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VillaChicoubis
Je cite une idée relevée dans les textes qui est assez commune : "soyons francs, personne ne sait ce qui se trouve derrière la mort, nous n'avons que des croyances a ce sujet, mais aucune certitude"....

Oui tout le monde savait bien que le voyage vers la mort avait une forme d'aller simple. Tout le monde savait que personne ne pouvait aller du côté de la mort puis revenir à la vie, que tout cela était IMPOSSIBLE.... Jusqu'à ce qu'arrive un imbécile idiot qui lui ne le savait pas.

Je veux bien jouer le role de l'imbécile pour vous révéler qu'une des plus ultimes pratiques occultes, se nomme la Mort Initiatique. Avec un nom pareil on est en droit de se demander mais pourquoi ils ont appelé cela comme ça : La mort initiatique ?.

Peut être parce qu'il existe vraiment un expérience de pensée, qui consiste tout en étant vivant, conscient, en bonne santé, sans drogue ni rien, à catapulter son esprit au royaume de la mort, à grimper cette échelle dite de Jacob, pour lui faire vivre/ressentir ce qu'on éprouve au moment de la mort physique.

Impossible vous allez me dire !

Et pourtant si c'est possible dés lors qu'on ne cherche qu'à faire passer l'esprit, non le corps. Y'a beaucoup de références dites hermétiques sur le sujet, qui le deviennent moins quand on a compris de quoi les occultistes nous parlent. Ainsi JC avec son histoire de résurrection, révéle avoir été adepte de cette première forme de mort... Mais il n'est pas le seul bien évidemment, puisque cette expérience est en fait au coeur de tout le corpus occulte.
arcane
Retour sur la mort d'un enfant ou d'une fausse-couche..

C'est une phrase d'une infirmière sur un site parlant du deuil préinatal "Quand vous perdez un bébé ou un enfant vous devez faire le deuil d'un avenir, d'un adulte en devenir quand c'est un adulte c'est le passé".

C'est une des difficulté pour les parents ayant vécu ça, ils verront jamais l'enfant sourire, courir, se marié tout un avenir disparu à jamais.

Sinon les phrases à ne pas dire

"tu en feras un autre"..un enfant ne peut pas remplacer un autre

"tu est encore jeune tu en fera un autre" jeune ou pas il n'est pas remplaçable

"tu vois c'est bien que tu l'as perdu vu que tu t'entendais pas avec ton compagnon" est-ce que l'enfant représente le compagnon? il me semble qu'il est fruit de deux forces, il est un individu a part entière

"Vous n'aviez pas assez d'argent pour l'entretenir ect"..ah bon, donc si mes parents avait réfléchit de la même manière, je serais entrain d'écrire ce texte.

"tu n'aurais pas du partir en vacances ect" donc il faut rester enfermer chez soi pour ne pas faire de fausse-couche?

"Depuis le temps tu devrais passé à autre chose" ah oui d'accord, je te propose de faire une fausse couche aussi et je te diras la même chose

"t'est sur que tu étais enceinte?" les échographie c'est pour ?

Je dirais que lorsque un corps n'est pas visible pour l'entourage il est difficile de réalisé la mort. Pour le père son deuil est en général plus rapide, car il n'a pas porté dans son ventre..il se considère vraiment père quand l'enfant né.

Bien sur il y a toujours des exception concernant les père, j'ai déjà eu l'occasion de parlé de cela à des hommes qui avait été traumatisé car leur compagne disait d'abord gardé l'enfant ensuite avorté sans crié gare.
arcane
Je suis entrain de lire le livre d'Elisabeth Kübler Ross une femme médecin qui accompagné les personnes en fin de vie que soit le sida ou le cancer.

Elle a permis de favorisé les soins palliatif et bien expliqué les processus dont on passe pour vivre le deuil. (citation du livre les derniers instant de la vie Elisabeth Kübler-Ross)

Elle explique une des raison de notre crainte de la mort.

Citation :

notre inconscient ne peut s'imaginer que nous allons mourir.

Pour lui notre esprit dans sa partie inconscient, n'admet pas que nous puissions mourir sans être tués, la mort du à une cause naturelle ou à la vieillesse lui est inconcevable.

Un autre point qu'il s'agit de saisir, c'est que nous ne sommes pas à même, dans notre inconscient, de distinguer entre un désire et un fait. Nous avons tous eu de ces rêves illogiques dans lesquels deux thèses totalement opposées peuvent subsister parallèlement ce qui nous paraît tout à fait admissible dans le rêve mais devient impensable et contraire au bon sens sitôt que entrons dans l'état de veille.

