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mutation divine
Hello,a vous tous,bande de drogués... Moi aussi j'en veux!!!

Serieusement,je vous rappelle que tous ces produits sont interdits,et que ...Je suis donc encore de temps en temps hors la loi...

Mais ne fumant que du cannabis,je ne pourrais parler que de ça.
J'ai jamais cherché a aller plus loin,et en allant sur un forum spécialisé là dessus,rien qu'a lire leurs expériences..En fait ça m'écoeure...
Heureusement,car même si je n'ai jamais été accros,avant même d'y avoir gouté,qd mon copain m'a dit"viens avec moi,on va aller fumer avec des copains",j'étais tremblant,et dans ma tête,c'etait enfin!!!Je vais y gouter.Mais si je ne suis pas accros,je n'ai jamais dit non..Au passage,me connaissant,j'imagine sous plus fort...

Bref!
Perso,j'ai arreter de croire que le cannabis(ou autre drogue),nous ammene ds des états spirituels profonds..Soit il nous fait ressortir ce que l'on connait(ou soupçonne inconsciemment),soit il nous ammène ds des états que de toute façons on aura toute les peines du mondes a retrouver sans,ou incomprehensible(si toutefois,ce produits nous ouvre vraiment les portes d'une plus grande connaissance spi),le lendemain..Par lendemain,j'entends naturellement avoir quitté cet état,et pas replongés ds un pétard...
Mais je crois plutot que le canna nous fait voir les choses d'une autre manière,voir nous emmene ds des états de grands n'importe quoi...

certes,avec,je ressents les choses plus fortement,mais c'est tout...

ET SI TOUTES LES RELIGIONS LES CONDAMNENT,C'EST QU'il Y'A UNE RAISON...Faut etre honnete,toute avancée spirituelle avec,est juste un leurre...

Voir , faire resortir en nous,nos mauvais cotés,ceux justement ceux contre lesquelles on lutte...

Voilà... A mon avis,si vous voulez avancer ds le domaine spi,n'en prenez pas !!!!Ca sera plus long,plus petit,mais beaucoup plus sur...

En plus,mon ancienne copine me disait que ceux qui fument ne sont que des lâches,qui fument car ils n'ont pas le courage de quitter leurs situation...Et je crois bien qu'elle a bien raison!!!et de me considerer comme lâche....Ca me fait mal!!!

Tchao,et A+
piece_of_infinity
Il y a aussi le documentaire "Drogues et cerveau" qui est pas mal.
Voilà la partie consacrée au cannabis - ça parle, entre autres, des recherches sur les cannabinoïdes endogènes en psychiatrie et le développement d'inhibiteurs de recapture des cannabinoïdes.

En résumé, ces produits permettront d'éviter que les cannabinoïdes présents dans le cerveau soient détruits chez les personnes pour lesquelles ils sont en concentration insuffisante.
Actuellement, il y a déjà des inhibiteurs de recapture de la sérotonine ou encore de la noradrénaline,... qui sont utilisés comme antidépresseurs, par exemple.


Sinon, il y a une autre vidéo que je vous recommande, c'est "L'ayahuasca, le serpent et moi".

Si certains d'entre vous sont intéressés par des séminaires à l'ayahuasca, je vous conseille Takiwasi, c'est un centre en Amérique latine.
Il y a une autre personne qui, à ma connaissance, forme des gens aux techniques, traditions,... amérindiennes, c'est Guillermo Arévalo Valera.


Voilà un autre site qui vaut la peine, il regroupe quelques peintures inspirées/retranscrites à partir de rêves, voyages chamaniques, expériences à l'ayahuasca,...
Je vous conseille aussi les peintures d'Alex Grey.


Edité le 06-01-2011 à 22:10:03 par piece_of_infinity


arcane
hello

remarque je mets cette vidéo du point informatif en aucun cas faire l'apologie de la consommation de cannabis

une vidéo intéressent sur le Cannabis dans tout les aspect

http://www.dailymotion.com/video/xf66e_une-plante-entre-le-bien-et-le-mal_news
piece_of_infinity
Je viens par hasard de retomber sur ce topic... et je ne me souvenais pas moi-même avoir écrit tant sur le sujet.

Concernant les anti-dépresseurs et autres, j'aimerais revenir sur le sujet étant donné que je prends un anti-psychotique pour le moment, la quétiapine (Seroquel) et je vais commencer à prendre un anti-dépresseur la semaine prochaine, de la fluoxétine (mieux connu sous le nom de Prozac ...). [édition : en fait, il s'agit de duloxétine, Cymbalta ]
Effectivement, ça a fait couler beaucoup d'encre l'idée que le prozac induise ou puisse induire des pensées/comportements suicidaires.

Par rapport aux États-Unis, il paraîtrait qu'au contraire de l'Europe, les psy prescrivent plus généralement une activité physique que des antidépresseurs - les patients s'étant mis à faire une activité physique ont sensiblement moins de probabilité de faire une rechute que ceux ayant pris des antidépresseurs.

Si ça vous intéresse de voir un documentaire où l'effet de ces substances (ainsi que certains mécanismes de la dépression et, à l'inverse, de la méditation) sont expliqués clairement, je vous conseille de regarder le documentaire Guérir autrement (que vous pourrez trouver sur eMule) - il explique bien les corrélations entre tout ça et surtout le rôle neurologique de la méditation, après c'est clair que c'est un peu de la "publicité" pour David Servan-Schreiber (qui a écrit aussi un livre du même nom).
Il y a aussi le documentaire Qi, l'énergie qui guérit qui est pas mal et que vous pouvez télécharger ici - il faut d'abord s'inscrire sur le forum, par contre.

Concernant mon expérience actuelle de la quétiapine (anti-psychotique), ça a tendance à masquer les ressentis et pensées compulsives. Peut-être que c'est même le seul véritable effet à ce niveau, ça nous permet de nous focaliser - donc de diriger notre énergie - sur qqch d'autre.
À noter que ça peut aussi potentiellement masquer les ressentis "médiumniques" et le tonus sexuel (à moins que ça tende à canaliser cette énergie mais ça me paraît douteux).
Si certains d'entre vous prennent de ces médocs, je vous conseille de les prendre, au moins en partie, avant de dormir (étant donné que les rêves sont plus ou moins censés, dans certains cas, anticiper ce qui se manifeste (qu'il s'agisse seulement d'événements, de maladies,...).


