Sujet : Et plusieurs dimensions - Lobsang ram | | Posté le 28-01-2006 à 02:10:55
| Pour ceux qui arrivent ici par hasard, je veux dire sans avoir suivi la discussion sur la quatrième dimension, il s'agit ici d'un chapitre du livre "les univers secrets" de T. Lobsang Rampa paru aux éditions "J'ai lu" collection "aventure secrète" N°2991. Afin de lire ceci, je vous conseille tout de même de faire un copier coller dans un éditeur de texte et de l'imprimer si vous ne voulez pas vous exploser les yeux. Je vous demande de m'excuser au cas où le texte aurait un problème dans sa continuité ou s'il contiendrait des mots incorrects. Ceci étant du à un possible manque de vigilance de ma part quant à ma supervision du travail du programme de reconnaissance de caractères, ce texte ayant été scanné directement du bouquin cité plus haut. Voilà bonne lecture à ceux qui s'en donneront la peine.
Citation :
ET PLUSIEURS DIMENSIONS... Le fait que nous traitions de la quatrième dimension dans ce quatrième chapitre semble tout à fait indiqué. En effet, lorsque nous quittons cette terre, c'est dans la quatrième dimension que nous allons. Mettons tout de suite au clair un point intéressant, savoir : les personnes qui assistent à des séances de spiri¬tisme sont souvent choquées par le côté men¬songer des messages qu'elles reçoivent de ceux qui sont passés dans l'au-delà. Ces per¬sonnes ne comprennent pas que ceux qui ont quitté cette terre pour un autre plan d'exis¬tence sont à des milliers d'années-lumière dans l'avenir. Nous établirons un peu plus loin un parallèle qui vous aidera à com¬prendre, lorsque nous traiterons du roi hin¬dou et de sa fille, mais en attendant, qu'est-ce qu'un monde à une dimension? Supposons que nous ayons une feuille de papier et un crayon. Traçons sur le papier une ligne droite et imaginons que le graphite déposé sur le pa¬pier représente des quantités de personnes, si bien que cette ligne droite est, en réalité, tout un univers. Il n'y aura que deux points pour ces personnes : l'un sera droit devant et l'autre sera droit derrière. Elles pourront seu¬lement se déplacer en avant et en arrière, et dans aucune autre direction. Supposons maintenant que vous changiez quelque chose à cette ligne. Les êtres unidimensionnels pen¬seraient qu'un miracle s'est produit ou, s'ils voyaient la pointe de votre crayon appuyant, ne fût-ce que légèrement, sur le papier, ils penseraient qu'une soucoupe volante est sou¬dain apparue. Vous êtes une créature tridimensionnelle. Vous serez temporairement entré dans le monde unidimensionnel en posant la pointe de votre crayon sur le papier et l'être unidi¬mensionnel qui aura vu la pointe de votre crayon sera persuadé qu'il a assisté à un phé¬nomène inhabituel. Étant unidimensionnel, il ne sera pas capable de vous voir, mais seule¬ment ce point que constitue le contact de votre crayon avec le papier. À présent que vous avez une idée de ce que peut être un monde unidimensionnel, jetons un coup d'oeil sur le monde bidimensionnel. Ce sera un plan, et ceux qui vivent dans ce monde-là seront nécessairement des figures géométriques planes. Le monde dans lequel ils existent leur semblera tout à fait semblable à ce que notre monde est pour nous, à l'ex¬ception du fait que si vous dessinez des lignes au crayon autour d'eux, ils verront ces lignes comme de hautes murailles qui les empê¬chent de passer et ils estimeront probable¬ment que ces lignes doivent faire partie d'un autre monde. Ils se feront de la troisième di¬mension une idée à peu près semblable à celle que nous pouvons nous faire de la quatrième et, comme nous éprouvons une certaine diffi¬culté à la comprendre, ils n'arriveront pas à comprendre non plus cette troisième dimen¬sion qui nous est si familière. Ceux d'entre eux qui, plus doués que les autres, seront par¬venus à en avoir conscience, seront probable¬ment obligés de dissimuler leur savoir pour ne pas être traités de fous, de menteurs ou de mystificateurs! On fait trop souvent confiance à des gens non qualifiés, sous prétexte qu'ils ont un nom. Tel général, par exemple, qui aura remporté des victoires sur les champs de bataille, sera mis à la tête d'un État. Tel acteur qui, sur l'écran, joue des rôles de grands séducteurs sera appelé par les magazines publicitaires à donner son avis sur l'amour et la vie sexuelle, alors que, personnellement, il est tout à fait impuissant. Il en va de même sur le plan scientifique. Des hommes comme Einstein ou Rutherford ont évolué dans un domaine par¬ticulièrement étroit. Ils ont eu une vue scien¬tifique des choses et pratiqué une méthode d'analyse terrestre et dépassée selon des lois physiques chaque jour démenties. On n'en tient pas moins ce qu'ils ont dit pour parole d'évangile. On tient également pour parole d'évangile tout ce qui sort de la bouche des vedettes de cinéma, alors que, malheureuse¬ment, l'évangile, ça ne se discute pas, c'est im¬muable! Nous autres, métaphysiciens, subis¬sons les conséquences de cet état d'esprit. Nous devons affronter toutes sortes de diffi¬cultés dans la mesure où notre problème consiste à déterrer des vérités que des gens éminents se sont acharnés à cacher. Les lois fondamentales devraient être consi¬dérées comme fondamentales, c'est-à-dire valides seulement en l'état actuel des connais¬sances, mais elles devraient être suffisam¬ment flexibles pour qu'on puisse les transfor¬mer, les adapter ou même les rejeter, à la lumière des connaissances nouvelles. Pensez, par exemple, au bourdon. Selon les lois phy¬siques du vol - les lois de l'aérodynamique - ce pauvre insecte est incapable de voler, parce que sa structure défie toutes les lois connues de l'aérodynamique. Donc, si nous en croyons les gens de science et leurs lois fondamen¬tales, le bourdon ne peut pas voler. Et pour¬tant, il vole! Ils ont dit, ces hommes de science, que l'homme ne pourrait jamais voyager à plus de 45 kilomètres à l'heure parce que son système circulatoire ne résisterait pas à cet effort, que son coeur éclaterait, que son cerveau s'affais¬serait, que sais-je ?... Eh bien! si l'on en croit les derniers cancans, l'homme PEUT voyager à plus de 45 à l'heure! Sans se décourager, les savants ont dit que l'homme ne parviendrait jamais à voler, que c'était tout simplement impossible. Regardez en l'air et dites-moi si l'homme ne vole pas! « Très bien, dirent alors les savants, mais, en tout cas, l'homme n'ira jamais plus vite que le son! » Un peu confus, mais nullement résignés, les savants prétendi¬rent enfin que l'homme ne quitterait jamais la Terre pour s'en aller dans l'espace. Or, je ne crois pas me tromper en avançant que cela, l'homme l'a fait aussi! Revenons un peu en arrière, vers l'année 1910. À cette époque les esprits forts et les grands oracles de la science proclamaient qu'aucun homme ne ferait entendre sa voix par-delà les océans. Pourtant, un monsieur du nom de Marconi prouva qu'ils se trompaient et, actuellement, non seulement la voix hu¬maine traverse les mers, mais aussi les images. Il est vrai que ce n'est peut-être pas un avantage si l'on considère le niveau des programmes de télévision! Maintenant que