Or comme dans notre inconscient, qui est incapable d'établir la différence enter le désire de tuer quelqu'un dans un moment de colère et le fait d'avoir accompli le geste meurtrie, le jeune enfant n'est pas à même de faire une distinction

l'enfant qui faché de ce que sa mère nai pas donné suite à ses désire, souhaite la voir tomber morte sera fortement traumatisé lorsque surviendra réellement même si elle n'est pas liée de façon proche dans le temps, à ces envies destructrices. Il croira toujours porter, partiellement ou entièrement, la responsabilité de la perte de sa mère.

il se dira sans cesse en lui-même mais le confiera rarement à quiconque : " c'est moi qui a fait cela, j'en suis responsable, j'étais méchant, c'est pourquoi maman m'a quitté". Il est utile de se rappeler que l'enfant aura une réaction analogue à la suite d'un divorce, d'une séparation ou l'abandon d'un foyer par l'un d'eux.

la mort est souvent considéré par l'enfant comme un événement passagers et ne se différencie donc guère, pour lui, d'un divorce qui ne lui ôte pas toute possibilité de revoir sa mère ou son père absent.

De nombre parents se souviendront de certaines remarques de leur enfants, du genre de : Maintenant, je vais enterrer mon petit chien et le printemps prochain, quand les fleurs repousseront, il se relèvera".

C'était peut-être une aspiration identique qui incitait les anciens Égyptiens à pourvoir leur morts de victuailles et d'objets divers, dans l'idée d'assurer leur félicité, et les anciens indiens d'Amérique à enseveli leur proches avec leur effets personnels.


Dernièrement j'ai accompagné une personne en fin de vie, mais cela été bien triste aucun membre de sa famille ne l'avais visite. Dans une maison de retraite ou les soins palliatif sont fait correctement morphine et autre, mais il y avait que moi et d'autre qui tenait la main. Et sa mort nous l'avons salué. Elle avait une couleur de cire et on voyait les stigmate de sa mort.

Dans le journal un encart annonce sa mort en deux ou trois ligne.

Voilà Arcane
laurent
Pour moi la mort n'existe pas, c'est contraire a la théorie de l'évolution.
La matière n'étant qu'énergie... rien ne se créer , rien ne se perd tout se transforme..
Vital

Suite à l'enterrement de mon grand-père j'ai décidé de parler de la mort.

La mort et la vie sont intimement liées
: s'il n'y a pas de vie il n'y pas de mort.


Bonjour,


Oui, mais peut-être pas de cette manière!


La vie n'a pas d'opposition, elle est.


L'opposition de la mort c'est la naissance et les deux sont dans la VIE...

Qui était avant notre naissance et sera toujours après notre mort.



Vital


Edité le 16-09-2008 à 23:55:14 par Vital


langelin
quitte a vous paraitre deprimant mais pour moi la mort n'est rien d'autre qu'n moyen de justifier la vie.Apres la mort il n'y arien ormis ce qu'il reste de nous dans l'esprit de ce que l'on a cotoyer .il n'y as pas de paradis pas d'enfer juste le souvenir et les genes que nous laisseront .profitons de la vie tant que nous le pouvons honorons l'esprit de ce qui nous ont quitter car il font ce que nous sommes,et propageant la vie atravers nos enfant et nos actes nous vivront eternellement dasn le coeur de ceux que l'on a pas laisser indifferent.
Siburdroc
Voici un petit texte de Bernard Werber qui vient de son livre "L'encyclopédie du savoir relatif et absolu" que je trouvais sympatique pour illustrer le sujet.