À propos de l'alcool, j'avais lu sur un site ou un livre rosicrucien que ça aurait été un moyen apporté à l'homme pour s'ancrer dans la matière alors qu'il était présent seulement dans des dimensions plus subtiles ou alors lui faire perdre conscience des dimensions supérieures alors qu'il était déjà dans la matière (malheureusement, je ne me souviens pas du nom du/des livre(s) y faisant référence (si quelqu'un pouvait m'en dire plus, ce serait sympa). (Apparemment, Rudolf Steiner y a aussi fait allusion dans ses livres retranscrivant le contenu de ses conférences.)
On peut noter aussi - même si je l'ai peut-être déjà écrit plus haut - qu'au niveau collectif, il y a un "pic" qui a été la période "peace and love",... avec des drogues qui désancrent surtout (que ce soit à but récréatif ou à but spirituel - mais avec une vision des choses qui mène à penser que seule la drogue peut ammener ça,... - alors que les jeunes sont plus modérés dans leurs attitudes, aujourd'hui, par rapport aux extrêmes (càd but récréatif - dangers - attentes spirituelles). On ne confond plus comme avant (ou moins) l'expansion de conscience avec la "spiritualité" - quoique c'est vrai que tout est spirituel mais bon...


Mis à part ce que j'ai déjà écrit, il me semble qu'on peut effectivement associer la consommation d'alcool avec le fait d'être plus focalisé sur les choses terrestres (sexe, émotions, impulsions en tout genre,...), il agit probablement plus sur le 1er chakra (ou les premiers) tandis que l'herbe, par exemple, a plutôt tendance à ouvrir le chakra coronal (du moins, quand on consomme sur une longue période étant donné qu'à l'époque où j'ai commencé, j'étais plus présent à ce qui m'entourait et plus communicatif avec les potes que je voyais).
Maintenant, c'est vrai que c'est plutôt devenu l'inverse.

J'imagine que pour les stimulants, on peut les classer un peu à mi-chemin entre les effets de l'alcool et ceux qu'on ressent en commençant à fumer de l'herbe.


Je pense donc qu'on peut classer les drogues en 4 groupes :

DESCENTE DANS LA MATIÈRE
  • L'alcool et les autres drogues potentielles qui nous poussent à une attitude impulsive et matérialiste au détriment du raisonnement et de la conceptualisation. [1er et 7e chakras principaux impliqués]

  • La marijuana [et les hallucinogènes (?)] qui tendent à augmenter notre conceptualisation et notre raisonnement - peut-être même à outrance, càd en s'attachant trop à vouloir comprendre - au détriment de la faculté de concrétiser et d'être soi-même "ancré". [1er et 7e chakras principaux impliqués]

  • Les stimulants (amphétamines et autre) qui tendent à augmenter la communication tout en restant ancré (voire le raisonnement et la conceptualisation). [1er, 4e et 7e chakras principaux impliqués]

  • Les substances (comme la caféine) qui produisent une activité sans accroître l'importance de tel ou tel chakra ou alors travaille sur un autre chakra que le 1er, muladhara, le 4e, anahata et le 7e, sahasrara (voire le 6e aussi (?)- on parle généralement de chakras "ouverts" ou "fermés" mais il semble que le plus juste soit de parler en terme de vitesse. [3e chakra (?) ou autre]

    Concernant les hallucinogènes, je me demande s'il faudrait en faire 5e catégorie mais à petites quantités, beaucoup d'hallucinogènes amplifient l'acuité des perceptions donc peut-être serait-il censé de les classer aussi dans la catégorie des stimulants.
    Bon, je ne pense pas que l'impact de ces 2 premières catégories (ou même des autres) se fassent nécessairement uniquement sur le 1er chakra et le chakra coronal mais ça me paraît être une bonne manière de résumer.


    Après, c'est vrai qu'il y a une habitude qui se crée comme on l'évoquait et c'est des fois dur de se "restructurer" quand on consomme des drogues.
    La question que je me pose, c'est "est-ce qu'on ne pourrait pas plutôt que de se focaliser sur l'effet immédiat, envisager une substance qu'on consommerait pour la "descente" qu'elle provoque ?


    D'ailleurs, c'est peut-être pour cette raison que dans les onguents de sorcière, on joignait à la belladone, la mandragore et d'autres drogues, des plantes comme l'aconit ou d'autres qui sont considérées comme étant "poison" (l'aconit provoque, entre autres, une peur irrationnelle de la mort).
    Notons enfin que le sureau était utilisé pour se protéger des "sorciers" et que ces fruits en excès (surtout s'ils ne sont pas mûrs) peuvent provoquer des hallucinations...
    En Grèce antique, la jusquiame - encore une solanacée... - était utilisée par les prêtresses qui jouaient le rôle d'oracle.
    Enfin, on peut préciser quant à l'hydromel considéré comme rendant immortel dans la mythologie nordique que le miel confectionné à partir du pollen de certaines drogues ou autres plantes "toxiques" peut être lié à ce genre de croyances. Pour plus d'informations à ce sujet, je vous conseille de regarder ce site, qui concerne la fabrication d'hydromel à partir de drogues et/ou plantes "toxiques" (c'est en anglais) et ce site-là (qui est lui, en français, et traite des références aux abeilles et au miel dans les mythologies).


    Personnellement, j'ai eu quelques expériences avec la noix de muscade (dont le principe actif principal est la myristicine, une substance similaire aux amphétamines).
    J'ai l'impression qu'elle m'a permis de ressentir de manière plus marquée mon corps éthérique ou astral (ça s'est manifesté par des légères chaleurs ou encore une impression de froid dans les zones où il y a apparemment des blocages énergétiques comme les jambes (même sans drogues, j'ai souvent l'impression qu'elles, plus que le reste de mon corps, sont "mortes" (des thérapeutes énergétiques m'ont d'ailleurs confirmé qu'il n'y avait pas beaucoup d'énergie dans ces endroits).
    Ca m'a aussi permis de faire un rêve lucide (dont je ne me suis pas souvenu des détails, hormis le fait que je devenais actif et non plus seulement passif comme dans les autres rêves lucides que je faisais où je n'avais aucune imagination quant à ce que je pourrai faire).

    J'ai aussi fait des rêves bizarres avec l'huile essentielle d'armoise blanche (càd que le contenu auditif du rêve n'était pas en lien avec ce que je percevais visuellement)...


    PS : J'envisage de faire un topic faisant la corrélation entre les plantes (et drogues en tant que telles) et leurs effets sur les rêves (ou leur aptitude à aider à se souvenir de ses rêves, provoquer des rêves lucides ou encore des sorties hors du corps,...).
    Comme source d'informations sur les drogues (et aussi sur la spiritualité), je vous conseille l'excellent site Erowid (malheureusement, en anglais).


    Voilà, je ne me souviens pas si j'avais déjà mentionné les points suivants, concernant les drogues, mais l'alcool, en grandes quantités, permet de se diriger à un niveau plus subconscient pour pouvoir se libérer des émotions - les émotions jaillissent tour à tour, que ce soit le rire, la colère ou la tristesse, ce qui permet de les exprimer même si, en temps normal, on a tendance à ne pas être conscient d'elles ou à les refouler.
    Le cannabis, lui, permet de diminuer ou masquer la colère qui se change alors en déprime.