je vous ai fait plus ou moins accepter l'idée que des savants confir¬més, avec leurs lois stéréotypées, rigides, im¬muables, peuvent se tromper, allons un peu plus loin. L'une de leurs erreurs courantes, c'est l'affirmation selon laquelle « deux solides ne peuvent occuper le même espace en même temps ». C'est absurde. C'est tout à fait inexact, car, en métaphysique, deux corps peuvent occuper le même espace en même temps par le processus dit d'interpénétration. Les savants ont démontré que tout ce qui existe est composé d'atomes séparés par de grands espaces, un peu comme par une nuit claire, lorsque nous regardons les étoiles, nous voyons de petits points qui sont des mondes et de grandes étendues noires qui sont l'espace. Il s'ensuit que si nous avons une créature assez petite pour regarder ce qui, pour nous, est un objet compact, cette créa¬ture ne verra pas cet objet comme nous le voyons, mais percevra toutes les particules composant cet objet. Autrement dit, de grandes étendues piquées de petits points lu¬mineux. Imaginez d'autre part un Etre assez grand pour voir ce que nous appelons notre univers avec tout ce qui le compose, comme un seul objet compact. Tout au bout de l'échelle, imaginez un virus : si vous arriviez à saisir ce virus et que vous le laissiez choir dans une coupe de porcelaine, cet être micro¬scopique traverserait la coupe; il traverserait même le fond de la coupe sans rien heurter sur son passage, parce qu'il est infiniment pe¬tit. Tout cela n'a rien d'une supposition abs¬traite, c'est un fait. Sachez en effet que l'une des grandes difficultés qu'on rencontre, en la¬boratoire, lorsqu'il s'agit de saisir un virus, ré¬side dans le fait que certaines choses ultra¬microscopiques traversent les filtres de céramique aussi librement qu'un chien gam¬badant sur une lande. Pour une créature minuscule, les espaces qui séparent les atomes d'un objet quel¬conque sont aussi grands, comparativement que pour nous les espaces qui s'étendent entre les astres de notre univers. Tout comme des pluies de météorites, ou de comètes, ou de vaisseaux spatiaux peuvent voyager dans les espaces vides qui séparent les mondes, des quantités d'objets, pour nous minuscules, peuvent peupler ce que nous nommons un objet solide. Il est tout à fait possible de concevoir deux, ou trois, ou quatre solides disposés de telle sorte que leurs mondes ne se touchent pas les uns les autres, mais dont un ensemble de mondes occupe les espaces qui séparent les éléments de l'autre ensemble de mondes. Vous admettrez qu'en vertu de ce système, il peut y avoir beaucoup d'objets apparemment solides qui occupent en même temps le même es¬pace. Nous ne pouvons évidemment pas per¬cevoir ce phénomène dans la vie normale, parce que nous ne jouissons pas d'un champ de perception adéquat. Nous aurions besoin de développer nos perceptions et comme ici, en ce monde, nous n'entrons pas bien souvent dans la quatrième dimension, nous sommes obligés d'accepter les explications - impri¬mées ou enregistrées - qu'on nous fournit. Encore une comparaison très prosaïque. Vous avez deux fourchettes. Vous passez les dents de l'une dans les espaces compris entre les dents de l'autre. Par conséquent, lorsqu'un des groupes de dents occupe les espaces qui séparent les dents de l'autre fourchette, les deux ensembles occupent ce qu'on peut consi¬dérer comme le même espace sans que l'une des fourchettes empiète sur l'espace vital de l'autre. À l'origine, les hommes n'attribuaient aux objets que deux dimensions: la longueur et la largeur: Plus tard, ils conçurent qu'il fallait leur ajouter une autre dimension: l'épaisseur. Ils vécurent donc, désormais, dans un monde tridimensionnel. Pourquoi s'en seraient-ils te¬nus là ? Une autre notion leur vint : celle de la durée. Nous avons donc une quatrième di¬mension : celle du Temps. Illustrons par un exemple. Il est impossible de voir les rayons infrarouges sans un équipe¬ment spécial. C'est là la preuve que certaines choses existent qui ne sont pas perçues direc¬tement par nos sens. II s'ensuit que des objets émettant des rayons infrarouges et qui se trouveraient sur un plan situé au-delà de la longueur, de la largeur et de l'épaisseur, se¬raient tout à fait invisibles à la plupart des êtres humains. Permettez-moi une petite digression. Vous savez qu'il existe des sons inaudibles pour l'homme que les chats et les chiens perçoivent clairement. Vous connaissez, par exemple, le sifflet muet avec lequel on appelle les chiens. Dans un de mes livres, je parle du clavier sym¬bolique. Sur ce clavier, on peut observer qu'après le son vient la vue et que, dans cer¬tains cas, des sons ont presque été vus. Aper¬çus serait un mot plus juste, car, sous certaines conditions, des personnes véritablement clair¬voyantes peuvent réellement voir la forme d'un son. Vous avez peut-être entendu des gens par¬ler d'un son plein, ou rond, d'où il ressort que beaucoup de personnes sentent le son comme une forme... Mais revenons au point où nous en étions avant cette parenthèse. Un objet tridimensionnel : une maison, un arbre, un cheval, porte une ombre bidimen¬sionnelle, c'est-à-dire que l'ombre possède une longueur et une largeur, mais pas d'épais¬seur. Bien sûr, sur d'autres plans d'existence, nous ajouterions une nouvelle dimension à l'ombre, celle de temps: le temps de sa durée. Mais oublions cela pour le moment, et reve¬nons un peu en arrière. Si un objet tridimen¬sionnel porte une ombre bidimensionnelle, nous pouvons en déduire qu'un objet quadri¬dimensionnel projette une ombre tridimen¬sionnelle et, donc, que ceux d'entre vous qui ont vu un fantôme peuvent, en réalité, avoir vu l'ombre d'une personne de la quatrième di¬mension. Un fantôme est une personne qui a, apparemment, la largeur, l'épaisseur et la hauteur, mais qui est faite d'une substance quelque peu indécise, comme l'ombre, en somme. Aussi, pourquoi ne serait-ce pas, jus¬tement, l'ombre de notre visiteur quadridi¬mensionnel qui, invisible à nos yeux à cause de ses quatre dimensions, se manifesterait à nous par l'entremise de son ombre qui, elle, possède trois dimensions, mais n'en est pas moins une forme sans substance véritable? Examinons maintenant les rapports concer¬nant ce que la presse, assez sottement, dé¬signe sous le nom de soucoupes volantes. Ces objets apparaissent et disparaissent à une vi¬tesse fantastique et sans aucun bruit. Ne pou¬vons-nous pas supposer que certaines sou¬coupes volantes puissent être l'ombre d'un objet quadridimensionnel ? En ce qui con¬cerne leur rapidité d'évolution, on pourrait l'expliquer de la manière suivante. Prenez un miroir dans votre main et projetez les rayons du soleil sur un mur. Vous ferez danser cette tache de lumière et vous la ferez changer de direction à une vitesse infiniment supérieure à ce que n'importe quel mécanisme humain pourrait réaliser. Imaginez aussi une feuille de verre dépoli placée devant un être qui n'aurait aucune idée de l'apparence que peut revêtir une personne humaine. Supposons que, de l'autre côté de la feuille de verre dépoli, il y ait justement une personne cachée par cet écran et que cette