Ainsi naquit la mort
La mort est apparue il y a précisément sept cents millions d'années. Jusque-là, et depuis quatre milliards d'années, la vie s'était limitée à la mono¬cellularité. Sous sa forme monocellulaire, elle était immortelle puisque capable de se reproduire à l'identique et à l'infini. De nos jours, on trouve encore des traces de ces systèmes monocellulaires immortels dans les barrières de corail.
Un jour cependant, deux cellules se sont rencon¬trées, se sont parlé et ont décidé de fonctionner ensemble, en complémentarité. Sont apparues alors des formes de vie multicellulaires. Simultanément la mort a fait aussi son apparition. En quoi les deux phénomènes sont-ils liés ?
Quand deux cellules souhaitent s'associer, elles sont contraintes de communiquer et leur communica¬tion les portent à se répartir les tâches afin d'être plus efficaces. Elles décideront par exemple que ce n'est pas la peine que toutes deux s'échinent à digé¬rer la nourriture, l'une repérera les aliments et l'autre les digérera.
Par la suite, plus les rassemblements de cellules ont été importants, plus leur spécialisation s'est affinée. Plus leur spécialisation s'est affinée, plus chaque cel¬lule s'est fragilisée et cette fragilité ne faisant que s'accentuer, la cellule a fini par perdre son immor¬talité originelle. Ainsi naquit la mort. De nos jours, nous voyons des ensembles animaliers constitués d'immenses agrégats de cellules extrêmement spé¬cialisées et qui dialoguent en permanence.
Les cellules de nos yeux sont très différentes des cel¬lules de notre foie et les premières s'empressent de signaler qu'elles aperçoivent un plat chaud afin que les secondes puissent aussitôt se mettre à fabriquer de la bile bien avant l'arrivée du mets dans la bouche. Dans un corps humain, tout est spécialisé, tout communique et donc tout est fragile et mortel. La nécessité de la mort peut s'expliquer d'un autre point de vue. La mort est indispensable pour assurer l'équilibre entre les espèces. Si une espèce pluricel¬lulaire se trouvait être immortelle, elle continuerait à se spécialiser jusqu'à résoudre tous les problèmes et devenir tellement efficace qu'elle compromettrait la perpétuité de toutes les autres formes de vie.
Une cellule du foie cancéreuse produit en perma¬nence des morceaux de foie sans tenir compte des autres cellules qui lui disent que ce n'est plus néces¬saire. La cellule cancéreuse a pour ambition de retrouver cette ancienne immortalité et c'est pour cela qu'elle tue l'ensemble de l'organisme, un peu comme ces gens qui parlent tout seuls en perma¬nence sans rien écouter autour d'eux.
La cellule cancéreuse est une cellule autiste, c'est pourquoi elle est dangereuse. Elle se reproduit sans cesse et, dans sa folle quête d'immortalité, elle finit par tout tuer autour d'elle.

Solomon Kane
" sauf que je ne vois pas très bien ou la confrontations de théories invérifiables pourra nous mener " : une seule réponse à ça : nulle part. En fait, discuter sur des théories invérifiables n'a aucun intérêt si on ne l'éprouve pas déjà avec notre propre expérience et ressenti. Ce que j'essaie de dire (et j'ai du mal je l'avoue) c'est que l'utilité de nos discussions est de parvenir, sur la base d'un thème ou d'une question, à gratter, décaper et donner forme à une problématique qui nous rapprochera de la réponse. Ma motivation c'est d'essayer, ensemble, de donner corps à un sujet et pas de se lancer dans une interminable énumération de " machin a dit ça " et " truc lui a dit ça ". Comme dans tout travail, les citations et les extraits n'ont qu'une valeur illustrative pour étayer sa théorie. Quand je parle de confrontation, je ne parle pas de joutes verbales et de débats interminables mais de l'élaboration commun d'un raisonnement autour d'une problématique. On pourrait très bien représenter une sorte de groupe de réflexion qui passe au crible ce qui se dit sur tel sujet afin de l'éclairer d'un jour nouveau. D'où l'importance dans l'évolution de la discussion de ne prendre en compte que des expériences personnelles et de reléguer au rang secondaire les sources extérieures à notre propre esprit. Ces dernières n'ont valeur que de support pour projeter un peu plus loin l'idée. C'est très facile pour l'un de nous de citer tel auteur qui dit blanc et de voir très vite un autre membre citer un nouvel auteur qui lui dira noir. Cela nous fait-il avancer ? Evidemment non... En fait je m'emmêle les pinceaux tout seul. Je n'arrive pas à définir exactement le fond de ma pensée et ça m'ennuie. Donc continuez à discuter, vous occupez pas de moi, je dois être en train de dérailler un peu, ça me passera !

Dav, à la rue
aleister.c
mouai, tes remarques sont pertinentes, solomon, sauf que je ne vois pas très bien ou la confrontations de théories invérifiables pourra nous mener

prenons un exemple le plus stupide possible: après la mort, l'âme perçoit le monde avec une vision dont la couleur majoritaire est le bleu!

non, après la mort, l'âme perçoit le monde avec une vision dont la couleur majoritaire est le jaune!

inutile de s'étendre plus longtemps sur la symbolique de telle ou telle couleur, et de ce que cela implique en terme d'objectivité ou de subjectivité de la perception du monde par l'âme (quoi que ce sont des questions grandement interessantes) tant qu'on aura aucun moyen de vérifier tout cela... et, pire, de le prouver aux autres...

werber a écrit les thanatonautes, mais ce n'est qu'un roman
quelques années auparavant, hollywood avait produit ce film sympathique "flatliners" en français "l'experience interdite" ou des étudiants en médecines font l'experience de la mort clinique en restant dans cet état quelques minutes, ce qui correspond aux débuts des thanatonautes...tant que tout ceci ne sera que fiction, on ne pourra rien prouver

tout ce dont nous disposons actuellement c'est ce corpus d'experiences de gens qui ont frolé la mort, et se souviennent de choses bizarre, le tunnel avec la lumière au bout...
on sait maintenant que ces récit ont été rapporté aussi par des gens qui n'avaient auparavant aucune attirance pour le monde mystique, qui n'avaient jamais eu vent de ce genre de phénomènes, et les faits rapportés sont tous identiques, quels que soit la culture de l'interessé