    Notons aussi que l'idéal pour tirer qqch des drogues serait d'avoir développé une attitude de lâcher-prise à leur égard et concernant les émotions en général afin de développer un calme émotionnel (sinon, nos émotions auront tendance à "déformer" la réalité objective, que ce soit des perceptions induites ou modifiées par la drogue, ou lui donner une coloration en relation avec nos émotions (idem pour les rêves).
    Il y a aussi certaines drogues, comme la sauge divinatoire, qui permet, apparemment, de créer un canal avec l'esprit de la plante - c'est aussi l'une des drogues qui augmentent les souvenirs des rêves, contrairement au cannabis (qui les diminue), par exemple.
    Elle peut aussi faire remonter certaines ambiances qu'on percevait enfant ou certains souvenirs liés à notre enfance.


    Edité le 15-04-2010 à 17:24:18 par piece_of_infinity


  • piece_of_infinity
    Pour ce qui est des "anti-dépresseurs" et médocs dans le style, ça ne m'étonne pas vraiment (bien que j'en n'aie jamais pris).
    On m'a proposé une fois, j'hésitais et je me suis dit que si ça n'allait pas mieux sans des anti-dépresseurs, ça ne valait pas vraiment la peine parce que si on n'est pas "capable" de s'en sortir par soi-même, on pourra toujours retomber dans les mêmes problèmes (si on n'a pas eu le "déclic", la prise de conscience, la compréhension nécessaire,...).

    Citation :

    Mon corps rejetait de plus en plus cette drogue (donc j'étais de plus en plus souvent malade avec ça).

    Malade dans quel sens ?
    Plutôt physiquement ou ça "partait" trop loin psychologiquement ?
    En ce qui concerne le tabac, ça fait un sacré moment que j'ai arrêté d'en fumer seul. Pour l'effet de "détente", ça m'est déjà arrivé mais, au bout d'un moment, je me suis rendu compte que, finalement, ce n'était pas vraiment de la détente (bon, après un certain temps, je me suis mis au tabac à rouler alors l'effet est déjà plus prononcé).
    Sinon, pour l'alcool, je n'ai jamais bu régulièrement mais j'ai arrêté, ça allait un peu trop loin... J'avais un peu trop tendance à finir ivre mort... (Sans compter les impression de vide intérieur et les déprimes qui alternent avec des fous-rires.) Pour la coke, les rares fois que j'ai essayé, ça ne m'a jamais fait grand-chose à part, dans certains cas, des déprimes (bien que je n'ai jamais pris plus qu'en petite quantité, en fait, pratiquement rien). Bon, quand je me trouvais avec certaines personnes en ayant consommé, j'avais tendance à être plus motivé moi-même (à ma connaissance, la seule drogue (ou le seul genre de drogue) dont l'effet est "contagieux"...).

    Citation :

    La drogue comme moyen de s'élever spirituellement ? Peut-être...
    Peut-être que ça peut aider, mais à mon avis c'est comme bâtir une tour sur du sable. Tôt ou tard ça penchera. Comme me disait Sol à ce propos dans une discussion privée : "Le chemin parcouru avec une canne devra tôt ou tard être parcouru de nouveau sans rien". (citation à peu près :P)

    Je pense que, peut-être, ça aide à en arriver à un certain point mais c'est pour assimiler le changement, oui, que ça peut poser un problème (se souvenir du/des ressenti(s) subtile(s), pouvoir les intégrer),...
    Pour reprendre ton analogie, peut-être que c'est comme bâtir une tour sur du sable mais, au moment, où il y a un coup de vent, on ne retombe pas (ou pas nécessairement) et il faut se reconstruire une base, il faut reconstruire une tour plus solide...
    Sinon, c'est vrai que les "risques" encourus avec certaines drogues sont, sans aucun doute, plus importants que les bénéfices éventuels quoique ça puisse apporter certaines choses non-néligeables.
    En fait, j'ai l'impression, que même tout comme une drogue ne peut pas remplacer la méditation, la méditation ne pourra pas "remplacer" une drogue (ce que je veux dire, c'est qu'on pourrait peut-être en arriver au même point sur certains aspects avec la méditation, mais ça nous semblerait inutile, peut-être, et on choisirait de passer à côté).
    La différence avec la méditation, c'est qu'elle construit la base et une fois que la base est là, on va naturellement plus "haut". Les drogues, c'est l'inverse. Après, je trouve qu'en méditant, on n'assimile moins certaines impressions subtiles (en tous cas, c'est l'impression que j'en ai). Seulement, quand on médite, on ne vas pas chercher à mettre les pieds dans les impressions subtiles, on pratique et c'est tout, on ne va pas rechercher certaines expériences et c'est ce qui change.

    Par contre, je pense que ça peut être une bonne chose pour les gens qui sont trop crochés dans leur quotidien, les personnes dont on pourrait dire qu'elles sont trop "réalistes" (enfin, ce n'est qu'un mot, je dirais, pour les personnes qui sont trop accrochées à la Terre et pas assez au Ciel, qui n'ont pas le sens de la subtilité, un certain ressenti ou une vision suffisamment globale, "aérienne").
    Le gros problème, il me semble, c'est que toutes ces personnes ne consommeront sûrement jamais de leur vie (alors qu'elles auraient bien besoin d'un "choc", de quelque chose qui les ébranle, qui les "diminue" un peu, qui provoque un remise en question ou quelque chose de ce genre) mais ce sera celles qui ne sont pas nécessairement "ancrées" (qui ne sont pas assez "sur terre" seront celles qui auront le plus tendance à consommer.
    Pour la méditation, c'est un peu similaire, aussi : c'est, en majorité, des personnes qui ne seront souvent pas assez ancrées qui auront tendance à méditer (bon, après, selon la méditation, ça peut aussi aider à s'ancrer, je trouve (mais c'est clair qu'on ne va pas faire des visualisations "new age" (c'est le bon truc pour crocher sur l'astral...).


    Pour ceux qui ont des problèmes avec l'astral (que ça vienne ou non de drogues), je vous conseille de mettre de l'huile de bois de santal au niveau du 2e chakra et en-dessus de la région du pubis.
    Ca permet de dissiper les impressions désagréables venant de l'astral et favorise le lâcher-prise.
    Si vous avez des problèmes avec votre "imagination", la gestion de l'inconscient ou du subonscient, certains trucs "imaginaires" qui se font trop indépendants ou prennent trop d'acuité, si vous avez des problèmes émotionnels (je veux dire, le fait de s'énerver ou être triste sans raison, osciller sans cesse au niveau émotionnel), ça a aussi rapport à l'astral (voire au mental, en plus, selon les cas, étant donné que c'en est la contrepartie).
    En ce qui concerne les encens et les huiles essentielles , leurs effets, leur utilisation,... je vous conseille de regarder sur le forum d'arcane, l-aurore-de-l-ambre, sous le topic principal sur l'utilisation des plantes.