personne appuie ses cinq doigts sur la feuille de verre. L'être qui se trouve près de la face opposée et qui n'a jamais vu un humain, qui ne sait rien de la forme qu'il peut avoir, ne verra sur le verre dépoli que cinq taches fon¬cées. Tout comme les gens ont vu des taches dans le ciel. Vous vous demandez sans doute quel rap¬port tout cela peut bien avoir avec la méta¬physique. Je répondrai que le rapport avec la métaphysique est très étroit. Voyez-vous, nous vivons dans un monde à trois dimen¬sions, mais la plus haute forme de vérité ne peut être perçue que si nous allons au-delà de ces trois dimensions. Il nous faut aller au-delà du temps et de l'espace, car le temps est rela¬tif. Le temps n'est qu'une convention établie par l'espèce humaine pour plus de commo¬dité. Vous croyez, vous, que le temps n'est pas re¬latif ? D'accord. Supposons que vous deviez aller chez le dentiste pour vous faire extraire une dent. Les instants que vous passerez sur le fauteuil pendant l'intervention vous paraî¬tront interminables. Vous aurez l'impression que vous y êtes cloué pour toujours. Vous pas¬sez, au contraire, un moment très agréable avec une personne à laquelle vous êtes pro¬fondément attaché. Vous trouverez que le temps passe avec une rapidité terrifiante. Donc, le temps est relatif. Il dépend de votre' humeur. Revenons aux dimensions. Admettons qu'il existe une sorte d'êtres qui vivent dans un monde à deux dimensions, c'est-à-dire dans un monde où il n'y a seulement que la lon¬gueur et la largeur, pas d'épaisseur. Ils sont pareils à des ombres. Mais, n'ayant pas no¬tion de l'épaisseur, ils ne peuvent avoir au¬cune notion de l'espace, car l'espace est au¬-delà du ciel; et faire intervenir le ciel, c'est faire intervenir une troisième dimension. Pour eux, par conséquent, l'espace est incon¬cevable. Une voie de chemin de fer est comparable à un monde unidimensionnel. Un conducteur de train peut indiquer sa position à partir d'un seul point de référence. Il peut dire où il se trouve en donnant seulement le nom d'une station, d'un signal ou de toute autre marque convenue d'avance. Un bateau sur la mer peut se comparer à un être occupant un monde à deux dimensions, parce que le bateau n'est pas limité à des rails. Non seulement il peut aller en avant et en arrière, mais aussi à bâbord et à tribord : il use de la longueur et de la largeur. L'avion, lui, est une créature tridimension¬nelle. Il peut aller en avant, et de côté, il peut monter et descendre. Cela, vous le compre¬nez, nous donne trois dimensions. Cette théorie (en réalité, pour nous, c'est un savoir) des dimensions explique bien des choses qui pourraient aisément être prises pour des mystères. La téléportation, par exemple, par laquelle un objet se transporte d'une pièce à une autre sans que personne de visible intervienne. Un objet peut se transpor¬ter d'une pièce fermée à triple verrou dans un autre endroit. Et cela n'a rien d'extraordi¬naire. Pour le comprendre il suffit de penser à notre créature bidimensionnelle. Si nous, tri¬dimensionnels, avions une série de boîtes sans couvercle, les êtres bidimensionnels qui se trouveraient dans ces boîtes éprouveraient l'impression d'être prisonniers, car, n'ayant aucune notion de la hauteur, ils ignoreraient cette absence de couvercle ou de toit. Pendant ce temps, si nous passions le bras par ce toit ouvert et prenions un objet dans la boîte pour le transporter dans la boîte voisine, les êtres à deux dimensions penseraient qu'ils ont été té¬moins d'un miracle. De même, nous qui vivons dans un monde à trois dimensions pouvons très bien ne pas percevoir une ouverture qui est évidente dans la quatrième dimension. C'est ainsi qu'un être appartenant à ce monde quadridimensionnel peut faire disparaître un objet de la chambre que nous croyons hermétiquement fermée par l'ouverture qui nous est invisible. Est-ce plus difficile à comprendre que le processus par lequel les ondes de la radio et de la télévi¬sion pénètrent au travers de murs apparem¬ment infranchissables ? Le temps, à quoi nous avons déjà fait allu¬sion, joue un rôle très important dans la vie humaine, mais ce que nous appelons temps diffère d'un homme à un autre et d'un animal à un autre. Les animaux, en effet, ont leur propre conception du temps. Ils vivent à un rythme différent. Un insecte qui vit vingt¬-quatre heures de notre temps peut avoir une vie aussi complète que celle d'un homme dont l'existence aura duré soixante-dix ans. En une seule journée humaine, il aura pu s'accoupler, avoir des enfants et voir ses enfants avoir d'autres enfants. Un animal destiné à vivre vingt ans sera capable de fonctionner comme un homme fonctionne pendant une vie plus longue. Il est troublant de constater que toutes les créatures : insecte, animal ou homme, ont à peu près le même nombre de battements de coeur au cours de leur vie. Tout cela, les sages l'ont compris il y a des siècles. Dans un livre très saint, l'une des grandes Bibles de l'Extrême-Orient, nommé le Srimad Bhagavate, nous lisons ceci: Jadis, un grand roi conduisit sa fille à la demeure du Créa¬teur, Brahma, qui vivait dans une autre di¬mension. Le grand roi était très soucieux de ce que sa fille, étant parvenue à l'âge nubile, n'eût pas encore trouvé de prétendant accep¬table. Il était impatient de lui donner un bon mari. Arrivé à la demeure de Brahma, le roi n'attendit que quelques instants avant d'être admis en sa présence. Il présenta aussitôt sa requête. À son profond étonnement, Brahma lui répondit: « O roi, lorsque tu retourneras sur la Terre, tu n'y reverras plus aucun de tes amis ni de tes parents, ni tes villes ni tes palais, car, bien que tu ne sois ici que depuis quelques instants, ces instants sont l'équivalent de plu¬sieurs milliers d'années terrestres. Quand tu retourneras sur la Terre, tu t'apercevras qu'elle est entrée dans une ère nouvelle, et ta fille, qui est ici avec toi, épousera le frère du Seigneur Krishna, Balarama. Par conséquent, elle, qui est née il y a plusieurs milliers d'années, sera mariée à Balarama dans encore plusieurs mil¬liers d'années, car, dans le temps qu'il te faudra pour quitter ma présence et voyager une nou¬velle fois à travers le temps, plusieurs milliers d'années terrestres auront passé. » C'est ainsi que le roi et sa fille revinrent sur cette Terre qu'ils n'avaient quittée que quel¬ques minutes auparavant, selon leur propre compte du temps. Ils y trouvèrent un monde nouveau, avec ce qui paraissait être une nou¬velle civilisation. Des gens différents, une cul¬ture différente et une religion différente. Comme il leur avait été dit, des milliers d'an¬nées s'étaient écoulées, bien que le roi et sa fille, voyageant dans une autre dimension, n'eussent eu conscience de voir passer que quelques minutes. Telle est cette croyance hindoue qui fut écrite dans les livres saints il y a des millé¬naires. On ne peut s'empêcher de se deman¬der si elle n'est pas à l'origine de quelques¬-unes des idées que le Dr Einstein a réunies dans sa théorie de la relativité. Il est probable, que vous n'avez pas étudié à fond la théorie de la relativité. Einstein a, entre autres