être ; Si pour toi, il n’existe plus, dans quel catégorie d’Être le perçois-tu ?…

    A ce moment là, ma grand-mère aura une réaction très dogmatique.
    Elle dit ; Il ne croyait pas en Dieu, donc l’immortalité, il ne l’a pas mérité.

    Je lui répond : Tu es trop vindicative. Il ne croyait peut être pas en ton Dieu, mais il n’était pas un homme de violence. Il n’était pas parfait, mais il a essayer de trouver son chemin de paix.
    L’essence de l’être est une étincelle de source ; Et ce qui est source est intemporelle. Cette étincelle est une énergie, qui suivant tes actions et réactions s’accrois. Et, pour moi, son étincelle était active, donc son esprit est survivant…

    Ma grand-mère me dit que mes mots sont compliqués, et que de toute façon, elle n’y croit pas.
    Je me suis dit, qu’en fait, cela n’était pas grave qu’elle croit ou non. J’ai dit ce que j’avais à dire, et même si pour l’instant, elle reste sur ces positions, ce qu’elle a entendue fera son chemin …

    **********************

    A suivre
  • Dalaha



    Un autre sujet qu'avec plaisirs, j'aimerais débattre avec vous..


    Sujet : L’esprit survivant.


    Mes conceptions sur ce sujet, sont issues des analyses en récapitulatif de toutes mes expériences, liés à ce thème.
    J’ai vécu différentes relations avec des esprits ; Certaines m’ont ramené dans leurs actes passés, et d’autres dans le monde qu’ils ont recréer.

    Mes premières expériences en tant que médium ont été très éprouvantes ; J’ai eut très peurs.
    La première c’est déroulée durant l’année 1984, et l’autre pendant l’année 1986.
    En 1984 c’était une manifestation, et en 1986 une matérialisation.

    Pour me permettre de retransmettre mes compréhensions sur ce sujet, il me faut relater quelques expériences…

    Expériences
    Durant une nuit de fin Février 1987, je vis une expérience. Je pense au début que cela n’est qu’ un rêve.

    Je suis dans un endroit gris clair comme une brume. Je vois apparaître devant moi mon arrière-grand-mère. Elle a un sourire radieux. Elle est resplendissante, je ressens sa joie. Mon arrière-grand-mère va me faire signe de la suivre. Je me sens comme glissée en la suivant.
    Elle m’emmène devant mon arrière-grand-père, qui lui est décédé dix ans plutôt.
    Il est assis sur un banc en pierre. Autour de lui des visages inconnus apparaissent.
    Ils sont flous. Mon arrière-grand-mère me montre de sa main son mari et les autres personnes. Puis, je l’entends mais ne la voit pas me dire : ne me pleure pas. Je suis en paix. J’ai retrouvé toutes les personnes que j’aime.

    A cette période, je n’ai pas le téléphone. Le lendemain, lorsque je me réveille, mon rêve me revient en mémoire accompagnée d’une masse dans mon estomac. Je vais décider d’allée voir ma grand-tante Geneviève, elle habite le même bâtiment que le mien.

    Ma tante ouvre la porte, elle est en pleures .
  • ; Mon rêve n’était pas vraiment un rêve alors ? …

    On t’a prévenu comment ? …

    j’ai rêvé d’elle.
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    Environ six mois plus tard, je vis une autre expérience liée à mon arrière-grand-mère ; En croyant au début que cela est aussi, un rêve…

    Je suis avec mon arrière grand- mère dans son ancienne maison . Je l’entends me dire qu’elle n’est pas satisfaite du réaménagement que sa fille Denise a fait chez elle.
    Elle me demande de l’aider à déplacer des meubles.
    Je vais l’aider durant mon « rêve » A déplacer certains meubles.
    Le lendemain, lorsque je me réveille, mon songe revient avec force . Je vais rire toute seule de la bizarrerie du monde onirique.
    Vers 13 heures, je m’invite au café chez ma tante Geneviève.
    Pendant le café, je lui raconte mon rêve ; J’en ais encore tellement de précision, que des images reviennent en même temps.
    Le téléphone sonne, ma tante se lève pour aller décrocher. J’entends et reconnais la voix forte de ma tante Denise. Je me lève et la rejoint ; Elle me regarde avec des yeux remplis de stupeur. Elle allume le haut-parleur, et j’entends la voix paniquée de ma tante Denise dire : Tu m’as bien entendue ?, des meubles ont été déplacés dans la maison de maman.

  • ; J’ait l’impression de recevoir une masse de 100 kg sur ma tête. Je me sens étourdie.
    Comment est-ce possible ! ??….

    Ma tante prétexte à sa sœur qu’elle n’est pas seule, et lui promet de rappeler un peu plus tard .
    Je pris les devants en lui demandant : à ton avis comment est-ce possible ? …

    Je n’en sais rien du tout. C’est bien au-dessus de mes faibles connaissances…

    J’ai compris que j’étais médium mais là, c’est différent. Ce n’est pas une apparition dans ma réalité, c’est moi qui me déplace. Cela fait deux fois que j’ai une expérience avec grand- mamy.