    Edité le 19-12-2007 à 22:07:38 par olddemon


    Silence
    Moi je veux juste parler des drogues non seulement légales, mais en plus qu'on nous incite à prendre : les anti-dépresseurs et autres anxiolitiques. Eh oui, pendant qu'on en interdit certaines sommes toute bien moins dangereuses, on nous gave avec d'autres sous couvert de médecine.

    J'avais un ami qui prenait des anti-dépresseurs, et comme je suis toujours curieux de savoir ce qu'il y a comme cochonnerie dans ce qu'ingère le commun des mortels, j'ai lu la notice... Quelle fut ma surprise lorsqu'au détour du paragraphe effets indésirables je découvris : risque de survenue d'idées suicidaires . L'ami en question me dira que tous les anti-dépresseurs qui lui ont été prescrit contenaient tous cet avertissement... Vous trouvez pas ça paradoxal, vous ? Qu'un anti-depresseur vous donne envie de vous jeter d'un pont ? C'est pas censé faire l'inverse ? Ca ne devrait même pas avoir le droit de s'appeler comme ça. Honnêtement, qui connait une personne que ces cochonneries là ont aidé ? Le but de ce machin-là, c'est d'annihiler ta conscience, ça soigne rien.

    Mon seul contact avec un truc du genre, c'était à l'époque où je faisais des migraines. Après avoir passé une batterie de test, les medecins n'avaient rien trouvé. Or comme la médecine a horreur d'avouer son incompétence, elle m'a prescrit un anxiolitique : le Xanax. J'en ai pris pendant un jour, en me disant en moi "quelle bande de cons ces médecins". Le lendemain j'ai foutu la boite entière à la poubelle, en me disant que je ne ressemblais décidément pas aux gens qui consomment ça.
    Ah si, y'a eu une deuxième fois, toujours quand j'étais migraineux (cette période a durée 3 ans). Une médecin m'a prescrit un truc, soit disant pour faire monter mon calcium (une cause possible de mes migraines selon elle). Elle avait juste oublié de me dire que son truc contenait du bromure... J'ai appris 2 semaines plus tard d'une amie étudiante en biochimie que le bromure avec une action sur le psychisme (pour t'embrumer les idées) et servait entre autre dans l'armée pour faire passer la libido... ... ... Sympa les médecins... ==> poubelle aussi.

    En France, beaucoup de psychologues demandent à leurs patients de se faire prescrire d'un psychiatre tel ou tel médicament, "parce qu'il ne travaille pas sans que le patient prenne cela". Une honte...

    Aux Etats-Unis, évidemment c'est pire, les gamins hyper-actifs sont "soignés" à grand coup de médicament qui les transforment en légume, et qui leur donnent dans la plupart des cas des séquelles à vie. Pire, si le psy de l'école a décidé que l'enfant DOIT prendre ces médicaments-là, la famille N'EST MEME PAS EN DROIT DE REFUSER, même si elle se rend compte de la situation. Ce genre de "lois" arrivera aussi en France tôt ou tard (surtout si on continue d'élire des p'tits Nicolas).



    Sinon mon expérience personnelle des drogues conventionnelles, j'ai fumé du tabac et du cannabis pendant trois-quatre ans (j'ai commencé les deux en même temps et j'ai arrêté les deux en même temps). Honnêtement, la dernière année où j'ai fumé du cannabis, je me suis mis à détester de plus en plus cette drogue Jusqu'à ce que je dise stop. Mon corps rejetait de plus en plus cette drogue (donc j'étais de plus en plus souvent malade avec ça).
    Quand au tabac, autant au début l'effet était agréable (détente, sacralisation de l'instant...), autant vers la fin c'était plus une sale manie, un tic, une habitude. Comme ça m'apportait plus rien, je me suis dit que c'était la bonne occasion de faire d'une pierre deux coups, d'arrêter le tabac en même temps que le cana.
    A part ça, je dis pas non à l'alcool, de temps en temps. Moi qui réfléchis trop, ça fait du bien des fois de devenir bête
    Sinon une fois à la fête annuelle de San Sebastian en Espagne, j'ai pris un demi-rail de coke, juste pour "voir". Ca m'a pas fait grand chose, à part me booster, et, chose amusante, me filer l'oreille absolue (c'est à dire entendre TOUT, dans les moindre petits détails).

    Globalement, je suis vraiment pas un drogué. J'ai essayé, comme presque tout le monde, mais je n'ai pas été convaincu du tout. Et même si l'alcool reste ma drogue préférée, je me verrais pas picoler plus de deux fois par mois.

    La drogue comme moyen de s'élever spirituellement ? Peut-être...
    Peut-être que ça peut aider, mais à mon avis c'est comme bâtir une tour sur du sable. Tôt ou tard ça penchera. Comme me disait Sol à ce propos dans une discussion privée : "Le chemin parcouru avec une canne devra tôt ou tard être parcouru de nouveau sans rien". (citation à peu près :P)


    Edité le 18-11-2007 à 16:01:55 par Silence


    piece_of_infinity
    Salut arcane,

    Citation :

    c'est intéressent comme tu as partager ton expérience..qui expliqué de manière différent par rapport aleister, Solomon.kan, Kazim..qui ont expérimenté ceux-çi.

    Oui. Enfin, je trouve que certains descriptions, du moins, sont trop simplistes, à mon goût, parce que ce qui être "vrai" pour une personne sera faux pour une autre. Les gens, les psy et les soi-disant "spécialistes" ont souvent trop tendance à décrire tout ça de manière trop subjective ("c'est bien", "c'est mal" ou "ça crée telle chose").
    Une drogue, c'est un "modulateur", si on peut dire, ça ne crée rien, ça "augmente" ou "diminue" ce qui est existant. Pour être plus précis, ça révèle certaines choses provenant de l'inconscient (ou subconscient). Ca peut aussi faire passer certaines du conscient au subconscient (quoique moins, d'une manière générale, il me semble).

    Citation :

    concernant la spritiualité et les drogues..j'avoue que je ne suis pas convaincu que seule on puisse vraiment en acquérir les connaissance voulu ou alors que la personne se connaissent vraiment bien avec ces limites et son psychisme.