choses, expliqué le temps comme une quatrième dimension. Il a aussi enseigné qu'il n'est pas le cours régulier, invariable, de quelque chose. Il considérait le temps comme une forme de perception. Tout comme deux personnes ne voient pas exactement les mêmes couleurs, Einstein a enseigné que deux personnes n'ont pas exactement le même sentiment du temps. Nous nommons année 365 jours, mais c'est seulement un voyage autour du Soleil. Un voyage effectué par la Terre. Une personne vi¬vant sur Mercure effectuerait son tour du So¬leil en 88 jours et, pendant ce tour, Mercure n'aura pivoté qu'une fois sur son axe, tandis que la Terre, vous le savez, tourne sur son axe une fois par 24 heures. Encore quelques sujets de réflexion. Savez¬-vous que si on adapte un pendule à un sys¬tème en mouvement, le pendule ralentira au fur et à mesure que la vitesse du système en mouvement augmentera? Savez-vous aussi que si on attache une baguette d'une longueur X à un système en mouvement, cette baguette paraîtra se rétracter dans la direction du mouvement et en fonction de la vitesse du système? Tous ces phénomènes: altération dans le mouvement du pendule, contraction de la baguette, ne sont dus ni à la construc¬tion de ces objets ni aux lois de la mécanique. En revanche, ils ont trait à la théorie de la re¬lativité d'Einstein. Si votre baguette a, disons, un mètre de long et qu'elle traverse l'espace à 90 pour cent de la vitesse de la lumière, elle ne mesurera plus que 50 centimètres et, théo¬riquement, si sa vitesse est accélérée jusqu'à atteindre celle de la lumière, selon la théorie d'Einstein, elle ne mesurera plus rien du tout! Et si vous attachiez le pendule à cette ba¬guette d'un mètre, son rythme varierait de telle sorte qu'au moment où la baguette ap¬procherait de la vitesse de la lumière, le pen¬dule irait de plus en plus lentement ou, du moins, en donnerait l'illusion, jusqu'à s'arrê¬ter complètement une fois la vitesse de la lu¬mière atteinte. Ne tentez pas l'expérience avec votre belle voiture neuve, vous n'auriez aucune chance de la voir se contracter, même si vous la pous¬siez au maximum. Mais, en vertu de la théo¬rie d'Einstein, si un navire spatial lancé dans l'espace atteignait la vitesse de la lumière, il se contracterait d'abord, puis se résorberait complètement. Nous qui sommes capables de voyager dans l'astral, nous savons qu'Einstein se trompait. Tout comme les savants qui disaient que l'homme n'atteindrait jamais la vitesse du son, tout comme ceux qui prétendaient que l'homme ne dépasserait jamais les 45 kilo¬mètres à l'heure. Mais nous devons mettre à profit les erreurs des autres. Cela nous épargne de commettre nous-mêmes des er¬reurs. Voyons donc ce qui se passerait, en vertu de la théorie d'Einstein. Nous avons un vaisseau spatial monté par un équipage d'hommes de valeur, capables de mener à bien leur tâche d'observateurs. Le vaisseau peut atteindre une vitesse considérable approchant celle de la lumière. Il se dirige vers une planète loin¬taine, si lointaine qu'il faudra dix années pour l'atteindre et dix autres années pour en reve¬nir. L'un des membres de l'équipage a juste vingt ans lorsque commence le voyage. Il est marié et sa femme a le même âge que lui. Voyager à la vitesse de la lumière possède certains avantages. Selon Einstein, vingt ans auront passé sur la Terre quand le vaisseau sera de retour, mais pour les occupants du vaisseau, le voyage n'aura duré en tout que quelques heures. Pendant ce temps, les astro¬nautes n'auront pas besoin de provisions, de nourriture. Leurs fonctions organiques se se¬ront considérablement ralenties. Et même leur pensée. Mais lorsque le jeune homme dont nous venons de parler remettra le pied sur Terre, il constatera avec stupeur que sa femme a maintenant vingt ans de plus que lui! Voici maintenant l'histoire d'un incident que les États-Unis ne tiennent pas spéciale¬ment à voir divulguer. C'est une histoire abso¬lument authentique et si vous êtes assez haut placé, vous pourrez en retrouver la trace dans les dossiers de la marine des États-Unis. En octobre 1943, une expérience fut tentée pour rendre invisible un navire de guerre américain. On se souvient que, pendant la Se¬conde Guerre mondiale, le gouvernement des États-Unis publia des annonces encourageant les inventeurs à faire part de toutes les idées d'armes nouvelles et de dispositifs pouvant contribuer à la victoire finale. L'une de ces idées était issue d'une lettre adressée par Ein¬stein au Président Roosevelt et dans laquelle il exposait de façon détaillée sa théorie du champ unifié. Il n'y a pas lieu, ici, d'entrer dans des considérations techniques, mais l'on peut dire que cette théorie suppose une cer¬taine connaissance de la quatrième dimen¬sion. Un certain savant utilisa une partie des théorèmes en relation avec le champ unifié et, travaillant conjointement avec la marine amé¬ricaine, en octobre 1943, il fut en mesure de construire un bouclier - plus ou moins ma¬gnétique - qui pouvait envelopper un des¬troyer. Le champ s'étendait sur un rayon d'une centaine de mètres et tout ce qui se trouvait à l'intérieur de ce champ devenait to¬talement invisible. Autrement dit, le destroyer et son équipage disparaissaient aux yeux de tout observateur se trouvant en dehors du champ. L'expérience fut tentée avec succès. Malheureusement, lorsqu'on rendit le bâti¬ment et ses hommes au monde visible, plu¬sieurs marins étaient devenus fous... Il semblerait que le navire en question ait de nouveau disparu, pour réapparaître à plu¬sieurs centaines de milles au large de la baie de Chesapeake. Il ne s'agit pas là d'un bobard, ni d'un conte de bonne femme. Des journaux locaux de l'époque en font foi. On trouve trace de l'événement dans un livre: M.K Jes¬sup et les lettres d'Alende, compilé par Riley Crabb. Un autre livre, publié en Amérique par Gray Barber et intitulé l'Étrange cas du Dr Jessup, y fait également allusion. Le gou¬vernement des États-Unis a fait tout ce qu'il a pu pour réduire au silence quiconque essaie¬rait de divulguer les faits. Il paraît même que des personnes sont mortes dans des condi¬tions mystérieuses après avoir été en posses¬sion de certaines informations sur ce sujet. Le gouvernement américain semble aussi être parvenu à s'assurer la discrétion des journa¬listes... Cependant, un rapport a été, en son temps, publié par inadvertance. Et ce rapport faisait état d'une matérialisation du navire in¬visible, dans un port. On en vit descendre quelques marins hébétés qui pénétrèrent en titubant dans un bar. Une trentaine de per¬sonnes furent témoins de la scène. Ces marins commandèrent à boire, et, tout à coup, en plein milieu d'une phrase, ils disparurent, s'évanouirent positivement dans l'atmo¬sphère. Nous conseillons à ceux que la question in¬téresse de lire les livres dont nous avons parlé plus haut et, s'ils en ont la possibilité, de consulter les journaux des années 1944 et 1956. Ils v trouveront des allusions aux faits et, dans deux cas, de véritables rapports. Il est clair que si l'on pouvait subitement in¬troduire un navire ou une arme spéciale dans la quatrième dimension, puis les