"ce qui ne prouve pas grand-chose" objectent les plus sceptiques des scientifiques, puisque cette mémoire pourrai provenir d'une réaction du cerveau lorsque l'activité de celui-ci s'arrète, ou redémarre....
tout ce que ces témoignages tendent à prouver, c'est que les cerveaux humains sont vraiment similaires dans leurs réactions primaires et basiques, et ceux malgré des années d'endoctrinement culturel, que l'on croie en dieu, en plusieurs dieux ou en rien on voit toujours un tunnel avec une lumière au bout....

cela ne prouve absolument pas que ce tunnel existe , solomon voit des choses devant ses yeux qui n'existent pas, si je fixe ma lampe de chevet pendant plusieurs secondes puis l'éteint, je continue de voir le filament incandescent partout ou se porte mon regard alors que ma chambre ne comporte plus aucune source lumineuse

la mort est encore un domaine sacré, le seul que la science n'ai pas encore exploré.... et la réflexion menée par werber à ce sujet est interessante.... que se passera-t-il le jours ou nous n'aurons plus aucune croyance, mais seulement des certitudes?

certainement, nous y perdrons en liberté

et pour moi, la liberté est une valeur importante, c'est un moteur important de ma vie, ma quête...

je ne sais pas si ceux dont la quête n'a rien à voir avec la liberté seraient affectés par des découvertes scientifiques dans ce domaine.... qu'en pensez-vous?
et vous, quelle est votre quête?
Solomon Kane
En nous relisant, je conclue qu'on est quand même tous un peu présomptueux face à "la mort". On y va tous de nos petites hypothèses mais au final on n'est sûr de rien. Je pense qu'on s'accorde tous à dire que l'âme survit à la disparition du corps physique mais sorti de ça, on nage en plein mystère. Le passage dans une autre dimension ? Invérifiable. Le tunnel ? Pas mieux. Le jugement divin ? Impossible à prouver. Donc on parle, on parle mais ce n'est que du vent ! Nos arguments nous enthousiasment parce qu'ils répondent à des convictions et à des souhaits profonds mais nul n'est en mesure de les accréditer par sa propre expérience. On ne sait rien, techniquement, du cycle de l'âme. Je me suis rendu compte de ça en te lisant Sravaka. Tu donnes des détails très précis concernant l'incarnation, notamment dans les cas de fausses-couches. Or c'est un thème qu'on avait discrètement abordé et auquel Glingal avait apporté une réponse toute autre que la tienne (une réponse que j'ai d'ailleurs hier retrouvée corroborée dans le livre du Dr. Murphy). Pourtant, tu le dis bien toi-même : " Selon mes croyances...pas toutes verifiées par l'experience... ". Je crois que tous autant qu'on est on ne peut pas faire dans l'approximatif. On a un devoir de qualité vis-à-vis de la spiritualité et il faut qu'on s'applique à ne se borner que sur notre propre expérience. Moi le premier. Où s'arrête la foi et où commence l'imagination ? Pas évident. Cette divergence entre vos deux avis m'a révélé ce point très clairement. Je n'ai pas envie de savoir qui a tort ou raison de l'un ou de l'autre. Se lancer là-dedans serait une pure perte de temps et d'énergie. Il faut vraiment qu'on s'efforce tous autant qu'on est de ne pas "fabriquer" de théories en assemblant entre elles diverses sources d'information qui nous ont semblé justes. Il faut nécessairement les soupeser, les comparer, comprendre pourquoi un autre prétend le contraire. C'est le principe d'une dissertation : thèse, antithèse, synthèse. C'est un devoir qui nous revient. Prendre part, diffuser et soutenir une théorie implique que l'on dispose d'éléments personnels pour défendre celle-ci. Si je me prends en exemple, j'ai cité hier Joseph Murphy parce que ça me parlait son discours. Mais puis-je le vérifier ? Non. Je me retrouve à faire une confiance aveugle à cet auteur qui peut me raconter ce qu'il veut. Et de se retrouver à cogiter sur l'éternelle question du mode d'acquisition. Alors ce que je vous propose, plutôt que de se contenter d'énoncer des théories, c'est plutôt de les faire se confronter afin d'en déterminer la crédibilité. C'est un travail pénible, c'est un travail collectif mais c'est le seul moyen de ne pas devenir des moutons de Panurge. Qu'en pensez-vous ?

Dav
 
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