    Les limites, ça dépend ce que tu veux dire par là : tout dépend de la drogue que la personne consomme et en quelle quantité et fréquence (c'est clair que si la personne se prend pour un oiseau et qu'elle cherche à s'envoler, ça peut être risqué et on ne peut pas dire qu'elle connaitra ses limites...).
    Ensuite, l'important, c'est de vraiment chercher à [g]observer[g], à voir les choses d'une manière objective, en interprétant le moins possible, avec du recul et surtout en n'omettant ni l'aspect "positif", ni celui "négatif". Aussi, il faut toujours garder à l'esprit une certaine "humilité", ne pas considérer que telle connaissance ou façon d'agir est acquise définitivement.
    En ce qui concerne les "connaissances", c'est en se confrontant à l'imagination qui se déverrouille et aux différentes expériences qu'on acquiert une certaine connaissance, une certaine expérience. Aussi, de par l'imagination, il n'y a pas que du négatif qui se manifeste en plus, il y a certaines solutions (bien que plus ou moins irrationnelles ou qui peuvent, à priori, sembler absurdes pour bien des gens) à des problèmes, comme je l'écrivais. On pourrait dire qu'il s'agit d'intuitions, ça vient effectivement de l'Esprit, aussi, je pense mais, en ce qui me concerne, ces idées sont devenues manifestes alors que mon intuition s'est masquée, depuis quelques temps, à cause de l'astral et surtout du nombre incalculable de pensées... Par "intuition", ce que je veux dire c'est une connaissance au niveau du ressenti mais qui est moins pragmatique (voire pas du tout), en opposition, avec ce dont je fais référence.
    Dans certains cas, si on n'a pas trop de problème au niveau de l'astral, qu'on est encore assez ancré, on peut utilisé le ressenti laissé par une image mentale (spontanée venant du fait de fumer ou volontaire). Par exemple, une de celles qui m'est venue, une fois, est une sorte de "T" (qui correspond à ce que j'en ai lu, une fois, à une lettre hébraïque symbolisant la manifestation de l'énergie céleste ou quelque chose comme ça). C'est un peu dur à expliquer (et surtout si la personne n'a jamais fumé mais c'est comme ça, il y a des images mentales qui nous font spontanément penser, dans ce genre d'états, à une utilisation qu'on pourrait en faire. Une fois, ça m'est arrivé de combiner les propriétés des couleurs selon ce que je désirais en projetant des lignes verticales et horizontales (l'horizontal est propre à l'hémisphère gauche du cerveau ou droite, je ne me souviens plus, et le vertical, l'inverse). On peut donc en venir à utiliser ses connaissances intellectuelles dans ce sens-là et à combiner ça avec les idées qui nous viennent spontanément.
    Le problème, par contre, avec ce qui est trop centré sur l'imagination et, en particulier, au niveau des visualisations qu'il vaut, des fois, mieux éviter, c'est que ça peut diminuer notre ancrage et donc renforcer aussi certains trucs négatifs au niveau de l'astral. Le plus sûr reste de travailler avec le ressenti des énergies (l'ancrage ou, à l'inverse, la sensation d'avoir les pieds en l'air (ce qui peut être les deux en même temps, bien entendu), les odeurs (en les imaginant ou non (parce que même dans ce cas, on n'a moins de probabilité de s'égarer (ou que ça devienne incontrôlable), la respiration (en l'utilisant selon ce que l'on souhaite inspirer ou expirer comme énergie ou encore pour fixer une énergie à un certain endroit (ça peut être l'énergie terrestre ou céleste, si on a un ressenti qui n'est pas trop brouillé par l'astral (effectivement, c'est un des mauvais côtés...).

    Citation :

    un accompagnement avec un chamane connaissnat les effets de ceux-çi et expérimenté..serait plus adéquoi.

    Je suis d'accord, ce serait pas mal mais malheureusement, les chamanes (authentiques), ça n'est pas très courant...
    En fait, le problème, c'est qu'on ne s'aperçoit pas (ou pas nécessairement) quand on "bascule" dans l'astral et, à ce niveau, une personne qui serait déjà passée par le même chemin serait utile, en effet. Par rapport à la façon de réagir à l'astral, bien souvent, les solutions viennent de par l'inspiration, l'imagination elle-même (ce qui peut pourtant apporter une "solution" très concrete ou alors centrée sur le travail au niveau du ressenti, en rapport à l'astral ou à une préoccupation ou un problème spécifique). Toutefois, il y a certaines expériences qu'on ne peut pas éviter, je pense, au risque de croire n'importe quoi (l'astral étant la dimension des illusions par excellence). En même temps, c'est horrible mais ça nous aide autant à nous "mettre à nu", qu'à nous renforcer et à nous affirmer.
    Les expériences, elles, ont l'air d'être assez similaires d'une personne à l'autre, après certaines expériences au niveau astral, je me suis souvenu qu'une personne a fait référence à certaines choses identiques à ce qui m'est arrivé.

    Citation :

    me concernant les drogues sont une expérience qu'une personne fera quoiqu'il puisse arrivé si elle le veut, mais le résultat n'est pas forcément d'atteindre le spirituelle.

    Le "résultat" ou le "but" ?
    Je pense qu'une personne, qu'elle le souhaite ou non, sera bien confrontée à ses problèmes à un moment ou à un autre. Si elle n'en peut plus, elle arrêtera sa consommation et cherchera ou non à gérer sa situation par un autre moyen. Sinon, elle prendra conscience peut-être de certaines choses ou elle sera confrontée à ses problèmes jusqu'à ce que soit le cas.
    Une image que m'évoque l'aspect "négatif" de l'astral à travers les drogues, c'est cette image populaire de "diablotins" qui titillent les gens, ce sont nos démons intérieurs. Après, quelqu'un m'a prétendu qu'il n'y avait pas d'entités en astral. Je doute qu'il n'y en ait pas au moins qui soient "artificielles" (crées et maintenues par chaque personne individuellement ou en groupe).

    Citation :

    Si on est déjà en état de desquilibre avant d'en faire..les drogues ne feront que les masquer ou parfois les amplifié

    Les masquer, d'une manière générale, je ne pense pas parce que même si on est dans un état "joyeux", euphorique,... ce sera compensé par un état de déprime à d'autres moments et/ou des sensations "d'oppression" venant de l'astral. On ne peut pas se mentir à soi-même (ou, du moins, pas éternellement).
    Les amplifier, honnêtement, ça peut peut-être oui, je ne sais pas. Ce qui est sûr, c'est que ça révèle certaines choses qu'on (se) masque délibérément ou non, certains problèmes, en particulier. Ca nous force à affronter les choses.