ramener dans la troisième dimension en un point dési¬gné, les Chinois pourraient être rayés de la carte du monde et les Russes sérieusement ébranlés sur leurs bases! On a fait maintes plaisanteries sur le rayon laser, mais cette pe¬tite lumière couleur de rubis a donné des preuves de son efficacité, au-delà même de ce qu'on attendait d'elle. Il est certain que si la recherche, dans ce domaine, se poursuivait avec toutes les garanties de sécurité néces¬saires, on serait en mesure, par le moyen de la quatrième dimension, de retirer de la chambre forte d'une banque les documents les mieux protégés, puisque, ainsi que nous l'avons vu précédemment, entre le monde tri¬dimensionnel qui est le nôtre et le monde à quatre dimensions, il peut y avoir une ouver¬ture par laquelle entrer. Pour en revenir au navire invisible, on pense que si les hommes d'équipage avaient été prévenus du genre de risque qu'ils cou¬raient en se prêtant à l'expérience, ils ne se¬raient pas devenus fous. Il y a des siècles, au temps du philosophe Platon, on discutait déjà de la quatrième di¬mension, et les savants de l'époque, déjà, ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez. Platon entra dans la controverse et, dans un de ses célèbres Dialogues, il tenta d'expliquer ce qui, pour lui, était évident. Nous ne pou¬vons mieux terminer ce chapitre qu'en citant Platon... « Figure-toi des hommes dans une demeure souterraine en forme de caverne dont l'entrée, ouverte à la lumière, s'étend sur toute la lon¬gueur de la façade; ils sont là depuis leur en¬fance, les jambes et le cou pris dans des chaînes, en sorte qu'ils ne peuvent bouger de place, ni voir ailleurs que devant eux, car les liens les empêchent de tourner la tête; la lu¬mière d'un feu allumé au loin sur une hauteur brille derrière eux; entre le feu et les prison¬niers, il y a une route élevée; le long de cette route figure-toi un petit mur, pareil aux cloi¬sons que les montreurs de marionnettes dres¬sent entre eux et le public et au-dessus des¬quelles ils font voir leurs prodiges. Je vois cela. Figure-toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des ustensiles de toutes sortes, qui dépassent la hauteur du mur, et des figures d'hommes et d'animaux, en pierre, en bois, de toutes sortes de formes; et naturellement parmi ces porteurs qui défi¬lent, les uns parlent, les autres ne disent rien. Voilà un étrange tableau et d'étranges pri¬sonniers. Ils nous ressemblent. Et d'abord, penses-tu que dans cette situation ils aient vu d'eux-¬mêmes et de leurs voisins autre chose que les ombres projetées par le feu sur la partie de la caverne qui leur fait face ? Peut-il en être autrement, s'ils sont contraints toute leur vie de rester la tête im¬mobile ? Et des objets qui défilent, n'en est-il pas de même? Sans contredit. Dès lors, s'ils pouvaient s'entretenir entre eux, ne penses-tu pas qu'ils croiraient nom¬mer les objets réels eux-mêmes, en nommant les ombres qu'ils verraient? Nécessairement. Et s'il y avait aussi un écho qui renvoyât les sons du fond de la prison, toutes les fois qu'un des passants viendrait à parler, crois-tu qu'ils ne prendraient pas sa voix pour celle de l'ombre qui défilerait? Si, par Zeus. Il est indubitable qu'aux yeux de ces gens¬-là, la réalité ne saurait être autre chose que les ombres des objets confectionnés. C'est de toute nécessité. Examine maintenant comment ils réagi¬raient si on les délivrait de leurs chaînes et qu'on les guérît, de leur ignorance, et si les choses se passaient naturellement comme il suit. Qu'on détache un de ces prisonniers, qu'on le force à se dresser soudain, à tourner le cou, à marcher, à lever les yeux vers la lu¬mière; tous ces mouvements le feront souf¬frir, et l'éblouissement l'empêchera de regar¬der les objets dont il voyait les ombres tout à l'heure. Je te demande ce qu'il pourra ré¬pondre, si on lui dit que tout à l'heure il ne voyait que des riens sans consistance, mais que maintenant, plus près de la réalité et tourné vers des objets plus réels, il voit plus juste; si enfin, lui faisant voir chacun des ob¬jets qui défilent devant lui, on l'oblige à force de questions à dire ce que c'est? Ne crois-tu pas qu'il sera embarrassé et que les objets qu'il voyait tout à l'heure lui paraîtront plus véritables que ceux qu'on lui montre à pré¬sent? Beaucoup plus véritables. Et si on le forçait à regarder la lumière même, ne crois-tu pas que les yeux lui fe¬raient mal et qu'il se déroberait et retourne¬rait aux choses qu'il peut regarder et qu'il les croirait réellement plus distinctes que celles qu'on lui montre? Je le crois. Et si on le tirait de là par force, qu'on lui fît gravir la montée rude et escarpée et qu'on ne le lâchât pas avant de l'avoir traîné dehors à la lumière du soleil, ne penses-tu pas qu'il souffrirait et se révolterait d'être ainsi traîné, et qu'une fois arrivé à la lumière, il aurait les yeux éblouis de son éclat et ne pourrait voir aucun des objets que nous appelons à présent véritables ? Il ne le pourrait pas, du moins tout d'abord. Il devrait en effet s'y habituer, s'il voulait voir le monde supérieur. Tout d'abord, ce qu'il regarderait le plus facilement, ce sont les ombres, puis les images des hommes et des autres objets reflétés dans les eaux, puis les objets eux-mêmes; puis, élevant ses regards vers la lumière des astres et de la Lune, il contemplerait pendant la nuit les constella¬tions et le firmament lui-même plus facile¬ment qu'il ne ferait, pendant le jour, le Soleil et l'éclat du Soleil. Sans doute. À la fin, je pense, ce serait le Soleil, non dans les eaux, ni ses images reflétées sur quel¬que autre point, mais le Soleil lui-même dans son propre séjour, qu'il pourrait regarder et contempler tel qu'il est. Nécessairement. Après cela, il en viendrait à conclure, au su¬jet du Soleil, que c'est lui qui produit les sai¬sons et les années, qu'il gouverne tout dans le monde visible et qu'il est en quelque manière la cause de toutes ces choses que lui et ses compagnons voyaient dans la caverne. Il est évident que c'est là qu'il en viendrait après ces diverses expériences. Si ensuite il venait à penser à sa première demeure et à la science qu'on y possède, et aux compagnons de sa captivité, ne crois-tu pas qu'il se féliciterait du changement et qu'il les prendrait en pitié ? Certes oui. Quant aux honneurs et aux louanges qu'ils pouvaient alors se donner les uns aux autres, et aux récompenses accordées à celui qui dis¬cernait de l'oeil le plus pénétrant les objets qui passaient, qui se rappelait le plus exactement ceux qui passaient régulièrement les premiers ou les derniers, ou ensemble, et qui, par là, était le plus habile à deviner celui qui allait arriver, penses-tu que notre homme en aurait envie, et qu'il jalouserait ceux qui seraient parmi ces prisonniers en possession des hon¬neurs et de la puissance ? Ne penserait-il pas comme Achille dans Homère, et ne préfére¬rait-il pas cent fois n'être qu'un valet de char¬rue au service d'un pauvre laboureur plutôt que de revenir à ses anciennes illusions et de vivre comme il vivait? Je suis de ton avis : il préférerait tout souf¬frir plutôt