arcane | introspection | Membre du conseil | | |
| Posté le 22-10-2010 à 21:58:48
| Dans la société actuelle avec le net et les différents mode de communication pourrait faire penser que le besoin de reconnaissance est satisfait, mais pas forcément, car les relations humaines sont devenu plus superficielle. Il y a plus une tendance de zappage et indifférence aux sentiments d'autrui, car il est facile d'"effacer" une personne qui vous dérange par divers moyens technique par le net par exemple (enfin pas tout le monde, certain l'utilise a bonne escient dans un but d'agrandir leur cercle d'ami(e)s), ect). Actuellement je suis entrain de lire un livre sur satisfaire son besoin de reconnaissance de Olivier Nunge et Simonne Mortera il raconte l'histoire suivante:
Citation :
ça se passe dans une grande ville des États-Unis juste après la seconde dernière mondial. L'équipe municipale doit gérer un nombre important de nourrissons orphelins ou abandonnés. Une pouponnière ultramoderne est construire, occupée par une personnel qualifié pour accueillir au mieux ces jeunes enfants. Au bout de quelque mois de fonctionnement, un constat douloureux se fait sentir car les enfants ne vont pas bien du tout: ils ont l'air triste, ils pleurent beaucoup. Plus inquiétant encore certains refusent de se nourrir et semblent se laisser mourir. Le directeur de l'établissement fait appel de tout urgence à un expert, un médecin pédopsychiatre, une personne de grande expérience des milieux institutionnels puisqu'il s'occupe aussi de nourrisson et d'enfants vivant avec leur mère en milieu carcéral. Il faut savoir que dans les prisons américaines, on laisse plus longtemps les enfants avec leur mère que dans la plupart des autres pays. Une fois dans l'établissement, l'expert commence ses observations. Il est stupéfait par l'état de santé des enfants. Non seulement il les trouves tristes, mais il constate un retard important dans leur développement psychomoteur. Il se demande pourquoi ces enfants placés dans de bonne conditions sanitaires et sociales se développement beaucoup moins bien que ceux dont il s'occupe en milieu carcéral, c'est-à-dire dans une promiscuité et des conditions matérielles beaucoup moins favorables Il se propose d'observer la manière dont le personnel s'occupe des enfants et constate que l'alimentation se fait à la chaîne: la nurse entre dans la chambre, donne le biberon au premier, au deuxième, au troisième et ainsi de suite jusqu'au dernier, puis récupère le biberon du premier, du deuxième, du troisième..il en va de même pour la toilette: les nurses s'occupent de chaque enfant avec des gestes sûrs et calculés de manière à passer le plus rapidement possible à l'enfant suivant. le pédopsychiatre commence à comprendre que si ces enfants sont bien pris en charge sur le plan physiologique, il en est autrement sur le plan psychologique et affectif. Il compare l'attitude des nurses avec celle d'une mère "standard" vis-à-vis d'un nourrisson. Les gestes de la deuxième sont peut-être moins précis moins conformes aux règles de la puériculture académique; en revanche, ils sont accompagnés de caresses, de câlins, de contacts, de paroles, d'échange multiples comme autant de témoignages d'attention, d'affection et, en un mot de l'amour tout simplement. Nous savons maintenant, grâce à l'analyse de milliers de photos d'enfants en train de têter, que ceux-ci ne regardent pas le sein mais le visage de leur mère qui se situe naturellement à la bonne distance de vision. Chaque tétées se révèle être l'occasion d'un échange affectif, une histoire sans parole, qui se passe de visage à visage - Voilà ce dont souffrent ces enfants, se dit le médecin. S'ils sont bien pris en charge sur le plan de corps, de l'hygiène, de la sécurité, l'alimentation, il leur manque les soins psychologique élémentaire qu'une mère leur donnerait naturellement. En fait, ces enfants souffraient de ce que le docteur Spitz appellera des carences affectives, et il désignera sous le terme d'"hospitalisme ces symptômes que l'ont retrouve fréquemment chez les enfants faisant de trop longs séjours en milieu institutionnel |
Tout cela peut-être encore lié à la communication des hommes ou des femmes qui ne savent pas correctement communiqué auront un moins grand sentiment de reconnaissance de le part d'autrui et aussi un rapport avec l'éducation des parents qui permettant à l'enfant d'avoir un bon outil de reconnaissance positive. l'homme peut fonctionné sur deux mode favorisé une reconnaissance positive si il y a une éducation favorable et une autre défavorable qui peut plus facilement favorisé le reconnaissance négative. un exemple simple qui peut expliqué l'enfant qui fait exprès des bêtises pour attiré l'attention de ses parents. Un autre aspect de cette réflexion qu'on peut faire est lien avec la valorisation de soi donc un aspect égotique.. C'est tout pour le moment..et vous que pensez-vous de la satisfaction de son besoin de reconnaissance?..
-------------------- la vérité est comme une boule de discothèque impossible de la voir en entier en une fois |
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