    Citation :

    Pour faire joujou avec les drogues mieux être en pleine forme psychiquement et physiquement pour pouvoir en avoir controle

    Quand on est dans ce genre de situations, soit on en tire profit pour le meilleur et pour le pire, soit on l'abandonne (au risque, aussi, de laisser passer ce qui nous a conduit ici ainsi que certains problèmes que ça révélait).
    Toutefois, si on consomme, il ne s'agit pas de "faire joujou" : on ne prend pas plus de risque à essayer d'en retirer quelque chose qu'en n'en faisant rien du tout, il s'agit de savoir si on veut arrêter ou non, si on pense que c'est nécessaire d'arrêter ou, au contraire de continuer, et savoir si on se sent capable d'arrêter ou, à l'inverse, de gérer ou d'essayer de gérer les effets de la drogue.
    Tout dépend, l'effet sera différent seulement qu'on est "en forme" ou non : par exemple, quand je méditais régulièrement et faisais d'autres pratiques, je pense que la méditation avait plus ou moins "nettoyé" en partie mon subconscient (ou du moins, ça m'empêchait de rester accroché à certains problèmes, visions des choses destructrices,...). C'est pour ça que quand je fumais, je n'avais pas de sensation oppressante ou d'état désagréable.
    Ensuite, si on a certains problèmes, plus ou moins conscients ou non (et, dans certaines situations, si, en plus, on essaye de les masquer pour essayer d'en sortir), le fait de consommer va les faire ressortir. L'aspect positif, c'est que ça va nous aider à prendre conscience de certains aspects de notre personnalité, émotions et pensées refoulés et nous y confronter. L'aspect négatif, c'est que ce n'est pas très agréable... Mais que ce soit agréable ou non, il vaut mieux ne pas trop vouloir être "joyeux", "heureux" à tout prix : le véritable bonheur se trouve au milieu, c'est quelque chose de global et je pense que pour en arriver là, il faut des expériences "positives" et "négatives".
    Ce qui est utile, en tous cas, c'est que, tout en nous rendant plus vulnérable au niveau aurique, dans beaucoup de situations, en tous cas, les drogues peuvent nous aider à faire attention à certains ressentis et certaines perceptions. Aussi, ça peut nous aider à avoir une imagination plus pragmatique.

    Citation :

    Même si franchement..les risque prise sont trop grand à mon goût, autant apprendre des technique de médiatation, et autres pour controlé son corps

    Tout dépend des personnes, de leur façon de réagir et de considérer les chose mais, en ce qui me concerne, je trouve que le mieux serait de ne pas rester attaché à telle ou telle substance (et consommer peu ou pas), en avoir une certaine expérience au niveau pratique par rapport au travail sur soi, une certaine "connaissance", se "familiariser" à cette drogue et méditer régulièrement.
    Aussi, je pense que le mieux serait de se familiariser aussi avec la plante en tant que telle (voire essayer communiquer avec elle) et de la traîter avec respect et non pas comme du "bétail".
    Concernant le fait que c'est moins "risqué", je suis d'accord sauf si tu fais quelque chose comme du kundalini yoga (par rapport aux drogues, tout dépend ce dont on parle). Disons que la méditation est beaucoup plus progressive, c'est beaucoup moins brutal et "fataliste" (d'une manière positive ou négative) qu'une drogue, en particulier, pour la personnalité et les changements qui en découlent. C'est, aussi, une manière différente d'appréhender l'inconscient (et pas ou moins focalisée, il me semble, sur l'imagination, l'astral (que ce soit de manière positive ou négative, malheureusement).
    Par rapport au fait de rester attaché ("accro" pour être plus "extrêmiste" ), je pense qu'il faut faire attention mais pas seulement en ce qui concerne une ou plusieurs drogues.
    En ce qui me concerne, quand je méditais régulièrement et que j'avais de la facilité à établir un état méditatif, au bout d'un certain temps, parce que ma situation allait bien et que ça me "suffisait" quelque part, soit par "oubli", soit par choix, j'ai arrêté de pratiquer et je trouve que ce n'est pas bon non plus, au niveau de la méditation, de rester attaché ou de l'abandonner. Aussi, à l'époque, je me suis demandé s'il ne valait pas, hormis le simple fait d'être détaché, être détaché du détachement parce que si on a confiance dans le résultat quel que soient les problèmes qu'on traverse, quelque part ça ne nous importe plus, sur le moment, d'avoir à les traverser, d'avoir à gérer des situations négatives et ça peut aussi nous empêcher, quelque part, de souhaiter régler nos problèmes parce qu'on sait que d'une manière absolue, ils nous apporteront quelque chose (mais ce n'est pas une raison pour ne rien faire pour essayer d'établir une situation optimale).

    Par rapport à la méditation et aux drogues, en général, ce qui est clair, c'est qu'on ne les aborderait pas dans nos vies si on n'avait pas de problèmes (ça n'est pas forcément des "problèmes" en tant que tels, ça peut être l'insatisfaction par rapport à notre vie, l'envie de rechercher quelque chose de nouveau). C'est pour ça qu'il faut trouver un bon équilibre entre la souffrance qui nous pousse à avancer (mais qui peut nous empêcher de souhaiter faire quelque chose pour se sortir de nos probèmes par peur de les amplifier) et ce qu'on considère comme le "bonheur" (parce qu'on considère que les choses sont suffisantes, qu'elles sont satisfaisantes, ce qui est ou peut être, quelque part, que le négatif de nos problèmes (c'est comme ces gens qui sont tout le temps agités de manière apparemment positive et sourient mais qui sont sûrement extrêmement stressés à l'intérieur d'eux-mêmes).


    Voilà, je préciserais encore que la majorité des trucs auxquels j'ai fait référence se rapporte au cannabis (sauf si j'ai fait mention de l'alcool ou des drogues, en général). Je ne sais pas si tout ça paraîtra clair mais le ressenti ainsi que certaines expériences ne s'expliquent et ne se résument pas comme ça. (Je voulais ajouter d'autres trucs auxquels j'avais pensé sur le moment, j'avais déjà écrit ce post une première fois mais j'ai dû tout recommencer, malheureusement, mon post n'ayant pas été pris en compte... )



    Édition :
    En ce qui concerne les visualisations et le ressenti,... c'est très variable. Ce qui fonctionne à un moment peut ne plus fonctionner ou causer des problèmes quelques jours après, par exemple. C'est très variable avec l'astral...
    Par contre, en fumant, en tous cas, il y a une chose qui est importante, c'est la position de la colonne, avoir la colonne droite et le reste du corps détendu. L'affaissement de la "discipline", du mental correspond à celui de la colonne vertébrale.
    Ca peut être utile de faire des exercices pour fortifier le dos et en particulier le bas du dos (si vous en connaissez).


    Edité le 24-01-2008 à 23:43:12 par olddemon


    arcane
    salut olddomon

    c'est intéressent comme tu as partager ton expérience..qui expliqué de manière différent par rapport aleister, Solomon.kan, Kazim..qui ont expérimenté ceux-çi.

    concernant la spritiualité et les drogues..j'avoue que je ne suis pas convaincu que seule on puisse vraiment en acquérir les connaissance voulu ou alors que la personne se connaissent vraiment bien avec ces limites et son psychisme.

    un accompagnement avec un chamane connaissnat les effets de ceux-çi et expérimenté..serait plus adéquoi.

    me concernant les drogues sont une expérience qu'une personne fera quoiqu'il puisse arrivé si elle le veut, mais le résultat n'est pas forcément d'atteindre le spirituelle.