que de revivre cette vie-là! Imagine encore ceci : si notre homme re¬descendait et reprenait son ancienne place, n'aurait-il pas les yeux offusqués par les té¬nèbres, en venant brusquement du soleil? Assurément oui. Et s'il lui fallait de nouveau juger de ces ombres et concourir avec les prisonniers qui n'ont jamais quitté leurs chaînes, pendant que sa vue est encore confuse et avant que ses yeux se soient remis et accoutumés à l'obscu¬rité, ce qui demanderait un temps assez long, ne prêterait-il pas à rire et ne diraient-ils pas de lui que, pour être monté là-haut, il en est revenu les yeux gâtés et que ce n'est même pas la peine de tenter l'ascension? Et si quelqu'un essayait de les délier et de les conduire en haut et qu'ils puissent le tenir en leurs mains et le tuer, ne le tueraient-ils pas ? Ils le tueraient certainement. Maintenant, il faut appliquer exactement cette image à ce que nous avons dit plus haut: il faut assimiler le monde visible au sé¬jour de la prison, et la lumière du feu dont elle est éclairée à l'effet du Soleil; quant à la montée dans le monde supérieur et à la contemplation de ses merveilles; vois-y la montée de l'âme dans le monde intelligible et tu né te tromperas pas sur ma pensée, puisque tu désires la connaître. Je suis de ton avis, autant que je peux suivre ta pensée. Eh bien! Sois encore de mon avis sur ce point, qu'il n'est pas étonnant que ceux qui se sont élevés ne soient plus disposés à prendre en main les affaires humaines et que leurs âmes aspirent à demeurer sur ces hauteurs. C'est bien naturel. Bien naturel, en effet. Mais penses-tu qu'il faille s'étonner qu'en passant de ces contemplations divines aux misérables réalités de la vie humaine, on ait l'air gauche et tout à fait ridicule ? Ce n'est pas étonnant du tout. Si l'on était sensé, on se rappellerait que les yeux sont troublés de deux manières et par deux causes opposées : par le passage de la lumière à l'obscurité et par celui de l'obscu¬rité à la lumière; alors, réfléchissant que ces deux cas s'appliquent aussi à l'âme, quand on verrait une âme troublée et impuissante à dis¬cerner un objet, au lieu d'en rire sans raison, on examinerait si, au sortir d'une vie plus lu¬mineuse, elle est, faute d'habitude, offusquée par les ténèbres ou si, venant de l'ignorance à la lumière, elle est éblouie par une splendeur trop éclatante. » |
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| | Posté le 01-02-2006 à 11:34:42
| j'allais dire la même chose que glingal, ou presque mais c'est déja fait.... j'ai lu en travers aussi, aujourd'hui je manque de temps, mais j'y reviendrai... il y a cette histoire de 2 fourchettes que l'on interpénetre pour qu'elles occupent le même espace... si lobsang rampa était vraiment un lama, il aurait du penser au fait qu'une fourchette est une fourchette, non seulement a cause du métal qui la compose, mais aussi a cause du vide qui sépare les dents... ce vide a une grande importance dans la fonction de la fourchette, donc, en comblant ce vide on change les propriétés de la fourchette, qui n'est plus capable de piquer.... donc ce qu'il dit a ce sujet est faux, ou au minimum, l'exemple est mal choisit enfin, pour terminer, certaines réflexions de rampa sont néanmoins intéressantes, même si l'on sait que l'auteur est en fait un journaliste européen et pas un moine tibétain... nous devrions pouvoir appliquer a son oeuvre la même réflexion que nous avons déja eu au sujet des enseignements de madame blavatsky (voir ce sujet, dans "les sociétés secrètes" sur ce j'vous laisse et je part dans mon frigo pour empiler des yaourts! youpi! |
| | Posté le 02-02-2006 à 13:52:36
| C'est avec un grand sourire que j'ai pu prendre connaissance de vos réactions sur le sujet car à vrai dire, je m'y attendais un peu quelque part. Il est vrai que Rampa à été pas mal discrédité peut-être probablement de sa faute à lui mais... faut-il faire parole d'évangile de ce qu'on dit de lui ses discréditeurs? Avant de poursuivre, car j'estime que le contexte est très imortant dans toute tentative de jugement, j'aime autant précisé que je suis assez fan de rampa et que ses ouvrages ont pas mal contribué à établir mes bases dans mes réflexions, mes convictions et mes connaissance en ésotérisme. Je ne puis donc pas émettre un point de vue neutre pour parler du bien fondé des ouvrage et de l'honneté de l'auteur en question. Cependant, je pense qu'il est facile (et celà est selon moi tout a fait inconscient) de faire preuve, en vue de ce qui a été dit sur lui, de plus de septicisme envers rampa qu'envers tout autre auteur. En tentant d'être le plus objectif possible, je pense tout de même que l'on peut affirmer autant mettre en doute sa parole que celle de ses détracteurs. Moi objectif maintenant, de mon avis personnel, de ce que j'ai pu lire de lui, c'est à dire toute la collection de ses ouvrages parus moins 3 que je recherche activement (je crois, le sage du tibet et les lumières de l'astral au cas ou quelqu'un peut m'aider), il me semble qu'il n'est que rarement en contradiction d'avec les tendances générales des autres auteurs qui traitent des mêmes sujets. Et enfin, finalement, c'est un peu à chacun de se forger son opinion (en connaissance des ouvrages bien sûr) sur la véracité des faits exposés. Je crois que l'on a tous des auteurs fétiches et d'autres que l'on aime moins et tous les goûts sont dans la nature. Seulement, si j'ai mis cet extrait du bouquin ici, c'était surtout pour illustrer le topic sur la quatrième dimension etréagir par rapport au contenu et pas tellement pour lancer un polémique sur l'auteur. Mais pourquoi pas le faire dans un topic prévu pour? Si quelqu'un en à envie, je serai ravi d'y participer. |
| | Posté le 02-02-2006 à 22:54:45
| Alors voilà, j’ai longtemps hésité à poursuivre cette discussion y voyant le danger de te froisser Glingal. Et pour te dire, j’ai même demandé son avis à chat_de_jade quant au bon ton de ma réponse. Je suis peut-être totalement à côté de mes pompes mais j’ai l’impression que ce sujet te tiens particulièrement à cœur et je sens venir un risque de ressentir le point de vue de l’autre de manière plus ou moins agressive. Je tenais donc à te rassurer sur ce point afin d’éviter toute équivoque et malentendu en te précisant que ce n’est pas du tout mon intention et que je souhaite simplement échanger nos points de vue même s’ils sont contradictoires. Donc, je te prie de ne pas trop m’en vouloir si tu me trouves trop virulent mais n’hésite pas à me le faire remarquer si tu trouve que c’est le cas.
glingal a écrit :
Or après enquête, il s'est avéré que Rampa se nommait en réalité Cyril Hoskins, né dans Devonshire, que son père était plombier-zingueur à Londres et que non seulement il n'avait alors jamais mis les pieds au Tibet mais n'avait même pas quitté la Grande-Bretagne. |
Cfr Histoire de Rampa pour en obtenir une explication que tu connais déjà. Je ne sais pas non plus si nous pouvons prétendre établir des vérités sur ce forum, je crois que ce serai un peu présomptueux de notre part et le terme vérité est d'ailleurs à utiliser avec une extrême prudence je crois.