    Oui mais tu étais très proche d’elle. Elle t’aimait beaucoup.

    C’est peut être le lien particulier qui nous unissait qui est resté au-delà de l’autre monde.

    Très certainement.

    Oui mais comment les meubles ont t-ils faient pour bouger ? Puisque mon corps dormait …

  • ; Je n’en saurais pas plus, restant sur ma soif de comprendre pourquoi et comment cela était possible ? …

    Période : 1989

    Une amie me propose une autre forme d’expérience médiumnique. Je vais accepter malgré certaines réticences formulées par quelques peurs ancrées.

    Un soir Sylvia qui est voyante-médium me téléphone . Elle me propose de recevoir avec elle, Mlle M. qui est l’une de ses nombreuses clientes, pour une séance d’écriture guidée.
    J’ai rencontré Sylvia par personne interposées. Avec elle, j’ai participée à une soirée voyance, organisée par une agence matrimoniale .

    L’expérience qu’elle me propose est nouvelle pour moi . J’ai le sentiment étrange
    d’être deux : une partie de moi à peur et l’autre est attisée…
    Ce soir-là, tout est réuni pour m’impressionner, surtout lorsque l’orage éclate et que l’électricité se coupe.
    C’est donc à la lueur des bougies que l’expérience commence.

    Sylvia est concentrée. Elle a les yeux fermés et la tête baissée. Elle demande à voix haute,
    à l’un des parents de Mlle M. de ce présenter.
    Elle a préparé un bloc de feuilles et un stylo qu’elle a posé sur la table devant elle.
    Mlle M. est assise à la table avec nous. Je la ressens tendue.
    Je suis dans l’attente de voir le déroulement de la séance. Sylvia m’a invitée pour me montrer : normalement, je suis là en spectatrice.
    Comme je ne sais pas quelle attitude avoir, je décide donc de me concentrer sur les mots prononcés . En moi-même, j’ appel…
    La lumière revient d’un seul coup et nous fait toutes les trois sursautées.
    Sylvia décide de laisser les bougies allumées, et nous invite à nous concentré de nouveau, dans un appel muet.

    Nous sommes toutes en pensées intérieures. Je fixe la flamme de l’une des bougies pour rassembler mes pensées vers un seul but : L’appel …
    Je sens des chatouillements le long de ma nuque, mes cheveux et mes poils se hérissent. En moi se déclenchent des frissons nerveux.
    Je commence à avoir froid à l’intérieur de moi, comme si la pièce elle-même se refroidissait.
    J’élève mon regard sur Mlle M. Je suis comme attirée dans sa direction.

    J’ai une sensation de compression au niveau de mon thorax, j’ai beaucoup de difficultés à reprendre mon souffle.
    Je fixe ma vision derrière elle, l’air ondule. Ce mouvement vibrant me rappelle des déjà vus : quelqu’un d’autre est là.

    Sylvia commence à écrire, elle n’est plus là : on dirait un robot. La plume court sur le papier. Les mots sont attachés et les phrases en continue, sans ponctuation.
    Elle emploie dans le message un nom que Mlle M. reconnaît, elle commence à pleurer.
    Je lui demande la raison de son chagrin. Elle répond que son père l’appelait ainsi.
    Sylvia écrit toujours mais les phrases sont les mêmes, comme si elle était restée en répétition sur un seul message.
    Mlle M. continue de pleurer . Un mélange de joie et de peine imprègne la pièce.
    Mon regard est de nouveau attiré derrière elle . L’air ondule, transformant ma vision du lieu.

    L’air devient masse, une forme apparaît. La forme se précise par étapes .
    J’ai un ressenti étrange, comme si j’étais en dehors de mon propre temps.
    La silhouette est devenue l’image d’un homme qui me fixe . Son regard m’attire .

    Je me sens rentré en lui et lui, en moi. J’entends dans ma tête ce que Sylvia écrit en répétition.
    Je regarde Mlle M. et lui demande d’arrêter de pleurer . Dans l’intention de l’apaiser, je rajoute que l’esprit de son père est avec nous et que je le vois.
    Mlle M. est sceptique sur la possibilité de ma vision, et me demande …
    Si vous avez l’image de mon père ?, dites moi ce que vous remarquez sur son physique ? …
    Je fixe le visage qui est toujours présent et remarque ce que Mlle M. attend de moi.
    Je regarde Mlle M. et lui dit : Il a un très grand front. Ses oreilles sont larges, grandes et décollées.

    Mlle M. est stupéfaite puis confirme la description. Elle se calme.
    Sylvia peut reprendre l’écrit.
  • ; Ce soir-là, un magnifique message d’amour sera reçut ….

    Peu de temps après ; Sylvia me fera prendre conscience de la force de mes réceptions.
    Je n’avais pas vraiment compris que de voir un esprit dans son image physique n’était pas évident, pour tous les médiums.
    Dans ma conception du médium, l’image et les ressentis étaient indispensable pour un contact. Sylvia voulut me détromper en me précisant, qu’elle avait les écrits mais aucune image, et qu’elle n’était pas la seule dans ce cas .
  • ; Ces paroles ont raviver mes interrogations…
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    A suivre
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