    Si on est déjà en état de desquilibre avant d'en faire..les drogues ne feront que les masquer ou parfois les amplifié

    A mon avis même si j'ai jamais touché une seule drogue..enfin si une fois un petit verre d'alcool et je n'ai plus voulu essayé..cela me rendait pas aimable du tout.

    Pour faire joujou avec les drogues mieux être en pleine forme psychiquement et physiquement pour pouvoir en avoir controle

    Même si franchement..les risque prise sont trop grand à mon goût, autant apprendre des technique de médiatation, et autres pour controlé son corps

    voilà arcane
    piece_of_infinity
    Bon, je n'ai pas lu tous vos posts mais il me semble que ça manque un peu de sens pratique. Les drogues, en général, (ou, en tous cas) l'alcool et le cannabis favorisent l'ouverture et la sensibilité au niveau de l'astral (et mental (mais ça nous rend plus vulnérable en agissant aussi de manière négative sur l'aura).

    Pour le cannabis, je dirais que c'est plutôt psychologique, au niveau de l'imagination qui est favorisée au positif comme au négatif.
    Pour l'alcool, par contre, c'est plus "concret", je trouve. On part dans une sorte de rêve, avec une sensation de vide intérieur (on est un peu un clodo, un sdf (on est un peu "la merde prête à servir à tout" ). En même temps, on peut trouver une grande confiance en soi, parce qu'on est fatigué psychologiquement (et physiquement, dans certains cas) et la vie nous épuise et on est obligé d'aller de l'avant. C'est paradoxal mais quelque part, ça force, des fois, suffisamment les choses pour qu'on trouve cette confiance mais étant donné les limitations induites aussi par l'alcool, il faut faire un effort beaucoup plus conséquent pour travailler sur soi, au niveau de l'imagination, pour changer ce qui ne va pas dans son état d'être,... Aussi, quand on est dans cette sorte de rêve (ou on a des pensées qui deviennent extrêmement vives comme si elles étaient presque devant nous, d'une certaine manière), on peut percevoir certaines pensées extrêmement cohérentes auxquelles on n'avait jamais pensé en étant net et tout ça au milieu d'absurdités. Le problème de taille, c'est de s'en souvenir...

    Pour ce qui concerne le cannabis, ça a tendance à diminuer la mémoire à court terme mais ce dont on ne parle pas, c'est qu'en pénétrant plus loin petit à petit dans le subconscient, la mémoire à long terme a tendance, elle, à revenir : certains souvenirs d'événements lointains qu'on pensé avoir oublié et qu'on avait mis de côté nous reviennent (par exemple, des souvenirs appartenant à notre enfance, une phrase que quelqu'un nous a dit à un moment particulier,...). Ces événements reviennent parce que, à certains moments, du moins, notre pensée a tendance à se rapprocher de celles des rêves (mais d'une manière pourtant différente de quand on a bu). Aussi, de manière spontanée, on peut penser à quelque chose de très pratique, une idée qui peut sembler incohérente (mais très juste, pourtant), avoir une inspiration concernant la manière d'utiliser notre imagination et nos ressentis, certaines techniques pour influencer notre état de conscience (en fonction ou non) des connaissances qu'on a déjà acquises au niveau intellectuel (en lisant des livres, par exemple), ce qui fait qu'on s'en "inspire" quelque part, ça devient un canal pour l'inspiration, pour l'Esprit.
    Par exemple, étant donné qu'il faut être ancré pour fumer et que ça diminue l'ancrage ou peut le diminuer (donc le lien avec la Terre), il y a quelques semaines, ça m'est venu à l'esprit, dans l'idéal, qu'il faudrait pouvoir mettre ses pieds, littéralement, en terre (avec une partie des jambes). De cette manière, l'énergie pénètre plus directement parce qu'on peut aussi utiliser le ressenti ou l'imagination pour déplacer l'énergie, ressentir des racines,... mais ça a aussi tendance, si on est mal ancré, à diminuer encore cet ancrage...
    Ce que j'ai remarqué aussi depuis longtemps par rapport au cannabis, c'est que, contrairement à ce que certaines personnes prétendent, il ne nous fait pas fuir la réalité, il nous force à affronter nos problèmes : si on masque notre "joie", il nous la révèle ; si on masque nos pensées, nos émotions, là aussi, ça ressort d'une manière ou d'une autre. Pourtant, on n'est souvent pas conscient de refouler certaines choses. Ce n'est pas forcément la meilleure (ni probablement la "pire" ) manière d'en prendre conscience mais c'en est une et si nous décidons de refuser de voir certaines choses, ça ira en s'empirant. Soit on prend conscience des choses à changer dans notre vie et surtout dans nos pensées et émotions, soit nos problèmes prennent de l'ampleur jusqu'à ce qu'on ne puisse plus que les subir. Ce qui est confirmé, par exemple, dans le livre "Les plantes sorcières" de Pierre Manoury (que je vous conseille (peut-être qu'il est dans la bibliothèque du forum (?) dans lequel on peut trouver la correspondance de certaines plantes aux planètes, ici, pour le cannabis, il s'agit de Saturne. En se renseignant sur le symbolisme de Saturne, on trouve que c'est similaire mais, personellement, que ça renforce probablement plutôt l'impact de Saturne en rapport avec notre thème astral (voire peut-être aussi par rapport à l'influence de Saturne au niveau du jour, de la période en question). À ce propos, si vous souhaitez faire votre thème astral, je vous conseille le programme Andromède qui est vraiment le plus juste, dans ce que j'ai vu jusqu'à présent, au niveau de l'interprétation de l'influence de chaque planète de notre thème, les maisons, les noeuds,...
    Ce qu'on peut remarquer aussi, avec le cannabis (et j'en ai parlé avec plusieurs personnent qui consomment aussi), c'est une sensation de quelque chose de dérangeant, une impression, des fois, que quelque chose ne va pas (sans que ce soit vraiment angoissant ou autre). Cette impression est liée à l'astral, peu importe, à quel point on pénètre dans l'astral.

    Après si vous êtes trop incrusté dans l'astral, que vous avez des problèmes à ce niveau, ce que je vous conseille, personnellement, c'est de brûler de l'encens (l'oliban fonctionne assez bien et le patchouli (ou le santal) aussi sans doute), de jouer et/ou écouter de la musique, utiliser les odeurs (par exemple, appliquer des huiles essentielles en fonction de l'effet recherché pour chaque chakra (selon mes mauvaises expériences à ce niveau, ce qui peut varier d'avec une autre personne, je dirais que ceux qui sont le plus "touchés" sont les 3 et 4e chakras), méditer contre un arbre (ou, peut-être, aller dans la nature, si on ne souhaite pas méditer (mais c'est fortement conseiller de rester appuyé contre un arbre).
    L'important, dans ce genre de cas, en particulier, c'est de s'ancrer.