glingal a écrit :
Permets-moi de te dire, que tu es ou mal informé ou que tu manques d'objectivité. Parce que les preuves de son affabulation sont avérées. A moins que tu ne prétendes qu'un certificat de naissance ne constitue pas une preuve valide pour toi. |
Mon angle de vue là dessus, c'est que tu accordes crédit à ses détracteurs. Quant à l'acte de naissance, bien que je sache que celui-ci existe, (mais encore une fois il faut lire "histoire de rampa pour comprendre"), je ne l'ai personnellement pas vu.
glingal a écrit :
Etant donné que tu seras bientôt modérateur de ce forum, tu auras, j'imagine, la possibilité de déplacer mon message ou de le jeter aux oubliettes, si tu le juges nécessaire. Mais puisqu'il s'agit ici pour ma part de mettre à jour la fiabilité d'une source, j'espère que tu ne m'en voudras pas de débarquer comme un cheveu sur la soupe et éclairer quelques peu le sujet en maintenant mon message ici. |
Je tiens à te rassurer sur ce point. J'ai simplement proposé mon aide à la demande générale de solomon afin de l'aider à gérer un peu le forum suivant ce que je pourrai y apporter. Mon but n'est pas du tout de déplacer ou d'effacer des topics tant que ceux ci y justifient leur place en référence aux règles établies du forum et acceptées je pense par nous tous. Etant à 200% pour la liberté d'expression, en aucun cas, je ne le ferai pour la simple raison qu'un avis est contradictoire au mien. Toutefois, s'il devait planer le moindre doute là-dessus de la part d'un membre du forum, je préfère retirer ma proposition.
glingal a écrit :
Seulement voilà, par ses pseudos récits auto-biographiques, il a participé à la construction du mythe d'un Tibet mystique et édulcoré. Et là, on est très très loin de la réalité dont souffre cruellement ce pays. Actuellement je suis membre de Tibet Libre, une association défendant les droits des tibétains. Si tu interroges des tibétains, des vrais, sur l'opinion qu'ils ont de alias "Rampa" tu serais édifié. |
Sans vouloir contester, je constate qu'il ne s'agit là que de points de vue sur un pays qui a quand même connu pas mal de changements depuis l'époque où rampa en parle. Même si elle n'est pas si éloignée.
glingal a écrit :
Ceci dit, je respecte les croyances de chacun tant que l'on ne cherche pas à me présenter ces croyances pour autre chose que ce qu'elles ne sont. |
Je pensais avoir été bien clair sur mon intention d'Apposer mon point de vue juste en tant que tel et non pas comme vérité absolue. Et, à vrai dire, je me moques de savoir réellement si rampa est un imposteur ou pas. C'est le dernier de mes soucis. Tout ce que je vois, c'est que la lecture de ses ouvrages m'a permis d'avancer sur la voie que j'ai choisi de suivre et pour cela, je lui suis, d'une certaine façon, reconnaissant. Je ne cherche à convaincre personne mais simplement à échanger mes idées et mes points de vue avec les autres et, si certains de ceux-ci s'avèrent irrecevables, je m'en excuse. Je n'aurai d'ailleurs peut-être pas du dévoiler que le texte que j'ai posté ici était de rampa. Ca aurait, je pense donné une autre dimension (sans vouloir faire de jeu de mot) à ce débat, mais par respect pour l'auteur, je ne pouvais imaginer le faire ainsi. |
| | Posté le 02-02-2006 à 23:59:45
| D'accord, d'accord je vois ! Je me permets juste un petit intermède musical pour vous recommander - dans le cas où le débat se poursuivrait - la lecture du topic Traiter la douleur . Dedans y'a des exercices spécialement pour les fans de Rampa qui ont été déçus mais y'en a aussi (trop bien faits d'ailleurs) pour les adeptes qui défendent leur point de vue. Et si vous les faites correctement, on raconte que cette discussion sur Rampa, bah vous finirez par en rigoler ! Essayez ça marche ! Dav = pas bien = bien ! |
| | Posté le 03-02-2006 à 01:34:43
| Non ben pas de malaise, je comprends bien ce que tu veux dire et je ne m'avancerai pas pus en avant sur la vie au tibet car mes deux points de référence en la matière, tu les a cités, c'est rampa et tintin au tibet lol. A la base, je voulais simplement attirer l'attention sur le fait que "attention, c'est pas parce qu'on a dénigré un tel ou un tel que fatalement il faut lui trancher la tête". Je ne sais déjà plus ou j'ai été lire ça, mais justement, sur un tout autre sujet, tu parlais d'une émision qui niait le contrôle des insectes en terme de désinformation, et c'était un peu là dessus que, visiblement maladroitement, j'essayais d'attirer l'attention. Méfiance pour ceux qui véhiculent ce genre de messages dans un but manipulateur. Mais effectivement alors, je reconnait que de ce que tu en dis, rampa véhicule lui aussi ce genre de message par rapport au tibet. Mais encore une fois, ce n'est pas tellement la vérité qui m'importe sur ce drôle de bonhomme mais plutôt les points de vue qu'il apporte et qui m'ont permis d'élargir ma conscience malgré tout. (De temps a autre, je les reparcours, mais je suis quand même passé à autre chose.) En celà, je considère toujours ses écrits comme base valide bien que entre nous, là ou je ne le suis plus c'est lorsqu'il dit que la magie est une pratique à éviter. Dans ce cas, ma réaction est un "mais oui mais oui" sur le ton d'un "court toujours" que je range dans le fond de ma tête pour ouvrir un bon livre traitant de magie. J'irai voir tiens solomon ton intermède musical, ca a l'air pas mal. Merci tout de même pour la discussion Glingal et profond respect. |
| | Posté le 03-02-2006 à 13:16:07
| Salut tous les deux, Permettez moi en tant que modérateur d'avoir le mot de la fin sur ce sujet. Je crois que le phénomène Rampa - englobant le personnage et l'oeuvre - vous tient l'un et l'autre tellement à coeur que vous avez fini par perdre de vue qu'au final Rampa vous a élevés l'un et l'autre. Encore que Siburdroc en fasse la réflexion pour lui ("ce n'est pas tellement la vérité qui m'importe sur ce drôle de bonhomme mais plutôt les points de vue qu'il apporte et qui m'ont permis d'élargir ma conscience malgré tout"). Je crois que Siburdroc, sans mauvaise intention aucune, a publié ce texte de Rampa car ce dernier a contribué à ouvrir son champ de réflexion vers autre chose. C'était un texte isolé, purement illustratif pour le topic sur la quatrième dimension. Je ne doute nullement qu'il ne s'agissait pas de propagande pro-Rampa. Il aurait pu être écrit par Lao Tseu ou par Loana, ça n'aurait rien changé car sa seule vocation était d'éclairer le principe de 4D. Mais le fait que l'auteur soit Rampa a très vite faussé le débat. Ce qui a été remis en question n'est pas ce texte mais l'oeuvre globale de Rampa du fait de son mensonge quant à son identité d'une part et de la mystification du Tibet d'autre part. Et c'est surtout après cela que tu en as Glingal si j'ai bien compris et je partage ton point de vue. Néanmoins observez que Rampa, peu importe ses fautes, a donné envie à Siburdroc de creuser plus profondément l'univers de l'esprit et t'a permis Glingal d'avoir une première approche de la spiritualité pour aujourd'hui mieux la transformer en en comprenant les lacunes et les erreurs, tout en t'engageant en faveur d'une cause juste. Dans l'un comme dans l'autre cas, notre plombier anglais vous a été utile même dans sa mauvaise foi. D'une manière plus large j'illustrerais cela en vous disant que personne n'aime la guerre mais qu'on ne savourerait néanmoins pas toute la portée de la paix sans elle... Rampa a été un tremplin pour vous vers autre chose. Votre expérience de lui a été différente et vous a pourtant portés dans la même direction. Aujourd'hui vous débattez sur le fond avec un regard changé car vous avez évolué depuis votre première rencontre avec Rampa. On peut ainsi trouver insupportable que des gens abusent du mystique pour caricaturer un peuple en proie à la souffrance mais à l'opposé on peut également trouver cela pratique que cette mystification permettent à d'autres personnes de se découvrir. Aussi concluerai-je en disant que Rampa est un parfait exemple du principe de relativité de ce monde. Utilisons-le comme bon nous semble : en l'encensant ou en l'accusant mais dans les deux cas il nous aide à voir plus loin. N'oubliez pas que le sujet c'est vous et que le livre n'est qu'un vecteur de vos pensées et de vos actions futures. On se retrouve assez proche du débat qui agite le monde entier depuis hier : la liberté d'expression sauf qu'à la place des musulmans insultés par la caricature du Prophète on a un peuple excédé par une image mystique qui lui colle à la peau. Dans les deux cas je ne peux que constater que ça déchaîne les passions et je suis content néanmoins que le débat n'est pas débordé et se soit achevé dans le respect mutuel des opinions de chacun. J'étais parti pour fermer le sujet mais je pense que, toujours dans le cadre de cette liberté d'expression, il restera ouvert à tout commentaire futur... Dav |
| | Posté le 03-02-2006 à 14:49:00
| super c'est ce que j'avais conseillé a siburdroc de parlez entre vous mdr je dis peu de mot car rien a faire le texte en question, j'ai pas réussi à le lire..(pourtant j'ai essayé de lire 3 fois ou 4 fois ce qu'il avait mis rien à faire. pour comprendre ce qu'il me raconté siburdroc. ) bon je repars sur la point des pieds..dans mon domaine préfére l'ere nouvelles.. |
| | Posté le 04-02-2006 à 02:44:23
| Voilà, un petit mot et non un grand discours pour dire que si malaise il y a eu, et c'est un bien grand mot pour qualifier en somme notre débat virulent, il est aujourd'hui disparu, je le confirme. Il est vrai cependant que les malentendus font facilement leur apparition, d'autant plus que nous n'avons que des mots pour seule expression de l'autre sans toute cette sphère de non-verbal tellement importante. Pour être un passionné de l'étude de la communication, je ne peu que d'autant en avoir conscience. D'ailleurs, pour citer en vrac comme ça Bernard Werber (pour varier les plaisirs ) "Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous croyez entendre, ce que vous entendez, ce que vous avez envie de comprendre, ce que vous croyez comprendre, ce que vous comprenez, il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer. Mais essayons quand même..." je penserai dire que là dedans, tout est dit. Une dernière chose, je tiens à souligner que pour moi aussi, glingal, chat-de-jade et solomon vous tenez une belle place dans mon estime et que c'est toujours un grand plaisir que de retrouver vos interventions sur le forum ainsi que tout les autres. Je crois aussi glingal qu'ayant su prendre correctement ce virage, nos futurs échanges n'en seront que plus agréables encore qu'auparavant. Merci à tous pour votre grande sagesse tellement appréciable sur un tel forum. |
| | Posté le 21-02-2006 à 20:30:19
| décidément, j'essaye de lire ce texte de fond en comble, mais n'y arrive pas! mpfff enfin aujourd'hui, j'y ai repéré un autre petit détail: a la fin du texte, rampa réexploite le fameux mythe de la caverne de platon.... j'avais un oncle qui me disait souvent: "toute littérature est un plagiat, sauf la première, dont l'auteur est inconnu" et pour être positif: rampa est peut être un imposteur, il n'empèche que platon, c'est tout de même très chiant à lire, et rampa c'est de loin bien plus fun.... et je ne vois que du bien au fait que ce mythe de la caverne et les réflexions qui s'y rattachent soient portée a connaissance d'un vaste public et le fait que le guguss soit un imposteur, ben fatalement, ça discrédite son propos, dans quelques années, plus personne ne le lira et il ne restera que les pavés inbitables de platon pour les générations futures, a moins qu'un autre gus reprenne l'histoire a son compte.... dans toute chose se cache du bon et du mauvais, du yin et du yang et méditez bien sur ce symbole: l'exces de yin donne du yang, l'exces de yang donne du yin (jme sens comme un crétin, la, à donner des leçon dont je suis le premier à avoir besoin) sur ce , j'vous laisse et j'vais peut-être bien me mettre à écrire moi.... |
| | Posté le 22-02-2006 à 14:42:29
| Aleister a écrit :
sur ce , j'vous laisse et j'vais peut-être bien me mettre à écrire moi.... |
Si tu as besoin d'un éditeur un jour... Sérieusement je me sens bien d'ouvrir une collection "Esotérisme"... à méditer... |
| | Posté le 06-08-2006 à 14:01:21
| Bonjour !!! Prendre Rampa comme référence dans l'ésotérisme, c'est à mourir de rire. Je pense qu'il est juste bon, pour une personne qui ne connait rien et qui veut avoir un aperçu global de ce qu'est vraiment l'ésotérisme. J'ai eu l'occasion de lire tous ses livres et franchement, il en arrive à se contredire lui-même dans certains de ces ouvrages. (il est très fort je dois le reconnaitre mdr!!! ) Lorsque vous lisez une personne qui dit avoir suivi l'enseignement de Bouddha, dans une lamasserie au Tibet, et qui se permet de critiquer et de juger. Alors là, ou c'est moi qui n'ai rien compris depuis toutes ces années d'études, et il faut que j'arrête, ou bien c'est lui qui est un véritable charlatan. Franchement lorsque l'on voit comment il a écrit les Secrets de l'aura, il y a vraiment de l'inconscience chez cette personne. Parce que, se permettre de donner la facon la plus simple de pratiquer les sorties astrales, télépathie etc ... et ne pas prévenir les gens sur les risques encourus, je trouve que ça relève de l'insouciance et que ce genre de personne ne devrait pas avoir le droit d'écrire. Et il en est de même pour ses éditeurs qui ne voient que les rentrées d'argent. Bon et bien voilà mon point de vue. Je sais que tous le monde ne pense pas pareil, et heureusement d'ailleurs, sinon je ne vois pas l'intérêt d'en parler. Désolé pour ceux qui vénèrent Rampa comme un dieu, mais pour moi ce n'est qu'un imposteur qui a fait comme ses éditeurs il n'a vu que l'argent. Voila encore un point où il ment. Lorsqu'il dit qu'il n'a pas d'argent et que ses livres ne lui permettent à peine de subvenir à ses besoins. Lorsque l'on écrit un livre je veux bein croire que ça ne rapporte rien, mais lorsque ce livre est vendu en millions d'exemplaires là j'ai un doute. Et lorsque ce million d'exemplaires vous le multipliez par d'autres éditions, j'ai peine à croire que ça ne rapporte pas. Merci de m'avoir lu. René |
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