    Voilà, je n'écris pas ça dans le but de vous inciter à consommer, bien entendu. À vous de voir, mais, si on a développé certaines aptitudes psychiques, il ne faut pas s'étonner si on a de légères déformations visuelles en fumant (ce qui ne m'est pas arrivé bien longtemps),... J'ai eu personnellement, de mauvaises expériences au niveau astral et je ne suis pas sûr que relater tout ça de manière détaillée soit une bonne idée. Ce que je peux en dire, c'est que, même à travers ces expériences horribles (ressentir comme un vide infini au niveau du chakra du coeur, sentir la Peur, sans compter le reste...) on peut en tirer du positif dans la façon de comprendre comment l'astral (et le mental qui est sa contrepartie) fonctionne (l'inversion du haut et du bas ou encore leur absence, le gardien, la transposition de sensations de ressentis ou de pensées comme si on était une marionnette, l'odeur de la mort (littéralement), les scénarios récurrents,...). On peut aussi tirer du positif dans le fait que le fait de "déverrouiller" notre imagination et en particulier notre "inspiration" (qui devient si bloquée en grandissant, de par l'éducation,...) peut nous apporter des idées positives, certaines perceptions intuitives mais à un niveau des fois plus pratiques, qu'en ayant seulement une bonne intuition, de manière générale (effectivement, je ne sais pas ce qu'il en est à ce sujet, mais même en méditant, il me semble que ça m'aidait à développer l'intuition mais une intuition "théorique" seulement, si on peut dire, pas quelque chose de pragmatique, qui ait un sens pratique plus élevé (d'ailleurs, j'aimerais bien connaître vos avis et/ou expériences à ce sujet).
    Après, je ne vais pas en écrire davantage sur mes expériences à ce sujet parce que je ne sais pas si ça pourrait arriver ou non à n'importe qui n'ayant pas développé de facultés. Ce qu'on peut en dire, c'est que ça peut nous enlever aussi de l'ancrage, nous rendre encore plus vulnérable.
    Ce n'est pas impossible de (continuer à ) consommer mais il faut faire très attention et étant donné que ce genre de situations est assez imprévisible, on ne sait pas forcément quand s'arrêter ou faire une pause. Aussi, je ne sais pas ce qu'il en est avec l'alcool, étant donné que j'ai arrêté, mais si vous êtes prédisposés de par certaines choses à des expériences aux niveaux astral/mental (c'est-à-dire au niveau du ressenti, de l'imagination et des pensées) qui prennent trop de place, consommez peu à la fois et pas trop souvent.
    Ce qu'on peut encore en dire (si je ne l'ai pas déjà écrit (?), c'est que tout ça est très aléatoire, d'une certaine manière et qu'on décide quoi que ce soit, il faut toujours garder à l'esprit que dans ce domaine, en particulier, rien n'est jamais définitivement acquis. Nos acquis, nos connaissances, nos peurs, émotions et pensées sont toujours remises en cause que ça nous détruise ou que ça nous aide d'une manière positive ou "négative" à nous construire.


    Voilà, ensuite, certains me traîteront peut-être d'inconscient mais je cherche à considérer ce genre de substances et leurs utilités possibles d'une manière objective et en rapport avec le rôle qu'elles peuvent avoir de manière "dirigée" ou non dans la vie d'une personne qui peut pourtant avoir certaines aspirations au niveau du travail sur soi, "spirituel", et rien n'est contradictoire, si on ne développe pas d'attachement à cet égard (donc je ne prône pas une attitude pro-drogue pour pouvoir développer la "spiritualité" dans le genre Timothy Leary ou d'autre gars du genre).
    Certaines personnes ne pourront jamais comprendre ou accepter que certaines personnes "doivent", à un certain moment de leur vie, consommer des drogues pour en assimiler certains aspects, pour s'y confronter, qu'on utilise leurs effets ou non et que cette consommation soit temporaire ou non, et que même une personne qui passe pour un "drogué" (voire a fait certains crimes) peut aspirer à quelque chose de "spirituel" et même faire un travail à ce niveau, un travail sur soi (si j'écris ça, c'est seulement pour anticiper au vu des réactions de beaucoup de gens et de ce qui apparaît pour certains comme contradictoire et incompatible).
    Sol
    Salut tout le monde,

    J'ai l'impression qu'il y a toute une fascination, chez beaucoup de jeunes, sur l'univers des drogues. Ca tourne même au culte, ou au mythe. Quand on dit "LSD", on pense aux hippies, on pense aux années de liberté sexuelle, on pense à Woodstock, aux concerts géants, on pense aux States des années 70, on pense aux grands artistes : Jim Morisson, Jannis Jopplin, et plus récemment Kurt Cobain, qui étaient complètement accros, et qui pourtant étaient (peut-être) des génies.
    Je pense que beaucoup de jeunes font un amalgame, un gros mélange de tout ça. J'ai connu un homme qui passait ses journées à écouter Les Doors et Nirvana, et qui imitait ses idoles en absorbant des drogues, comme si c'était une manière de se rapprocher d'eux. J'avais aussi un copain, à la fac, qui était fasciné par l'univers des substances, qui participait à toutes les raves du coin, et qui me racontait tous ses trips. Il m'a dit un jour : "ce produit-là, quand tu le prends, il ouvre une porte en toi. Ensuite cette porte, tu peux la rouvrir quand tu veux, même quand tu n'es plus sous l'effet de cette drogue". Et voilà, pour un peu, il allait m'expliquer que se droguer était un art, une science, et à l'époque je le croyais, même si je n'ai jamais franchi le cap (j'ai juste goûté au canabis et une seule fois à l'extasy).
    Qu'apporte une drogue ? Une liberté psychique ? Oui, c'est vrai. J'ai fumé le tabac pendant des années, et une cigarette a je pense un effet anesthésiant, pendant deux ou trois minutes, la tension baisse un peu. Idem, en plus puissant, pour le joint. Quant à l'exta, on s'évade complètement. Je me souviens que pendant des heures, j'inversais les mots à l'intérieur des phrases (genre "il a un beau mec ce pantalon"), et que j'avais le sentiment de marcher hyper vite, comme un schtroumpf. Pour les autres drogues, je ne sais pas et n'ai pas envie de le savoir.

    Chercher la liberté, c'est très bien. Mais comment peut-on croire que l'on va trouver une liberté psychique, en nourrissant son corps physique ? Car c'est bien son corps que l'on nourrit, c'est toujours quelque chose qu'on fume ou qu'on avale. Ce n'est pas logique. La liberté psychique, on doit pouvoir la trouver avec des moyens psychiques, c'est à dire la méditation, le voyage astral, que sais-je encore. Mais pas une drogue.

    Je ne nie pas que certains chamanes (beaucoup moins qu'on le croit) usaient de ces substances. Mais c'était chez eux toute une science, qui n'a rien à voir avec les discours de raves et de teufs...

    A bientôt,
    Sol
     
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